Il y a échec professionnel quand il y a non-atteinte des objectifs fixés, non-réalisation de nos ambitions. Il y a succès quand il y a reconnaissance de cette atteinte et de cette réalisation. Echec et succès sont donc directement liés à la nature des objectifs et des ambitions.
Mentionner une faute d'aiguillage, un mauvais choix d'orientation, le fait d'avoir accepté un poste en décalage avec sa formation ou d'avoir fait un choix professionnel en désaccord avec ses ambitions profondes, par exemple, permet d'apprécier votre faculté à vous remettre en cause.
" Vous pouvez répondre que vous ne savez pas où vous serez dans cinq ans, mais que vous ambitionnez déjà, dans l'espace d'un an, de décrocher tel contrat ou de développer tel projet. " Autre alternative : parler de compétences plutôt que d'une fonction en particulier.
Vous pouvez aussi parler d'un échec qui n'a rien à voir avec le travail : « Le fait d'avoir divorcé alors que je suis maman de deux enfants est pour moi un vrai échec, même si j'ai refait ma vie aujourd'hui ». Vous pouvez aussi aborder une carrière que vous n'avez pas réussi à atteindre lorsque vous étiez plus jeune.
3- Quel type de difficulté avez-vous du mal à gérer? Comme vous n'êtes pas un robot, vous ne pouvez pas tout faire parfaitement. Au risque de se répétez : soyez sincère. Vous pourriez mentionner que vous avez plus de mal à aborder les situations qui mélangent les sentiments : la colère, la tristesse, etc.
Il faut s'approprier les faits, regarder le raz de marée en face, faire face à la souffrance qui est là. Il faut apprendre à vivre autrement, à vivre avec ce qui a été perdu, avec ce qui ne sera plus jamais à l'écho de ses rêves, en établissant d'autres projets, en redonnant du sens à ce qui est et à ce qui n'est plus.
Pourtant, l'échec n'est vraiment pas la raison N. 1 pour laquelle les gens échouent. Les vraies raisons sont la peur et l'inaction. La peur de l'échec, d'avoir l'air stupide, de la perte, du regard des autres.
Pour minimiser la peur de l'échec, il est préférable de : voir le bon côté des choses en tirant un enseignement positif; envisager tous les résultats possibles ; avoir un autre plan en cas d'échec ; demander de l'aide ; penser aux regrets que l'on peut avoir si on n'essaye pas et établir des objectifs atteignables.
À travers la question “Quel est votre plus grand échec?”, il va pouvoir analyser votre capacité à vous remettre en cause, voire votre façon de réagir face aux obstacles. Si, de lui-même, il n'aborde pas le sujet, il est tout à fait possible de l'évoquer vous-même.
En cas d'échec, il est donc important de rester bienveillante avec soi-même. La technique du meilleur ami est alors très utile. Elle consiste à s'adresser à soi-même de la même manière qu'à un ami afin de faire la part des choses entre ses qualités profondes et un petit échec ponctuel.
La seule manière de ne pas échouer est de ne rien faire et donc de ne pas vivre. Ce qui est important c'est donc d'accepter l'échec et de réussir à trouver comment surmonter un échec. Transformer un échec en réussite réside dans les leçons et enseignements que l'on en tire. Apprendre est une réussite en soit.
Avoir du mal à se remettre en question, c'est par exemple se dire régulièrement quand on perd une partie « je me suis fait arnaquer », « c'est l'autre qui a eu de la chance », « je ne méritais pas de perdre cette partie ». Ou alors être souvent énervé envers son adversaire, ne pas vouloir analyser avec lui la partie …
Il est interdit de mettre son propre roi en échec ou de le faire passer sur une ligne d'échec pendant le roque. Il est également interdit de roquer quand le roi est en échec sur sa case de départ. Si cela arrive (par inadvertance entre débutants) on doit reprendre le coup.
Soyez un conteur d'histoires ! Rappelez-vous une situation spécifique où vous avez été exposé à une situation stressante au travail et racontez comment vous avez réussi à la surmonter. Donner un exemple concret est le meilleur moyen de dresser un tableau de vos capacités à gérer le stress et à en triompher.
Comment intervenir face au mal-être au travail ? Le premier instrument de lutte contre ce mal-être est le dialogue régulier entre le manager et le salarié. Il permet souvent d'identifier rapidement des signes précurseurs : irritabilité, saute d'humeur, discours critiques, dévalorisation personnelle.
Les études ont démontré que la soif d'apprendre, l'envie de développer de nouvelles compétences, de relever de nouveaux défis et d'avoir davantage de responsabilités sont des motifs qui seront perçus de façon très positive par l'employeur.