Dans ce contexte, est-ce le bon moment pour acheter dans le neuf ? Oui, indéniablement, vous pouvez réaliser de bonnes affaires. En effet, les promoteurs immobiliers doivent vendre les programmes déjà sur le marché.
Selon un sondage d'OpinionWay sorti en 2021, 55 % des Français se disent attirés par les logements neufs. Il est vrai qu'acheter dans le neuf présente de nombreux avantages. Les propriétaires profitent, en effet, d'une habitation confortable, qui répond aux dernières normes en vigueur.
L'immobilier est le placement préféré des Français, devant les placements financiers car il donne une impression de stabilité. L'investissement immobilier peut être très intéressant actuellement en raison des taux bas, et des outils de défiscalisation à votre disposition.
Quelles perspectives pour les taux d'intérêt immobiliers en 2024 ? Pour la première fois depuis début 2022, on a assisté début 2024 à un léger recul des taux d'intéret. Alors que fin décembre 2023, le taux d'intéret moyen toutes durées confondues étaient de 4,25%, fin janvier 2024 ils étaient redescendus à 4,15%.
Une légère reprise est attendue pour 2025. Une légère reprise est attendue en 2025. "Le scénario est celui d'une baisse des taux directeurs de la BCE, aux alentours de septembre 2024, ce qui signifierait que les taux hypothécaires pourraient également légèrement baisser en 2025.
En 2024, plusieurs tendances majeures sont à observer sur le marché immobilier. La baisse des prix de l'immobilier devrait se poursuivre, avec une estimation moyenne de -4%. En matière de transactions immobilières, la diminution du volume est anticipée, avec une estimation de 800 000 ventes d'ici septembre 2024.
Pour la première fois en deux ans, les taux d'intérêts des crédits immobiliers ont baissé en janvier 2024. Il est probable que ce mouvement tant attendu par tous les candidats à l'emprunt s'inscrive dans la durée.
Bien que les taux d'intérêt baissent timidement, ils demeurent élevés en ce début d'année 2024. Ainsi, les acheteurs doivent s'endetter davantage dans le but d'acquérir un bien immobilier.
Des conditions d'emprunt plutôt favorables et une demande soutenue. Malgré les fluctuations économiques et l'inflation, les taux d'emprunt restent à un niveau raisonnable en 2024. Cette situation incite les acquéreurs à investir dans l'immobilier, ce qui crée une demande soutenue sur le marché.
Investir dans l'immobilier en 2024 : ce qu'il faut retenir
2024 s'annonce comme une excellente opportunité pour investir dans l'immobilier, diversifier son patrimoine et générer des revenus réguliers. Le marché immobilier pourrait connaître des fluctuations dues à l'inflation et à la hausse des taux d'intérêt.
En conclusion, investir dans l'immobilier demeure une bonne décision en 2023. Les avantages de ce type d'investissement sont nombreux : stabilité, potentiel de croissance à long terme, avantages fiscaux, appréciation régulière, génération de revenus locatifs, et bien d'autres.
En général, la rentabilité d'un investissement locatif varie de 2 à 8 %. Dans certains cas, elle peut aller au-delà de ce taux et atteindre 10 %. Ainsi, comparé aux autres types de placement, l'immobilier assure une rentabilité élevée et un cash-flow positif.
Conclusion : le meilleur placement
L'assurance-vie pour sa fiscalité avantageuse ; Au sein de laquelle vos logez des actions et/ou des obligations en fonction de la prise de risque souhaitée ; En privilégiant des supports indiciels (ETF) pour leur frais réduits.
Dans le cadre de l'acquisition d'un bien neuf, les frais sont compris entre 2 % et 4 % du prix d'achat (à l'exception des logements en vente en l'état futur d'achèvement, où des frais réduits sont appliqués). Dans l'ancien, ces frais sont plus importants et s'élèvent à 7 % ou 8 %.
Les personnes les plus concernées par l'achat dans le neuf sont les jeunes primo-accédants, désireux en priorité de devenir propriétaire. Comme le souligne Logic-Immo.com, les moins de 35 ans représentent plus de six candidats sur 10 (61 %) à l'accession dans le neuf, contre 33% dans l'ancien.
Entre 30 et 40 ans : on revend et on achète plus grand
A cet âge là, la famille s'agrandit souvent et la revente du premier logement est une solution qui permet d'acheter plus grand et ainsi permettre à toute la famille d'avoir son propre espace.
Louer sa résidence principale permet d'avoir un logement plus grand et de rester mobile. En l'absence des frais liés à l'achat d'un bien, il est possible de constituer une épargne plus facilement.
Il y a t-il un âge limite pour emprunter ? Jusqu'à 65 ans, il est relativement « facile » d'emprunter. Votre âge ne sera pas un problème, mais votre solvabilité sera bien sûr étudiée à la loupe. Par contre, à partir de 75 et 80 ans, il est beaucoup plus difficile de contracter un crédit.
La messe est dite : « 2024 va être l'année de la baisse des prix de l'immobilier », a annoncé Loïc Cantin, le président de la Fédération nationale de l'immobilier lors de sa conférence de presse du 16 janvier, dédiée aux perspectives du secteur en 2024. Et les anticipations ne vont pas ravir les vendeurs.
Selon l'Observatoire Crédit Logement/CSA, fin 2024, le taux moyen devrait atteindre 3,25 %.
En 2024, le secteur de l'immobilier pourrait bénéficier de meilleures conditions d'accès au crédit. Néanmoins, la politique actuelle de l'État en matière de logement semble manquer d'ambition. Un élément pour les primo-accédants, le Prêt à Taux Zéro (PTZ), a été prolongé jusqu'à fin 2027.
François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, confirme une baisse des taux d'emprunt pour 2024. L'annonce est toutefois assortie de précautions pour éviter des répercussions négatives et notamment la persistance de l'inflation. La BCE devra déterminer le moment et la cadence de cette baisse.
Selon les projections des experts d'Eurosystème, elle devrait progressivement ralentir en 2024 en s'installant à 2,7 %, pour atteindre 2,1 % en 2025 et 1,9 % en 2026. Dès lors, on pourrait s'attendre à une baisse des taux directeurs à la fin de l'année 2024 si les différents signaux scrutés par la BCE sont au vert.
Taux moyen en février 2024
Selon les dernières données de l'Observatoire Crédit Logement/CSA disponibles, rendues publiques le 5 mars 2024, le taux moyen des crédits du secteur concurrentiel (hors assurance) s'est établi à 3,99% en février 2024, contre 4,15% en janvier 2024.