Les femmes portaient une robe. Ce mot désignait l'ensemble du vêtement féminin. Les femmes du peuple portaient une cotte sans manches ou à manches courtes (rallongées en hiver par laçage ou épinglage) sur leur chemise.
Les nobles
Les couleurs principales étaient le bleu et le rouge. Nobles dansant la farandole avec des vêtements près du corps, des cottes courtes pour les hommes et de grands décolletés pour les femmes. On remarque aussi les chaperons, coiffes typiques du Moyen Âge.
La femme porte une chainse dont on aperçoit le col en "V" sous la cotte rouge. Ses cheveux sont cachés sous un couvre chef drapé et ses robes protégées par un tablier. Les hommes portent des chausses, une chainse et certains une cotte. Leur tête est protégée par une cale ou un bonnet.
Aujourd'hui, la plupart des femmes ont adopté le pantalon comme une base fiable et sécurisante de leur tenue. Porter une robe est donc une manière de s'affirmer, de se mettre en valeur et d'être pleinement féminine.
La jupe pour homme bloquée par l'inconscient collectif
Salomé Dudemaine explique : “Le fait que l'homme porte un vêtement fermé et que la femme porte un vêtement ouvert cristalise les inégalités entre les genres. Le pantalon permet à l'homme d'être actif, de ne pas craindre qu'on puisse apercevoir son corps.
La jupe et la robe ont de particulier qu'elles laissent voir une partie du corps souvent cachée, surtout chez les hommes. Les vêtements qui couvrent le haut du corps, explique l'historienne, sont toujours mieux acceptés dans leur version unisexe que ceux qui (dé)couvrent le bas.
Même mariées, les femmes exercèrent de nombreux métiers au moyen-âge: en ville elles peuvent travailler dans le commerce, le secteur du textile et de l'alimentation (boulangerie, fabrication de la bière et industrie laitière) ou bien en tant que lingères, bonnetières, couturières, blanchisseuses, servantes.
Jeanne (1412-1431 EC, aussi connue sous le nom de Jeanne d'Arc) est une visionnaire mystique et militaire française connue pour ses victoires dans la guerre de Cent Ans et sa mort tragique par exécution en 1431.
Les chaussures au Moyen-âge sont très raffinées pour les nobles et sont confectionnées en cuir très souple. La poulaine est, au XVème, la chaussure de préférence pour les classes supérieures. De forme allongée et pointue, elles pouvaient mesurer jusqu'à 50 cm, selon la classe sociale.
La laine donnait des tissus (les langes) qui servaient à confectionner des vêtements. ; Les Génois produisaient le velours. Le lin servait à la création des linges c'est à dire des draps ou des vêtements.
À l'époque victorienne, les sous-vêtements féminins se composaient d'une chemise, de culottes, de bas, d'un corset et de jupons. En plus, les femmes riches pouvaient aussi porter une crinoline, des coussinets, des camisoles ou des corsages.
Une courte cape avec capuchon peut recouvrir les paysans l'hiver. Jusqu'au xiv e siècle, la femme du peuple semble avoir la tête et les épaules recouvertes d'un voile. D'une façon générale sur une chemise, les paysannes portent une cotte à manches longues et un surcot sans manches qui la recouvre entièrement.
Chaque jour, le paysan enfile ses braies : culotte des hommes du Moyen Age, sa tunique, puis passe une cape de laine ou de lin. Pendant la saison froide, il ne sort jamais sans son chaperon : sorte de cagoule, et ses houseaux : longues chaussures souples, lacées, qui protègent les jambes de la boue et de la pluie.
Le corps de jupe et le bas de jupe sont toujours de couleurs claires et à motifs alors que la robe (par-dessus la jupe) est noire. Celle-ci possède des mancherons fendus et noués au coude sur la manche du corps. La robe s'ouvre sur la jupe ou cotte. Cette dernière est parfois relevée sur la cotte de dessous.
Les femmes étaient strictement astreintes à la monogamie, l'adultère sévèrement réprouvé. Seul le rôle de mère était valorisé, et l'exercice de toute profession constituait une forme de déchéance sociale, à l'exception de fonctions religieuses ou honorifiques.
L'archéologie, elle, met en évidence deux grandes périodes : le premier Moyen Âge (Ve-XIe siècle), appelé aussi haut Moyen Âge. Cette période débute par un très haut Moyen Âge (Ve-début VIIIe siècle) le second Moyen Âge (XIIe-XVIe siècle), ou bas Moyen Âge.
Définition de jeune adjectif, adverbe et nom. adjectif Peu avancé en âge (opposé à vieux). (personnes) Qui est dans la jeunesse.
Du Moyen Âge à nos jours les femmes ont eu un rôle dans le monde du travail. Elles ont toujours été présentes mais bien souvent dans l'ombre. Afin d'obtenir une place réelle et reconnue, de nombreuses femmes ont au cours de l'histoire lutté pour l'égalité.
Elles sont souvent confiées à un monastère pour y parfaire leur éducation et devenir ainsi de futures bonnes épouses dévouées. À la campagne, les jeunes filles restent auprès de leur famille, et aident aux tâches ménagères et aux champs.
Définitions de « seigneuresse »
Dans les cultures « non-occidentales »
En dehors des cultures occidentales, les vêtements d'homme incluent des jupes et dérivés. Par exemple la dhoti ou le longhi en Inde, et le sarong en Asie du Sud et dans le sud-ouest asiatique, ainsi qu'au Sri Lanka.
Les hommes délaissent les robes pour une tenue deux-pièces. C'est une révolution vestimentaire profonde. À la Renaissance, malgré l'omniprésence du pourpoint, les robes ne sont pas effacées des gardes-robes masculines. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, les bébés garçons et les vieillards portent le vêtement long.
Choisissez un style et des couleurs qui vont ensemble.
Le fait de porter des habits de couleur sombre au niveau de la taille et faire croire que l'on est mince et que l'on a une taille de guêpe. Optez pour des hauts en col V ou décolletés afin de lui donner un style plus féminin.