La maladie concerne surtout les hommes de plus de 55 ans et les femmes de 65 à 70 ans. Mais l'infarctus peut survenir plus tôt si les facteurs de risque cardiovasculaire sont cumulés.
La majorité des patients jeunes pris en charge pour un IDM rapporte au moins 1 des 3 facteurs de risque suivants : sexe masculin, tabagisme actif et/ou hérédité coronarienne précoce (tableau I).
Les symptômes de l'infarctus sont une douleur de la poitrine qui dure plus de 20 à 30 minutes. Elle irradie derrière le sternum, dans le dos, les épaules, la mâchoire, ainsi que dans le bras gauche. D'autres symptômes sont possibles : anxiété, sueurs, vertiges, essoufflement, par exemple.
Quels sont les symptômes l'infarctus du myocarde ? Il s'agit en général d'une douleur très intense située en plein milieu du thorax (derrière le sternum), produisant une sensation angoissante de serrement, d'oppression évoluant initialement en vague ou, d'emblée, brutale.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
Pour l'infarctus du myocarde, le principal signe qui doit alerter est une douleur thoracique en barre, qui serre comme un étau et pèse sur la poitrine. C'est une douleur très forte, qui ne passe pas, avec une irradiation dans le bras gauche, la mâchoire, l'épaule ou le poignet.
Selon une étude américaine menée en Caroline du Nord, et portant sur 9500 personnes d'âge moyen (45 à 64 ans), il se produit en une quinzaine d'années presque autant (45%) d'infarctus du myocarde qui passent complètement inaperçus que d'infarctus avec symptômes (55%).
L'infarctus peut se manifester brutalement, comme un “coup de tonnerre”. Mais parfois, la sensation de gêne est présente depuis plusieurs jours et la typique douleur thoracique est absente.
Le risque d'infarctus du myocarde était approximativement 5 fois plus élevé chez les personnes ayant un taux de cortisol élevé par comparaison à celles qui avaient un taux de cortisol normal. Ces résultats indiquent que le stress chronique semble être un important facteur de risque d'infarctus du myocarde.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Quand la douleur thoracique dure plus longtemps (une semaine ou plus), les personnes doivent voir un médecin dès que possible, sauf si elles développent des signes précurseurs ou si la douleur s'aggrave progressivement ou se produit plus souvent, dans quel cas elles doivent se rendre immédiatement à l'hôpital.
Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.
Essoufflement. Pâleur, sueur et faiblesse générale. Nausées, vomissements et parfois indigestion. Peur et anxiété.
Qu'est-ce qu'une crise cardiaque
Une crise cardiaque se produit lorsque l'apport sanguin à une partie du cœur est interrompu par l'obstruction d'une artère coronaire. Privées d'oxygène, les cellules de cette partie du muscle cardiaque meurent peu à peu tant que l'apport n'est pas rétabli.
Bras tendus, les jambes bien ancrées au sol, dans le prolongement du bassin donc un peu écartées, vous pliez, vous dépliez. Vous descendez, vous remontez. 30 fois. 30 flexions à un rythme assez soutenu dans la mesure où il faut que ça soit bouclé en 45 secondes.
Pour le vérifier des cardiologues, proposent un test qui prend moins de deux minutes et qui ne nécessite pas d'autre matériel qu'un escalier. Comment faire ? Lancez un chronomètre et tentez de monter quatre étages : si vous mettez moins d'une minute, cela signifie que votre cœur est en bonne santé.
Pour cela, il faut se placer à genoux à côté de la victime et positionner ses mains l'une sur l'autre. Il faut ensuite appuyer de tout son corps sur son thorax et enfoncer ses mains de 5 à 6 centimètres, en remontant entre chaque compression.
"Il est utile aussi de consulter un cardiologue avant certaines interventions chirurgicales (bilan préopératoire), lors de la reprise du sport après 45 ans chez un homme ou une femme plutôt sédentaire et en cas de pratique sportive intensive (par exemple semi-marathon, marathon)", indique le Pr. Mounier-Vehier.
D'après une recherche américaine, les personnes souffrant d'apnée du sommeil présentent un risque beaucoup plus élevé que la normale de mourir d'une crise cardiaque au cours de la nuit.
Ces douleurs peuvent être causées par : une crise cardiaque ou infarctus du myocarde : la douleur est intense, brutale et nécessite d'appeler les secours rapidement ; une angine de poitrine ou angor, c'est-à-dire d'une insuffisance d'irrigation sanguine du cœur.
Le stress est un facteur déclenchant de troubles du rythme cardiaque, d'accidents coronariens aigus, d'insuffisances cardiaques soudaines, de morts subites. Tous les cardiologues peuvent rapporter des observations de décès à l'occasion d'émotions fortes, d'événements tragiques.
Quelles sont les causes d'une pointe au cœur ? Les cause d'une douleur à la poitrine sont multiples. Elle peut être liée à un infarctus du myocarde, une embolie pulmonaire, une péricardite, une dissection aortique.