Rechercher la nouveauté : lire régulièrement de nouveaux livres, apprendre de nouvelles disciplines : instrument de musique, langues étrangères, bricolage… choisissez une activité qui vous plait. Jouer est aussi un moyen très efficace : jeux de société, jeux de cartes, mots croisés, et même les jeux vidéo….
La méditation permet de faire le vide autour de vous et de faciliter l'activité cérébrale. Cela va favoriser une meilleure connexion entre les neurones et le cerveau pourra faire le tri des données reçues. Cet exercice aiderait aussi à avoir une bonne santé physique, émotionnelle et mentale.
Des jeux de lettres et de chiffres
Mots croisés, mots fléchés, sudoku, scrabble… ces jeux de réflexion – qu'on ne présente plus – sont excellents pour stimuler les fonctions cognitives des personnes âgées, comme leurs capacités de raisonnement, de déduction, de logique et de concentration.
Courez, nagez, pédalez… Faire du sport aide à oxygéner le cerveau et améliore ainsi ses fonctions cognitives. Par ailleurs, le fait de faire des pauses dans ses révisions est capital, car cela donne la possibilité à la mémoire de classer les informations et de bien les enregistrer.
La fatigue, le stress, les drogues, les maladies et les accidents sont tous des facteurs qui peuvent te causer des troubles de la mémoire. Ces troubles sont transitoires ou permanents et doivent être diagnostiqués et traités le plus vite possible pour ne pas te mettre en danger.
Les acides gras oméga-3 sont bons pour la mémoire et contribuent à renforcer la structure des neurones. Ces acides gras sont présents dans les œufs de poisson et les poissons gras : saumon, maquereau, hareng, etc. Les noix, le son de blé, l'huile de colza, l'huile de lin, etc. sont aussi des aliments à privilégier.
Pratiquer une activité physique
En sécrétant des endomorphines pendant et après l'effort, le cerveau stimule le volume sanguin qui irrigue les cellules grises et favorise une meilleure nutrition des neurones, permettant ainsi d'en générer d'autres. Le sport assure par ailleurs une meilleure oxygénation cérébrale.
Détendre son esprit, permet de s'amuser avec la matière. Étudier debout, ça facilite la circulation du sang au cerveau. Regrouper les informations de façon à diminuer la charge sur la mémoire à court terme. Créer des associations entre des idées grâce à un ensemble de flèches.
Il s'agit là d'une défaillance de la mémoire – un oubli – tout à fait normale, et très courante. Les habitudes et les conventions peuvent aider à contourner ce problème. Par exemple, si l'on range toujours ses clés au même endroit, nul besoin d'encoder à chaque fois une nouvelle information pour les retrouver.
Oui, car lire plus vite ne signifie pas retenir moins bien. Des tests ont montré qu'un individu entraîné assimile 80% des thèmes abordés, contre 60% pour un lecteur ordinaire. L'explication est simple : la lecture rapide impose une attitude active. Il faut être concentré, ce qui, à l'arrivée, aide à mieux mémoriser.
Une étude de 2011 a montré que les femmes ménopausées qui mangeaient 1 cuillère à soupe de miel par jour avaient une meilleure mémoire. Selon le chercheur Matthew Brennecke, le miel a également la capacité d'aider le corps à absorber le calcium, ce qui a un effet bénéfique sur la fonction cérébrale.
Concentrez-vous sur un seul sens en faisant abstraction des autres. Faites la même chose pour chacun des autres sens séparément, jusqu'à ce que vous parveniez pour chacun d'entre eux à vous concentrer pendant 3 à 4 minutes. A partir de là commencez à travailler sur deux puis trois sens.
Des techniques de récupération de la mémoire, telles que l'hypnose ou des entretiens facilités par l'administration de médicaments, sont utilisées afin de combler les trous de mémoire. La psychothérapie est nécessaire afin d'aider les personnes à gérer les expériences qui ont déclenché le trouble.
Dites-lui que votre mémoire vous fait souffrir.
Dites-lui que vous pensez que votre mémoire vous fait souffrir. Cherchez à savoir pourquoi vous voulez tant vous souvenir de votre passé. Expliquez-lui ce qui vous pousse à penser que vous avez refoulé certains souvenirs, et ce que vous pensez qu'il s'est passé.
Nous connaissons tous ces trous de mémoire dont la fréquence augmente avec l'âge ou lors de certaines situations : surcharge de travail, stress, émotions... En général, les oublis occasionnels sont liés à l'inattention ou peuvent parfois masquer une fatigue importante, des symptômes dépressifs ou troubles anxieux.
Pour conserver une bonne mémoire, nous vous conseillons de consommer des aliments riches en vitamine B9 comme la majorité des légumes verts à feuilles foncées, les lentilles, haricots rouges, pois chiches, fèves (légumineuses), et foies d'animaux.
De nombreuses études ont démontré que pratiquer une activité physique de manière régulière permet aux personnes âgées de conserver davantage leurs fonctions mnémotechniques. Intégrer une à deux heures de sport par semaine (marche, vélo, gymnastique douce…) aurait déjà des effets bénéfiques sur votre mémoire.
Manque de concentration, problèmes d'attention, difficultés à se remémorer des noms ou des faits ? Pour stimuler sa mémoire, il existe trois plantes complémentaires : le ginkgo biloba, le thé vert et la rhodiola rosea.
Gagner en âge entraîne une diminution des capacités physiques comme cérébrales, car le vieillissement cellulaire vaut aussi pour les neurones. La vitesse de traitement de l'information ralentit et il devient plus difficile d'exécuter certaines tâches complexes.
La vitamine E est une alliée de taille pour votre mémoire. Comme la vitamine C, elle est un antioxydant qui protège l'organisme des radicaux libres qui peuvent notamment endommager vos cellules cérébrales.
Quand consulter un médecin
Les personnes qui présentent pas de signes avant-coureurs mais qui sont préoccupées par leur mémoire ou ont des difficultés à accomplir les activités quotidiennes de base doivent appeler un médecin.