Dieu juge, effectivement. C'est ce que nous proclamons dans le Credo : « Il viendra juger les vivants et les morts. » La notion de jugement n'est pas à récuser. Elle n'est pas à prendre à la légère. Mais la question est de savoir de quelle justice il s'agit.
Seul Dieu juge et seul il prononce la sentence en vérité. Juger humainement, c'est mépriser la richesse de sa bonté, de sa patience et de sa longanimité » (Rm 2,4). Car le « juste jugement » de Dieu (ἡ δικαιοκρισία dikaiokrisia) ne relève pas de notre conception de la justice.
Epreuve judiciaire destinée à justifier ou à confondre un accusé, l'ordalie1, au Moyen Age, laissait à la décision de Dieu le jugement. Elle consistait à faire subir une épreuve par le feu ou par l'eau à l'accusé ; s'il en sortait sauf, il était en général jugé innocent.
La justice de Dieu n'est pas une justice exercée, ni la loi en vertu de laquelle le pécheur est puni, mais une justice reçue, une justice passive, par laquelle Dieu nous acquitte du péché, grâce à laquelle il nous rend juste, une justice que nous laissons agir en nous par la foi.
Le Jugement dernier (italien : Il Giudizio Universale) est une fresque réalisée par Michel-Ange, alors âgé de soixante ans, sur la paroi derrière l'autel de la chapelle Sixtine au Vatican.
Les âmes des morts passent devant les trois juges Éaque, Minos et Rhadamanthe qui statuent sur leur sort pour l'éternité.
La tradition chrétienne occidentale fixe symboliquement le jour du jugement le 25 mars qui correspond à la fête de l'Annonciation.
a) Qui juge, qui se comporte selon la justice. Dieu, maître, peuple juste; âme, cœur juste; être, se montrer juste à l'égard de, envers qqn. Il n'y a point d'homme innocent dans ce monde; (...)
Il faut avoir le plus grand respect de Dieu et de son nom. Non seulement on ne peut faire de faux serments et on s'acquittera de ceux que l'on a prononcés, mais il ne faut pas jurer du tout. Aller plus loin que le « oui » et le « non » vient du Mauvais.
L'idée même des « fruits de la justice » est un concept qui est attaqué dans le monde actuel. Convaincre les gens de choisir la justice est une gageure millénaire. « L'homme naturel est ennemi de Dieu » (Mosiah 3:19). Il y a toujours eu de l'« opposition en toutes choses » (2 Néphi 2:11).
Dans la Bible, les sept Trompettes de l'Apocalypse annoncent les fléaux qui vont s'abattre sur la terre. Elles sonnent la fin des temps. Or depuis 2012, on les aurait entendues à divers endroits de la planète…
Le Jugement dernier mène à son accomplissement l'œuvre de salut accomplie par le Christ en sa mort et résurrection.
Lorsque Dieu ferme une porte, il en ouvre toujours une autre."
Il n'existe qu'une manière de juger d'un jugement juste, comme le fait Jésus-Christ, et c'est d'être tel qu'il est. Au cours de sa vie dans la condition mortelle, Jésus-Christ fut un juge aimant, exceptionnellement sage et patient.
Nos jugements justes sur les autres peuvent leur fournir des conseils dont ils ont besoin et, dans certains cas, peuvent nous protéger, nous et notre famille. Nous devons toujours juger avec sollicitude et compassion. Autant que possible, nous devons juger les situations des gens plutôt que les personnes elles-mêmes.
La Sainte Ecriture est formelle là-dessus : on ne doit pas juger son prochain (Mt 7,1-5 ; Jc 4,11-12) car le jugement appartient à Dieu, qui scrute les cœurs et les reins et qui connaît parfaitement le cœur de l'homme. Mais il semble que l'homme ne peut s'abstenir de se juger et surtout de juger son semblable.
La grâce de Dieu est la source de la justification, le sang versé par le Christ en est le fondement, et la foi le moyen qui nous unit au Christ et nous donne d'être justifiés. Dieu justifie celui qui croit, non en raison de la valeur de sa foi, mais en raison de la valeur de celui sur qui elle repose.
Le Royaume de Dieu ou Règne de Dieu ou Royaume des cieux est un concept théologique à dimension eschatologique du judaïsme et du christianisme ainsi que, dans une moindre mesure, de l'islam. Il reprend un concept plus ancien de royauté divine que l'on trouve dans le Proche-Orient ancien.
1. [En parlant d'une pers.] a) Qui juge, qui se comporte selon la justice. Dieu, maître, peuple juste; âme, cœur juste; être, se montrer juste à l'égard de, envers qqn.
Le titre de « Juste parmi les Nations » peut être décerné lorsque les informations disponibles, basées sur le témoignage d'un survivant ou sur des documents divers, démontrent clairement qu'une personne non-juive a risqué sa vie, sa liberté et sa sécurité pour sauver un ou plusieurs Juifs de la mort ou de la ...
la loi est-elle toujours juste et 2. faut-il laisser autre chose que soi ( et sa raison) distinguer ce qui est juste, de ce qui ne l'est pas. 3. si c'est la loi qui définit ce qui est juste alors on pourrait penser que la légalité, la conformité à la loi suffit pour être juste.
2) la Zakât (aumône légale) ; 3) le pèlerinage à La Mecque ; 4) le jeûne (du mois de Ramadan) ; 5) la prière (qui doit être faite cinq fois par jour).
3L'existence du Paradis terrestre était connue grâce au texte de la Bible, plus précisément, grâce au livre de la Genèse. L'Éden y est décrit comme un jardin merveilleux, situé à l'Orient, au milieu duquel se trouvent "l'arbre de vie" et "l'arbre de la science du bien et du mal"2.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).