Le subjonctif s'emploie après quizás, tal vez, acaso (= peut-être) si la phrase est au futur dans la principale.
On peut exprimer le souhait en espagnol en utilisant 'Ojalá'+ le subjonctif. l'imparfait du subjonctif. ¡Ojalá estuviéramos de vacaciones!
Pour rappel : 1/ Aunque s'utilise avec l'indicatif lorsque l'on se réfère à un fait réel, vérifié et connu. Aunque tengo mucha prisa, puedes terminar de contarme tu historia = Bien que je sois très pressé(e), tu peux terminer de me raconter ton histoire.
Dans le passé : pretérito imperfecto (imparfait) / pretérito indefinido (passé simple) + mientras + pretérito imperfecto (imparfait).
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
En cours d'espagnol, la règle est tout à fait simple, c'est la suivante : Le présent, dans la proposition principale, entraîne le subjonctif présent dans la proposition subordonnée, Le passé, dans la proposition principale, entraîne le subjonctif passé dans la proposition subordonnée.
Eh bien, Inch Allah! Bien, Dios lo quiere.
Interjection. (+ subjonctif ou que + subjonctif) Espérons, si Dieu veut, Dieu veuille (marque le souhait que quelque chose se réalise).
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
L'indicatif (indicativo) est un mode grâce auquel on exprime une action, un événement ou un état certain ou vraisemblable, situé dans le réel. Le subjonctif (subjuntivo) est le mode de l'irréel, il est employé pour exprimer un doute, un souhait, une volonté, certains sentiments.
- L'usage du subjonctif en espagnol est engendré par une idée de doute, d'incertitude, de volonté,de souhait,de désir,(d'espoir aussi),de sentiment, de crainte,.. sin que(sans que), antes de que (avant que),ojalá (pourvu que)......
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
Pourtant, c'est faux : « malgré que » n'est pas correct. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'académie française. Après malgré, on ne peut jamais dire « que ». On peut dire « bien que » – il y a plein de prépositions qu'on utilise avec « que » mais « malgré » n'est jamais suivi par « que ».
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Les temps du gérondif
On retrouve deux temps dans ce mode : le présent et le passé. Le gérondif présent est le participe présent précédé de "en". Il est invariable et s'emploie comme complément circonstanciel. Le gérondif passé est le participe passé précédé de "en".
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps. Il est peu probable que je puisse y aller.
Sino : Après des négations avec no, on l'emploie pour introduire une opposition, souvent comme synonyme de por el contrario (au contraire).
La virgule s'emploie obligatoirement entre les mots, les syntagmes et les propositions qui sont coordonnées sans conjonction (mais, or, et, etc.). On parle alors de juxtaposition. - On monte, on descend, on crie, on s'agite en tous sens.
Seguir s'emploie suivi du gérondif pour indiquer un état en cours qui dure dans le temps et se traduit généralement par « continue de/à ». Par exemple : J'ai beau étudier, je continue à avoir de mauvaises notes = Por más que estudio, sigo sacando malas notas.