Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.
De fait, l'équipe a constaté que boire une quantité modérée de vin rouge avait même un effet légèrement protecteur, et pouvait faire diminuer le risque de cancer de la prostate d'environ 12%.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
Une consommation qui ne pose pas de problème
L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé. Comme le vin, la bière peut avoir des effets bénéfiques sur le cœur.
La consommation d'alcool, même modérée, est associée à une augmentation du risque de développer un cancer de la prostate, selon une méta-analyse. On sait l'alcool responsable d'un certain nombre de cancers, mais des soupçons planent toujours sur son impact exact sur la prostate.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.
Une consommation trop importante pourrait ainsi : Augmenter les risques de survenue de nombreux cancers, dont tous les cancers des voies digestives (bouche, œsophage, estomac, côlon …) et le cancer du sein. Favoriser la survenue de maladies cardiovasculaires. Être une des principales causes de cirrhose.
L'alcool peut-il augmenter le risque de développer une hyperplasie de la prostate? Ce serait plutôt le contraire! D'après l'état actuel de la science, il existe une corrélation négative entre la consommation d'alcool et le risque d'HBP.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
Certaines études ont montré que manger ou boire beaucoup de produits laitiers, comme le lait ou le fromage, pourrait augmenter votre risque de cancer de la prostate.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
Toutes les boissons alcoolisées favorisent les infections urinaires puisque l'alcool est irritant pour la paroi de la vessie. Il facilite donc l'inflammation et l'infection. De plus, l'alcool est acide, et l'acidité des urines stimule la prolifération des bactéries.
Taux bas. Un taux de PSA en dessous de la normale est rare et peu significatif sauf lorsqu'il s'agit de la fraction de PSA libre. En effet, un taux abaissé de PSA libre constitue un argument en faveur d'un possible cancer de la prostate et cela nécessite des examens complémentaires.
Les résultats d'une étude américaine publiée démontrent que l'alcool, et en particulier la bière, seraient impliqués dans le développement de la goutte, une maladie inflammatoire des articulations, et ce même lorsqu'ils sont consommés avec modération.
La bonne bière ne se déguste jamais trop froide. On évite par exemple de la servir glacée car le palais sera anesthésié par le froid et vous ne ressentirez aucune subtilité d'arômes et saveurs. Si votre bière sort du réfrigérateur, attendez entre 5 et 10 minutes avant dégustation pour qu'elle se réchauffe légèrement.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Boire de la bière ne procure en aucune façon les bénéfices associés à ces formes de suppléments. On retrouve en quantité modeste des antioxydants nommés polyphénols (surtout dans les bières foncés). Ces composés sont reconnus pour avoir des effets positifs sur le système immunitaire et le vieillissement.
Consommation excessive de la bière : les effets sur le foie
Étant interrompue, la première conséquence est la formation d'un dépôt de graisse à l'intérieur des cellules hépatites, appelée stéatose. Si la consommation excessive persiste, il s'ensuit une destruction des cellules du foie.