Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ». Phrase correcte.
Elle ne peut pas commencer et finir ainsi. Il s'agit d'une proposition subordonnée qui « appelle » une proposition principale. On trouve parfois ce genre de tournures dans la presse, par exemple, car le point mal placé peut donner l'illusion que les phrases sont plus courtes, le texte plus rythmé.
-> On écrit "quoique" quand on peut le remplacer par "bien que". exemple : Quoique cet exercice soit facile, il ne comprend rien. = Bien que cet exercice soit facile, il ne comprend rien. -> On écrit "quoi que" quand on peut le remplacer par "quel que soit".
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
À la différence de « avant que », et quoi que l'on pense souvent, « après que » doit être suivi d'un verbe à l'indicatif et non au subjonctif : Il fait toujours une sieste après qu'il a mangé. Mon grand-père faisait toujours une sieste après qu'il avait mangé.
Indique la concession. Synonyme : alors que, quoique, tandis que.
Etymologiquement, ce mot fait référence au coeur et à des sentiments d'affection mais il est devenu assez neutre. Essayez de l'utiliser avec parcimonie car ce dernier mot permet de faire passer un dernier message. Il peut être dommage de vous priver de cette occasion de communiquer utilement", explique-t-elle.
Elle remplace les «salutations» que l'on retrouverait dans un courrier, et s'emploie pour un premier contact dans un mail. «Bien cordialement» est une variante possible qui n'apporte pas grand-chose, hormis de renforcer la cordialité par un autre adverbe à connotation positive.
Après la locution "bien que", le verbe est toujours au subjonctif. La raison ? Cette locution introduit une proposition concessive (on exprime une concession, on nuance ses propos, on tempère un jugement…) Exemple : Il vous serrera (indicatif) la main, bien que vous soyez (subjonctif) son adversaire.
Malgré que exprime l'idée de concession. D'autres connecteurs de concession peuvent donc dire la même chose : bien que , quoique (en un seul mot), éventuellement encore que .
La locution conjonctive bien que introduit une concession qui vise une situation passée ou présente, tandis que même si sert à introduire une hypothèse ou une éventualité.
Conjonction de subordination qui exprime la concession, la reconnaissance d'un fait qui devrait empêcher un autre fait de se réaliser, mais ne l'empêche pas.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
Les subordonnées circonstancielles introduites par "que" obéissent aux mêmes règles : indicatif si le fait est considéré dans sa réalité, subjonctif si le fait est une simple possibilité ou mis en doute, conditionnel si le fait dépend d'une condition - exprimée ou non.
Oui, bien sûr.
La formule de politesse est écrite en deux mots dans des textes du XIIIe siècle. Plus tard, elle se substantive : « je vous donne le bon jour » ou « bien le bon jour ! ». « Bonjour » est la forme masculine de « bonne journée ».
Si le remplacement par « bien que » est possible, il faut écrire « quoique », en un seul mot. Dans le cas contraire, il s'agit de la locution « quoi que ». Quoiqu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite. = Bien qu'on l'ait mis en garde, il continue à rouler trop vite.
Sans que personne s'y oppose, sans qu'on en ait rien su. Mais, dans les propositions introduites par sans que, lorsqu'elles s'insèrent dans un contexte négatif, on peut utiliser le ne dit explétif, que n'exige pas la correction grammaticale, mais qui est recommandé dans la langue soutenue.
bien adj. inv. Conforme à ce qui est souhaité, attendu ; satisfaisant.
Dans plusieurs ouvrages, les expressions vérifier si et vérifier que sont présentées comme étant des synonymes signifiant « examiner de manière à constater que… ». Toutes deux sont suivies de l'indicatif.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps. Il est peu probable que je puisse y aller. Je veux que vous écoutiez.