Certaines personnes font facilement craquer leurs articulations, parfois involontairement. Une disposition qui n'est ni vertueuse ni délétère. Et qui n'expose donc en aucun cas au risque de développer de l'arthrose.
Quand la pression diminue dans ces cavités, des bulles peuvent se former dans le liquide synovial. Ce sont ces bulles qui explosent quand on fait craquer ses articulations, ce qui entraîne ce bruit caractéristique.
Tout simplement parce que nous nous sentons mieux, plus souples ou moins raides après coup (au niveau de l'articulation manipulée tout du moins). Le soulagement n'est toutefois que temporaire et ses effets s'estompent après une vingtaine de minutes, ce qui conduit généralement les « craqueurs » à récidiver.
Essayez de prendre un doigt entre le pouce et l'auriculaire de la main opposée. Tenez l'articulation du milieu. Pressez avec vos deux doigts sur l'articulation maintenue et vous pourrez entendre un léger craquement, pas aussi fort que les autres, mais audible quand même.
En faisant craquer son cou, on peut déchirer les artères qui vont vers l'os du cou. Or, la déchirure de ces artères vertébrales peut entraîner un accident vasculaire cérébral. D'ailleurs, la survenue d'une douleur soudaine au niveau du cou peut être un symptôme d'accident vasculaire cérébral.
FAUX. Se faire "craquer le dos" (seul ou avec quelqu'un) est absolument déconseillé : seuls les professionnels peuvent correctement effectuer cette manipulation, et on risque par ailleurs de se faire encore plus mal.
La pratique serait donc sans danger, jusqu'à preuve du contraire. La plupart des études médicales s'accordent sur cette conclusion. Mais une étude de 1990 sème le trouble. Elle conclut en effet que faire craquer ses articulations sur une longue période pourrait provoquer des gonflements.
Le chiropraticien est un expert dans les manipulations d'articulations. Il évalue et prend en charge les troubles de l'appareil locomoteur entraînant des douleurs.
Quand ces bulles éclatent, on entend un claquement, on appelle cela la cavitation. C'est un phénomène normal, qui s'estompent après plusieurs flexions par exemple. Pour éviter les accidents ou les douleurs, il faut faire de l'exercice.
Il existe aussi une très bonne méthode pour vous forcer à laisser vos doigts tranquilles : celle de l'élastique ! Accrochez le cordon autour de votre poignet, et tirez-le vers vous lorsque vous serez tenté de casser vos pouces. Non seulement ça fait mal, mais en plus ça déstresse !
Automassage des pieds et des orteils
Posez vos deux pouces à plat sous le pied, à l'arrière des orteils et pétrissez la peau comme si vous vouliez séparer les métatarses. Placez vos mains de chaque côté du pied puis frictionnez vigoureusement en faisant des mouvements de va-et-vient et de haut en bas.
Les craquements des doigts semblent être provoqués par l'apparition soudaine et temporaire d'une cavité gazeuse intra-articulaire, appelée tribonucléation. Les autres recherches sur ces bruits se portent principalement sur les genoux et leurs liens avec l'arthrose, ainsi que sur le rachis.
Cette difficulté peut être causée par un manque de force au haut ou au bas du corps, une amplitude de mouvement moindre, un problème d'équilibre ou toutes ces raisons à la fois. On peut craindre aussi d'avoir l'air maladroit ou de perdre l'équilibre en se relevant du sol.
Douleur qui réveille la nuit : souvent un problème inflammatoire. Une douleur insomniante très vive qui survient brutalement peut signaler une inflammation de l'articulation (arthrite). Souvent une chondrocalcinose, liée à la présence de microcristaux de pyrophosphate de calcium dans les cartilages et les ménisques.
Le dérobement est lié à l'absence de contraction du muscle quadriceps, ce qui entraîne une flexion du genou. Ce lâchage du genou peut-être "réflexe" suite à une douleur ou simplement lié à une faiblesse du quadriceps, à un déséquilibre entre quadriceps et ischios.
Poussez le menton vers la gauche.
Tenez-la entre vos mains et faites-la pivoter vers la gauche doucement, mais avec fermeté. Pendant que vous poussez votre menton vers la gauche, tirez aussi votre tête dans cette direction avec votre main droite qui se trouve déjà derrière votre tête.
Les chiropracteurs et ostéopathes peuvent être tous deux consultés principalement en cas de douleurs lombaires, de contractures musculaires ou de raideurs, mais il n'est pas facile de faire la distinction entre les deux.
Ces bruits articulaires sont dus à la libération d'air et de gaz formé lors des positions maintenues trop longtemps avec une certaine contrainte ou lors de mouvements répétitifs. Dans le cas d'articulations saines, et en l'absence de douleur, on peut provoquer ces craquements des phalanges ou des vertèbres.
Il s'agit de boucher son oreille avec la paume d'une main, en plaquant les doigts à l'arrière du crâne. On place le majeur sur l'index et, par un roulement sec et bref, on fait claquer le majeur sur la tête. On répète l'exercice neuf fois, en inspirant et expirant.
Essayez bien de descendre le coccyx vers le sol ; Tenez la position 30 secondes à 1 minute ; Relevez-vous en déroulant lentement le dos, vertèbre après vertèbre ; Renouvelez si nécessaire l'étirement plusieurs fois.
On entrelace ses mains et tend les bras au-dessus de la tête pour s'étirer vers l'arrière puis incliner le tronc vers la gauche et la droite. «S'allonger quelques minutes peut également permettre de libérer la colonne vertébrale du poids du corps.
La position sur le côté est la meilleure si vous souffrez d'un mal de dos, c'est celle qui met le moins de contraintes sur la colonne. Afin d'optimiser cette position, vous pouvez mettre un coussin entre vos deux jambes, au niveau des genoux afin d'éviter une rotation de la colonne lombaire.
Étirement vers le haut
Assise, les mains jointes sur le ventre. Monter les mains au-dessus la tête, en gardant les coudes ouverts (premier dessin). Puis tirer les bras vers le haut (second dessin) – maintenir l'étirement cinq secondes – et redescendre sur le ventre sans freiner.
Elles peuvent être infectieuses, endocriniennes, neurologiques, inflammatoires, génétiques, rhumatologiques, liées à un médicament, etc. La faiblesse peut débuter dans l'enfance (myopathie génétique, par exemple) ou beaucoup plus tard dans la vie.