Selon de nombreuses études, être un gros dormeur augmenterait les risques d'obésité, de diabète, de troubles cardiaques et d'accident cardio-vasculaire.
Excès de sommeil et risques de maladies cardiovasculaires
Selon de nombreuses études médicales, trop dormir augmenterait le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC). Ce risque serait de 46% plus élevé chez les gros dormeurs dont la durée du sommeil serait de plus de 8 heures.
En règle générale, la durée est inférieure à 5 heures. Pour les longs dormeurs, la durée dépasse les 10 heures de sommeil par 24 heures, durée qui peut atteindre 12 à 14 heures le week-end. Dans les deux cas, le sommeil est efficace : le rapport temps passé au lit sur temps dormi est normal.
Les risques d'obésité et diabète
Bien dormir est essentiel pour le fonctionnement de l'organisme, mais lorsqu'on passe beaucoup de temps au lit, le corps ne brûle pas d'énergie. Des études ont établi une association à la fois de cause et d'effet entre les risques d'obésité et de diabète, et l'excès de sommeil.
pathologies psychiatriques comme la dépression ou les troubles bipolaires. l'obésité ou le surpoids. le diabète. autres : maladies neurodégénératives, accident vasculaire cérébral, tumeur cérébrale, traumatisme crânien, trypanosomose (maladie du sommeil), etc.
Mais que signifie trop dormir ? Une hypersomnie se caractérise par une somnolence excessive, soit une nuit de plus de 9 heures de sommeil. Ce trouble se manifeste par une fatigue sans raison apparente, une incapacité à se lever le matin et des somnolences importantes au cours de la journée.
La majorité des Français commencent leur travail entre 8 et 10 heures du matin. Donc pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures selon les individus), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30.
Si l'on dort la bouche ouverte, c'est que notre corps préfère respirer par cette voie. Seulement, en respirant ainsi, la bouche est asséchée, et la salive manque. Et c'est cette dernière composante qui est primordiale… La salive joue un rôle protecteur important sur les dents.
Lorsque vous dormez sur le ventre, votre position n'est pas idéale, en premier lieu pour votre dos : il est trop creusé, et votre colonne vertébrale est trop sollicitée. À terme, ce sont des douleurs lombaires qui peuvent ainsi apparaître.
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
Rien de bien compliqué : Fermez la bouche et inspirez doucement par le nez en comptant jusqu'à 5. Expirez tout l'air contenu dans vos poumons par la bouche en comptant jusqu'à 5. Imaginez que vous soufflez dans une paille : cela vous permettra de réaliser une bonne expiration.
La plupart des Français commencent le travail entre 8 et 10 heures. Pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30. Quelle est la bonne heure pour se lever ? Comme pour le coucher, l'heure idéale pour se lever n'existe pas.
Les causes de fatigue au réveil peuvent être multiples, d'ordre psychologique ou organique. Souvent, l'hygiène de vie est en cause, la fatigue étant due à : La mauvaise hygiène de sommeil, consécutive à des horaires de coucher et de lever très irréguliers.
Des chercheurs de l'école de médecine d'Harvard (États-Unis) ont ainsi découvert que dormir trop, tout comme manquer de sommeil, peut entraîner des problèmes de mémoire, mais pas seulement. Les risques cardiaques, de diabète de type 2 et même de dépression sont évoqués dans leur étude.
"En général, le gros dormeur dort entre 9 et 11 heures par nuit. Au-delà, il peut s'agir d'hypersomnie, qui est une pathologie", introduit Sylvie Royant-Parola. Le saviez-vous ? L'appartenance à une "catégorie" de dormeur et les particularités du sommeil (nombre d'heures nécessaires, durée des cycles, etc.)
On parle alors d'ivresse du sommeil, ou "sleep drunkenness" selon les scientifiques anglophones. "Ce comportement relève lui d'une pathologie rare - l'hypersomnie idiopathique - qui ne concerne que 1% de la population et dont on ne sait pas encore expliquer les causes" précise le chercheur.
On le sait : le manque de sommeil est (très) mauvais pour la santé. Se coucher tard et dormir peu augmente le risque cardiovasculaire, favorise les troubles de la mémoire et de l'attention, bouleverse l'équilibre du microbiote intestinal...
Il est, en outre, conseillé de ne pas se rendormir, même 10 minutes. « On se prive alors du cortisol que l'organisme a sécrété naturellement pour le premier éveil, et le second sera plus pénible », avertit la Dre Royant-Parola.
"Les couche-tôt ont tendance à manger des aliments plus sains", explique la psychologue Kristin Aschbacher qui a mené l'étude. Les personnes qui se couchent entre 19 heures et 23 heures mangeaient ainsi davantage de légumes, de fruits, de glucides riches en fibres et de protéines maigres.
L'étude a montré que les personnes qui s'endorment entre 22 et 23 heures ont moins de risque de développer une maladie cardiovasculaire. Celles qui s'endorment après minuit ont un risque accru de 25%. Et même celles qui s'endorment tôt, avant 22 heures, ont un risque augmenté de 24%.
Cette pénible sensation est due à un réveil contraint en plein milieu d'un cycle de sommeil. « Quand on fait une sieste trop longue la journée, surtout si on n'a pas assez dormi avant, on peut traverser un petit épisode de sommeil lent profond, l'épisode où le cerveau est ralenti.
Il n'existe pas de nombre d'heures de sommeil minimum pour être en forme. Toutefois, « les quatre premières heures de sommeil sont les plus réparatrices », souligne la chercheuse. Lors de ces périodes où le temps de sommeil est réduit, Joëlle Adrien préconise de faire « deux siestes de 20 minutes dans la journée ».
Pour débuter, la célèbre méthode 3-6-5 consiste à réaliser, 3 fois par jour, 6 cycles respiratoires, pendant 5 minutes. Chaque cycle se décompose en 5 secondes d'inspiration et 5 secondes d'expiration.
Faites descendre l'air dans votre abdomen. Pincez les lèvres et expirez lentement, pendant 4 secondes. Vous devez prendre deux fois plus de temps pour expirer que pour inspirer. Avec le temps, vous pouvez augmenter le nombre d'inspirations et d'expirations (par exemple, à 4 et 8 secondes).