Certaines situations professionnelles peuvent justifier de ne plus, ou pas, avoir envie de travailler. Le burn-out et le bore-out en sont deux exemples concrets. Ce sont deux syndromes d'épuisement professionnel. Le premier par surcharge de travail, le second par manque de travail.
Les causes de la souffrance au travail peuvent être multiples : une forte pression au travail peut être ressentie en raison d'un niveau d'exigence élevé, d'un faible niveau de contrôle sur la situation ou d'un manque de soutien social de la part de la hiérarchie ou de l'équipe.
Pour lâcher prise au travail, vous devez accepter vos limites et celles des autres. Vous n'êtes pas responsable de tout. ... Acceptez vos limites et celles des autres
Acceptez de ne pas tout contrôler. ...
Renoncez à la perfection en toutes circonstances : elle n'est pas toujours possible, ni même indispensable.
Lorsque vous vous réveillez, éteignez l'alarme et, et sil vous plaît, laissez votre téléphone sur votre table de nuit. Passez quelques minutes au lit et prêtez attention à votre respiration. Lorsque les pensées du jour surgissent dans votre esprit, laissez-les passer et concentrez-vous à nouveau sur votre respiration.
On décrit le workaholisme comme une relation pathologique d'une personne à son travail. Cette relation se caractérise par une compulsion à consacrer de plus en plus de temps et d'énergie à son métier, au détriment des autres aspects de sa vie.
Pour les fatigues physiques, le yoga, la gymnastique douce, la natation ou encore la marche peuvent vous aider harmoniser votre corps et vous procurer du bien-être. Se relaxer, faire des pauses régulières, manger équilibré, avoir un bon sommeil sont aussi nécessaires à une bonne récupération.
Une fois au calme, installez-vous confortablement et respirez profondément. Pensez à une personne ou à un lieu que vous aimez et laissez votre esprit vagabonder. Après avoir fait le plein de pensées positives, cherchez à trouver la paix. Chassez le stress, les tensions, les rancœurs...
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
N'établissez pas vos buts en fonction de ce que les autres jugent important. Il n'y a que vous qui sachiez ce qui est important pour vous. Ne considérez pas comme acquises les choses les plus proches de votre cœur. Accrochez-vous à elles, comme si votre vie en dépendait.
Si les pensées font le hamster dans notre tête, a fortiori la nuit, ça veut dire que notre inconscient cherche à résoudre ce que le conscient échoue à faire le jour. D'évidence, il nous est demandé plus de tâches dans un temps moindre.
En effet, les causes d'un mal être au travail peuvent être très nombreuses : l'ambiance avec ses collègues, les relations avec son manager ou les clients de l'entreprise, la nature des tâches à accomplir, les horaires etc. Souvent on sait que cela ne va pas, mais on a dû mal à identifier la cause exact.
Qu'est-ce qui rend les gens malheureux au travail ?
Certaines personnes se trouvent aussi en désaccord avec la politique et les valeurs de l'entreprise qui les emploie, ce qui crée chez elle un mal-être. D'autres encore ont le sentiment de prendre la place de quelqu'un d'autre : c'est ce qu'on appelle le « syndrome de l'imposteur ».
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
Quelle est la différence entre la dépression et le Burn-out ?
Une personne qui souffre de burn-out est disposée à travailler, mais elle n'en a pas l'énergie. Dans le cas d'une dépression, la personne a de l'énergie, mais elle n'a pas envie de travailler. Une personne qui souffre de burn-out est active le matin, mais apathique l'après-midi.