Non seulement Bouddha croyait en Dieu, mais il le connaissait. Il y avait de nombreux athées à l'époque du Bouddha, comme les Matérialistes du Chârvâka, et le Bouddha critiquait leur manque de foi dans une réalité spirituelle.
Dieux et déités dans le bouddhisme. Dieu n'existe pas selon le bouddhisme; mais les dieux existent selon le bouddhisme. Toutefois, le bouddhisme ne peut être dit polythéiste, car les dieux n'y sont pas, proprement parler, des figures de transcendance; seuls les bouddhas et les êtres libérés le sont.
Le bouddhisme est une religion et une philosophie dont les origines se situent en Inde aux VI e – V e siècles av. J. -C. à la suite de l'éveil de Siddhartha Gautama à Bodhgaya dans le Bihar et de la diffusion de son enseignement.
Le bouddhisme tibétain est, en effet, issu du bouddhisme indien, des enseignements tantriques et du bouddhisme chinois. La plupart des pratiques du bouddhisme tibétain pratiquées aujourd'hui proviennent d'enseignements apportés par des maîtres bouddhistes indiens.
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Dieu le Père et Jésus.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
Quant à celui qui ne croit pas en la réincarnation, le kālāma sutta lui enseigne quatre consolations, dont voici la seconde : « Supposons qu'il n'y ait aucun au-delà et qu'il n'y ait aucun fruit, résultat, des actions faites, bonnes ou mauvaises.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
Une pointe au sommet de la tête du Bouddha représente la conscience réalisée (lingam, ou phallus). Son crâne recouvert de coquilles d'escargots symbolise l'hermaphrodite : l'être spirituel non identifié au genre.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Il s'agit d'un homme appelé à l'origine Siddhartha Gautama qui a vécu dans ce qui est aujourd'hui le nord de l'Inde et du Népal il y a environ vingt-cinq siècles.
C'est un symbole de prospérité, de joie de vivre, de sagesse ainsi qu'un porte-bonheur : frotter son ventre apporterait richesse et chance, dans la croyance populaire.
Les trois formes institutionnalisées de la religion chinoise sont le confucianisme, le bouddhisme et le taoïsme.
Histoire. Si le terme "réincarnation" a été créé en 1857 par Allan Kardec, le fondateur du spiritisme, cette hypothèse remonte à l'aube de l'humanité.
La réincarnation est une conception présente dans les religions et philosophies de vie orientales comme l'hindouisme et le bouddhisme. Elle correspond à un passage de l'âme d'un corps à un autre en fonction des mérites de nos vies antérieures.
On peut avoir des informations sur ses vies antérieures grâce à ses rêves. On peut également faire des méditations guidées, en sachant où on met les pieds. On voit parfois des choses très dures qu'il faut être capable d'accepter.
Le vinaya pitaka, en cinq volumes, qui comprend des règles de discipline pour le Sangha bouddhiste ; et L'abhidhamma pitaka, en sept volumes, qui est une systématisation philosophique des enseignements du Bouddha.
Le bouddhisme, qu'il s'agisse d'une religion, d'une philosophie ou d'une pratique souvent centrée sur la méditation, fut fondé par Siddhartha Gautama. Celui-ci naît environ en -556 du calendrier julien en Inde et sa doctrine se diffusera plus largement deux siècles plus tard.
Idris (ou Enoch en hébreu) est le deuxième prophète à être cité dans le Coran.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Qui meurt ? Pour les bouddhistes, c'est l'agrégation des composants de la personne physique et le sentiment du « moi » dans cette vie qui meurent tandis que perdure le continuum d'impulsions instantanées de conscience. Le décès marque donc la fin de l'incarnation plutôt que la cessation de la vie.
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.