La douleur est traitée selon les besoins. Les personnes peuvent avoir besoin d'une sédation, car une trop forte activité musculaire peut augmenter la pression dans le cerveau et altérer encore plus la fonction cérébrale. La fièvre est traitée. Si des crises convulsives surviennent, on administre des anticonvulsivants.
Que faire en cas de contusion ? L'application de compresses froides ou de poches de glace calme les douleurs et empêche la partie lésée d'enfler exagérément. Ne placez jamais de glaçons en contact direct avec la peau (risque de gelure), mais entourez-les de plastique et d'un linge, par exemple.
Médical : lutte contre l'hypertension intracrânienne lorsque la mesure de la pression dans la boîte crânienne (pression intracrânienne ou PIC) le nécessite, oxygénothérapie, mise sous sommeil artificiel, traitement contre les crises d'épilepsie, médicaments destinés à combattre l'œdème cérébral.
1 – Effectuer un repos complet
Après avoir fait une commotion cérébrale, il est recommandé d'effectuer une période de repos afin de diminuer les symptômes. Le repos est essentiel afin de permettre au cerveau de se reposer et de se remettre de la crise énergétique engendrée par la commotion cérébrale.
Si le choc est difficile à apprécier, consultez tout de même un médecin; mais cela devient urgent si la victime se plaint de maux de tête, s'il y a perte de connaissance, de maux de tête, de troubles de l'équilibre ou de trouble de la mémoire, de troubles de la vision, des vertiges, ou des difficultés à bouger les bras ...
Les médicaments comme l'acétaminophène et/ou l'ibuprofène peuvent être pris pendant 3 à 5 jours au besoin. L'ibuprofène ne doit pas être pris dans les premières 24 heures qui suivent la blessure, à moins d'avis contraire de votre médecin.
La victime s'est cognée la tête non violemment. La douleur du choc a rapidement disparu. Si la victime ne présente aucune symptôme inhabituel, consulter un professionnel de la santé n'est pas nécessaire, sauf si l'état de santé se détériore.
Le traumatisme crânien désigne une blessure ou la lésion du cerveau suite à un coup ou un choc violent à la tête. Une commotion cérébrale est une forme atténuée de traumatisme crânien. Le cerveau est généralement bien protégé à l'intérieur de la boîte crânienne.
Lorsque vous recevez un coup à la tête ou au corps, votre cerveau bouge à l'intérieur de votre crâne. Ce mouvement peut causer des lésions cérébrales, comme une commotion cérébrale. Une commotion cérébrale entraîne des changements dans votre façon de penser et de vous sentir.
Un repos et un traitement des symptômes peuvent aider à cette normalisation. Dans 20% des cas, les troubles persistent au-delà d'un mois. Une consultation spécialisée avec un neurologue ou un médecin de rééducation devient nécessaire.
Ainsi, dans le cadre d'une lésion cutanée liée à une allergie de contact, il sera demandé de cesser l'exposition à l'allergène et on prescrira généralement des crèmes à base de corticoïdes. "En cas de tumeur cutanée, une exérèse plus ou moins large de la lésion sera peut-être nécessaire" conclut le radiologue.
Quels sont les symptômes d'une contusion ? Le principal symptôme de la contusion musculaire est la douleur. Parfois, un gonflement puis une tache bleu violacé apparaît, qui devient par la suite jaune ou verdâtre, signe d'un épanchement de sang sous la peau. C'est l'ecchymose.
Un hématome est une « bosse », plus précisément c'est une lésion bleutée en raison de la présence de sang, plus gonflée et volumineuse qu'une ecchymose. Ces contusions apparaissent le plus souvent sur les bras et les jambes, c'est-à-dire les membres mobiles du corps. Elles peuvent durer de 3 à 4 semaines environ.
Pour confirmer la contusion, une radiographie peut suffire. Néanmoins, on peut aussi réaliser une IRM car, étant donné l'absence de fracture, toutes les contusions osseuses ne sont pas forcément visibles à la radiographie. La radiographie reste utile pour détecter d'éventuels petits arrachements osseux.
« S'il y a perte de connaissance, des nausées, des vomissements, ou si la personne n'est pas dans un état de vigilance normale, il faut une évaluation médicale plus approfondie, car c'est peut-être un traumatisme crânien plus sévère », explique le Dr Cossette. Autrement, le blessé a plein droit à sa nuit de sommeil.
Il n'est pas nécessaire que quelqu'un vous réveille pendant la nuit après une commotion. Pendant les premières 24-72 heures, reposez-vous au besoin. Après la phase initiale, il est important de maintenir une routine de sommeil saine.
Mais la plupart des personnes qui ont un TCC modéré ou sévère restent avec des troubles de l'attention, de la difficulté à se concentrer, des pertes de mémoire et souffrent de fatigabilité. Ce sont les séquelles les plus communes, qui parfois incommodent la personne et demeurent la vie durant.
Les symptômes sont notamment un mal de tête persistant, de la somnolence, de la confusion, des troubles de la mémoire, une paralysie du côté opposé du corps, des troubles de la parole ou du langage et d'autres symptômes qui dépendent de la région cérébrale lésée.
Le traumatisme crânien grave constitue de ce fait un handicap invisible, dont la prise de conscience peut être difficile pour l'entourage, mais aussi pour l'enfant lui-même.
Un traumatisme crânien léger peut se caractériser par des maux de tête et des vertiges, parfois des nausées. Chez les enfants, on retrouve plus fréquemment des vomissements. Après une commotion, des amnésies transitoires ou des signes de confusion peuvent être présent.
Quels sont les signes et les symptômes d'une commotion cérébrale? Consultez immédiatement un médecin si un étudiant présente des « signes d'alarme » comme une douleur au cou, des vomissements répétés, une confusion grandissante, des convulsions, ou une faiblesse ou un fourmillement dans ses bras ou ses jambes.
Quelles sont les étapes de la récupération? Après avoir éliminé l'urgence, il est suggéré de prendre un repos de 48 heures, même si les symptômes se résorbent après seulement quelques heures ou une journée. Les études démontrent que le cerveau prend autour de 14 jours pour récupérer minimalement de ce type d'accident.
Convulsions. Maux de tête sévères ou qui augmentent. Plus de deux vomissements. Confusion (ex. : il ne sait plus où il est) ou irritabilité qui augmentent, comportement inhabituel.