Si les premiers signes de la calvitie peuvent survenir à la vingtaine, début du ralentissement de l'activité des follicules, il est communément reconnu que celle-ci ne peut se stabiliser avant l'âge minimum de 30 ans.
On estime qu'entre 20 % des hommes et 5 % des femmes commencent à souffrir d'alopécie androgénétique dès la puberté. Aujourd'hui, il n'existe toujours pas de traitement permettant de guérir de l'alopécie androgénétique ; néanmoins, il est possible d'agir pour éviter que les cheveux ne disparaissent pas définitivement.
Une évolution en 7 stades...
Ces 7 stades - revus par O'Tar Norwood dans les années 1970 - font toujours référence. La majorité des alopécies de stades 4 à 5 ont lieu entre 30 et 40 ans, mais il peut être d'observé avant 30 ans s'il s'agît d'une alopécie androgénétique précoce.
Il est possible de se faire prescrire des traitements pour ralentir l'arrivée de la calvitie : des médicaments comme la minoxidil et le finastéride peuvent se révéler efficaces. A noter cependant que certains patients se plaignent d'effets secondaires comme des maux de tête, démangeaisons, troubles de la libido.
Le stade 1 correspond au début de la calvitie lorsque les premiers signes commencent à apparaître : léger dégarnissement au niveau des golfes temporaux et frontaux. Le stade 2 intervient lorsque le dégarnissement s'accentue au niveau des golfes temporaux et frontaux, et débute au sommet du crâne.
Si les premiers signes de la calvitie peuvent survenir à la vingtaine, début du ralentissement de l'activité des follicules, il est communément reconnu que celle-ci ne peut se stabiliser avant l'âge minimum de 30 ans.
L'alopécie androgénétique concerne environ 70% des hommes et commence généralement vers l'âge de 40 ans. Il existe bien entendu de nombreux cas où la calvitie débute dès l'âge de 18/20 ans.
L'alopécie androgénétique
Cette forme de calvitie constitue la principale cause de la chute de cheveux chez les jeunes, à partir de 16 ans. Chez les hommes, l'alopécie androgénétique s'explique par une production accrue de dihydrotestostérone (DHT).
Dans le cadre d'une greffe de cheveux, les cheveux implantés reprendront leur cycle de croissance normal et auront ainsi une durée de vie identique aux cheveux présents dans la zone donneuse.
La calvitie est donc causée par un excès d'hormones mâles, très souvent due à une hérédité. Cependant, d'autres causes peuvent être à l'origine d'une calvitie : un stress permanent, une mauvaise hygiène de vie, des carences alimentaires ou certains médicament peuvent entraîner la perte de cheveux.
Environs 25% des hommes entre 25 et 35 ans sont touchés par cette forme de calvitie, 20% aux alentours de 20 ans. Mais attention, cela ne veut pas dire que les adolescents ou jeunes adultes qui en souffrent ont le crâne complètement nu.
Perte de volume capillaire : les cheveux semblent clairsemés ; Zones circulaires dégarnies ; Perte excessive de cheveux lors de la douche ou du brossage ; Repousse des cheveux plus lente.
La principale cause de la calvitie est un excès d'hormones mâles : la faute aux androgènes donc ! Cet excès est héréditaire : si votre père est dégarni, vous aurez de grandes chances de l'être. En fait, les hormones mâles vont accélérer le cycle de vie du cheveu, rendant la chute plus rapide.
Les tomates, les carottes, le thon et l'œuf font partie des aliments riches en vitamines B. Le magnésium, les protéines et le fer contribuent également à retarder la calvitie. Ils nourrissent les racines capillaires et participent à leur oxygénation.
Greffe capillaire : quel est l'âge idéal ? Ni trop jeune, ni trop “vieux”, avec une perte de cheveux stabilisée. Ainsi en moyenne, une greffe de cheveux s'effectue aux alentours de 35/40 ans.
Les douleurs post-opératoires suivant une greffe de cheveux sont minimes voire inexistantes. On parle plus généralement de « gènes », de « démangeaisons » et de « tiraillements » dans la zone donneuse. Ces sensations sont temporaires et disparaissent au bout de quelques jours.
Plusieurs cliniques proposant des greffes capillaires, et gérées par la même personne, ont dû suspendre leurs activités après des contrôles et un cas de septicémie. Plusieurs centres de greffes capillaires sont dans le collimateur du Ministère de la Santé.
Eviter les frottements
Les frottements répétés abîment le cheveu. Un séchage un peu trop rude avec une serviette fragilise d'autant plus le cheveu s'il est mouillé. Résultat : la fibre capillaire se casse.
Il est important de ne pas réaliser une greffe de cheveux trop tôt. En effet, en cas de perte de densité débutante (Stade I et II), l'évolution se fera très probablement vers une aggravation progressive de la chute de cheveux. L'alopécie masculine est d'origine androgénétique dans 95 % des cas.
Les chercheurs savent depuis quelque temps que la présence d'une variante génétique sur le chromosome X est liée à l'apparition de la calvitie androgénétique. « C'est de là que vient l'idée que le gène de la calvitie est transmis par la mère », a expliqué le chercheur.
La santé des cheveux passe aussi dans l'assiette. Ainsi il a été observé qu'une alimentation trop grasse favoriserait la calvitie. À l'inverse, une alimentation équilibrée comblera leurs besoins en fer, cuivre, zinc, silicium et vitamines. Par ailleurs, une bonne hygiène de vie est bien évidemment conseillée.
Quel est le coût moyen des implants capillaires en France ? En France, on constate que le prix d'une greffe de cheveux varie ente 4 000 € et 10 000 €. Le calcul du coût total des implants pour cheveux dépend principalement du nombre de greffons dont vous avez besoin et de la technique d'opération retenue.
La chevelure change beaucoup à l'adolescence, avec le développement des hormones sexuelles. Les cheveux deviennent souvent plus gras, moins dociles et présentent parfois des pellicules. Plus grave pour certains, la densité de la chevelure commence même à diminuer, une chute de cheveux débutant insidieusement.
"Le port d'une casquette ou d'un chapeau ne peut pas être responsable de la perte des cheveux. Mais une forte tension ou un appui important sur les cheveux peut favoriser une chute de cheveux.
La plus fréquente, elle se manifeste par une diminution du volume des cheveux, voire une calvitie, et touche 70 % des hommes (20 % des hommes entre 20 et 30 ans, la chute de cheveux débutant généralement vers 20 ans et se stabilisant à 30 ans) ; l'alopécie aiguë.