Bonsoir, Le dictionnaire dit que, devant un adjectif, l'accord de "grand" est facultatif : on peut donc écrire : les yeux grand ou grands ouverts. Les deux façons sont bonnes.
Le Petit Robert est très clair, le mot fait son pluriel avec deux «s». On écrit ainsi «grands-mères», «grands-pères», «grands oncles» et «grands-tantes». Soit, l'exact opposé du Trésor de la langue française. Selon ce dernier, il n'existe en effet qu'une seule règle: «grand-mères», «grand-mamans».
L'adjectif grand se place généralement avant le nom et s'accorde en genre et en nombre avec celui-ci : une grande maison. des grandes fenêtres.
Invariable. L'adjectif possible est invariable lorsqu'il est placé après les superlatifs le meilleur, les meilleurs, le moins, les moins, le plus, les plus, etc. Il signifie alors « qu'il est possible » et ne se rapporte pas au nom pluriel. Prenez le moins de risques possible.
L'Académie répond : Grand employé adverbialement est le plus souvent variable dans des formules comme : ouvrir la porte toute grande ; ouvrir toute grande la porte ; les portes sont grandes ouvertes ; des rideaux grands ouverts ; les yeux grands ouverts.
L'usage actuel, comme le dit parfaitement ChristianF, est d'accorder l'adjectif grand au masculin pluriel. On peut s'étonner de l'absence d'accord au féminin : des grandes-mères. C'est l'étymologie qui l'explique. Grand vient en effet du latin « grandis » qui garde la même forme au masculin et au féminin.
– Oui, souvent dans les livres de grammaire, ils sont traités à part parce que ce sont des adverbes qui se construisent toujours de la même manière, c'est-à-dire sur le féminin de l'adjectif. Par exemple “grand”, on met au féminin “grande” et on rajoute -MENT -> grandement.
En français, la règle générale pour la formation du pluriel d'un nom ou d'un adjectif est de rajouter un s à la fin du mot. Les exceptions concernent les mots finissant par : -s, -x, -z, -al, -ail, -ou, -eau, -au, -eu, -œuf et -os.
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
Exceptions : pneu, landau et bleu prennent un –s au pluriel. Les mots en -al au singulier ont un pluriel en -aux. Exceptions les plus courantes : carnaval, festival, chacal, récital, fatal, banal, natal, naval prennent un –s au pluriel.
Selon les Immortels, il faut écrire "des grand-mères" (sans "s" à "grand"), mais Le Robert préconise "des grands-mères" (avec deux "s") tandis que le Larousse accepte l'une et l'autre formes. Sachez enfin que la même joyeuse anarchie règne pour le pluriel de "grand-voile", de "grand-tante" et de "grand-messe"...
Grand-parent est composé d'un adjectif, grand , et d'un nom, parent . Au pluriel, il reçoit deux marques de pluriel et on écrit des grands-parents avec deux s .
grand-mère, grand-mères ou grands-mères.
grand-père n.m. Père du père ou de la mère. arrière-grand-père n.m.
Au pluriel, les mots prennent souvent un -s . Ça, tout le monde le sait. Il y a aussi certains mots qui prennent toujours un -s à la fin tout simplement parce qu'ils sont toujours au pluriel : des honoraires, des frais…
Règle générale
L'adverbe tout est généralement invariable devant un adjectif, un autre adverbe ou un gérondif (participe présent précédé de en). Exception : L'adverbe tout s'accorde en genre et en nombre devant un adjectif féminin qui commence par une consonne ou un h aspiré.
Vous avez raison : si vous pouvez remplacer « suivant » par « qui suivent, il s'agit du participe présent, donc » ANT ». S'il y avait eu « elles se sentit mieux les jours suivants. » ; on aurait gardé le « s » car « suivant » est adjectif ( remplacer par les semaines suivantes ou suivant).
Donc, on peut le dire, le « -s » final de « toujours » est bien à l'origine le fameux « -s » du pluriel (= « tous les jours »). Ce n'est pas le cas pour « mais » et « jamais » qui se terminent par un « -s » dit adverbial, qu'on rencontre dans divers adverbes (« alors », « puis ») et prépositions (« après », « dès »).
La forme plurielle comme nous la connaissons de nos jours ne s'est imposée qu'à partir du XVIème siècle. Mais pourquoi ? Tout simplement parce que le terme “obsèques” désigne une pluralité, notamment une pluralité de rituels permettant d'honorer une personne décédée.
nom masculin (pluriel Portails).
étendu, haut, long, spacieux, vaste.
L'adjectif grand est antéposé lorsqu'il indique la célébrité, l'importance ou le respect. Un grand homme.