Pour les chrétiens, c'est un mystère : le mystère de la Trinité. Dieu est unique et, pourtant, il est trois personnes : le Père, le Fils (Jésus) et le Saint-Esprit. Quand Jésus prie Dieu, il ne se parle pas à lui-même ! La prière de Jésus nous apprend à parler à Dieu comme à notre Père.
Jésus a grandi dans la famille de Marie et de Joseph. Avec Marie, Joseph est entré dans le projet de Dieu en prenant soin de Jésus et en l'aidant à grandir, tel un père adoptif. Mais c'est Dieu que Jésus appelle « Abba » (papa), dans l'Évangile.
Selon le Nouveau Testament, Joseph le charpentier est l'époux de Marie et le père adoptif de Jésus. Jésus est "né du Père et du Saint-Esprit".
La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
Pour les chrétiens, Jésus est le fils de Dieu. Jésus est une partie inhérente de Dieu, car il est une part de la Sainte Trinité (Dieu le père + Jésus le fils + l'Esprit Saint). On dit aussi que, à travers Jésus, c'est Dieu qui s'est fait chair parmi les Hommes.
Dans les Évangiles, Jésus révèle avoir une relation très particulière avec Dieu, qu'il appelle « Père ». De même, Dieu à plusieurs reprises appelle Jésus « son Fils bien aimé ». La mission de Jésus lui est donnée par son Père, de même la connaissance de Dieu le Père n'est possible que par Jésus seul.
La prière de Jésus nous apprend à parler à Dieu comme à notre Père. Dieu fait en lui l'expérience de l'amour. Et celui qui unit Jésus à son Père est tellement fort qu'ils ne sont qu'un. Quand Jésus prie Dieu, il ne se parle pas à lui-même !
Jésus est la seule personne née d'une mère mortelle, Marie, et d'un père immortel, Dieu le Père. C'est pour cette raison qu'il est appelé le Fils unique du Père. De son Père, il a hérité de pouvoirs divins (voir Jean 10:17-18).
En parlant de Dieu, Jésus dit : "Mon Père". Et même, dans sa prière, il lui dit : "Abba". C'est presque aussi familier que notre "Papa". En l'entendant parler ainsi les disciples de Jésus ont compris qu'il venait de Dieu, et même qu'il était avec Dieu depuis toujours.
Et les chrétiens ont fini par se mettre d'accord sur le fait qu'ils croient que Dieu est Trinité, Père, Fils et Esprit : un seul Dieu en trois personnes, comme on dit ! Et que c'est même le cœur de la foi.
L'origine de Yahvé et sa véritable identité. Etudes comparatives et traduction des textes Phéniciens, Ougaritiques et Hébraïques. La vrai nom propre du DIEU le PÈRE c'est YHWH - YAHUAH - YAH.
Si de nombreuses incertitudes entourent le Jésus « historique », les textes les plus anciens indiquent qu'il avait des frères et des sœurs. Le Nouveau Testament en dénombre six au minimum : Jacques, Joset, Jude et Simon ; les sœurs, si elles sont mentionnées, ne sont jamais nommées.
On ne sait pratiquement rien de ses grands-parents, peu de chose de ses parents et de ses frères et sœurs. Né d'un couple non marié, le sauveur des chrétiens n'avait pas vraiment l'esprit de famille.
Mais surtout, comme on vient de le voir, Dieu le Père est d'un autre ordre. Nous l'appelons Père parce qu'il est infinie tendresse, qu'il a tout créé par amour et qu'il nous invite à être ses fils dans le Fils. La prière du Notre Père, que le Christ nous a donnée, nous indique un chemin de dialogue avec lui.
Dieu est notre Père céleste, le Père de notre esprit. Jésus-Christ et le Saint-Esprit font partie avec lui de la Divinité. Ils sont des êtres distincts ; leurs rôles sont distincts mais ils sont un pour ce qui est de leurs objectifs.
Oui, il est presque probable, mais ce n'est pas une vérité de foi, qu'il existe encore des descendants de la famille de Jésus au Liban-Sud, issus de la famille de Joachim et de sainte Anne, ou de celle de Zébédée, ou de Simon, de Joset et Jude cités par saint Marc (Mc, VI, 3) ou de personnages féminins non mentionnés ...
Les contemporains l'auraient appelé Yeshua Bar Yehosef ou Yeshua Nasraya. (C'est «Jésus, fils de Joseph», ou «Jésus de Nazareth».) Les Galiléens se distinguaient les uns des autres avec le même prénom en rajoutant soit «fils de» et le nom de leur père, soit leur lieu de naissance.
Il exprime de manière déchirante la séparation entre Dieu et son Fils, Jésus de Nazareth, lui qui a revêtu pleinement notre humanité sans perdre sa divinité. Cette séparation est la mort spirituelle. Elle représente le salaire du péché payé par Jésus-Christ à notre place (A.
Il rappelle simplement qu'il n'y a qu'une seule paternité, celle de Dieu. Toute paternité prend sa source dans celle de Dieu et participe de celle de Dieu. Saint Paul parle d'«un seul Dieu et Père de tous» (Éphésiens 4, 6) et de «Dieu de qui découle toute paternité».
34Swinburne parle de Dieu comme d'une personne sans corps, éternelle, libre, capable de tout faire, qui sait tout, est parfaitement bonne, est l'objet approprié de la louange et de l'obéissance humaines, créateur et celui qui soutient l'existence de l'univers.
Marie est présentée par Luc comme « une jeune fille vierge » vivant à Nazareth, en Galilée, accordée en mariage à Joseph. Matthieu introduit directement Marie comme l'épouse de Joseph et celle par qui Jésus a été engendré.
Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
On peut évoquer : « Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu » (Mt 5,9) ou « ceux qui auront été jugés dignes d'avoir part à ce monde-là et à la résurrection … sont fils de Dieu (υἱοί εἰσιν θεοῦ) étant fils de la résurrection » (Lc 20,35b–36a).
L'Esprit-Saint est une personne divine qui scelle l'union entre le Père et le Fils ; il est donc au coeur de la vie trinitaire. L'Esprit est aussi mystérieux que le Père et le Fils, mais il rappelle plus impérieusement que Dieu est mystère car il est unique mais, en même temps, révélé en trois personnes.