Une étude publiée dans Nature Geoscience suggère un phénomène fascinant : le « cœur » de notre planète changerait de sens de rotation tous les 30 à 40 ans, comme encore récemment.
Selon les chercheurs, le dernier changement de rotation avant celui de 2009 serait intervenu au début des années 1970. Le prochain aurait lieu au milieu des années 2040, complétant le cycle, selon l'étude.
Sur ce sujet, le consensus scientifique est très clair : il ne fait aucun doute que des points de bascule peuvent être provoqués par les changements climatiques d'origine humaine dans le futur.
Notre planète n'est pas tout à fait sphérique. Et son axe de rotation -- qui relie le pôle nord au pôle sud en passant par le centre de la Terre -- a tendance à osciller et à dériver petit à petit. Il dérive de 10 centimètres par an, c'est-à-dire de quelque 10 mètres au cours du seul XXe siècle.
La Terre ne va pas cesser de tourner sur elle-même de sitôt
Une énergie telle, qu'il est impossible de pouvoir la fournir avec un mécanisme physique sur Terre. La situation serait différente si le processus était plus lent, s'il fallait des milliards d'années à la Terre pour que son mouvement de rotation cesse.
Que se passerait-il si la Terre tournait verticalement ? La rotation proposée est impossible, cela voudrait dire que la terre n'est pas issue du même nuage protoplanétaire. Alors que la rotation, le sens, des planètes est la même que celle de ce disque.
Depuis des millions d'années, la rotation de la Terre ralentit en raison des effets de friction associés aux marées provoquées par la Lune. Ce processus ajoute environ 2,3 millisecondes à la longueur de chaque jour chaque siècle.
La rotation de la Terre a des implications majeures pour la vie sur notre planète. D'abord, elle est responsable de la succession des jours et des nuits. La rotation crée également des effets comme la force de Coriolis, qui influence les courants atmosphériques et océaniques, contribuant à la régulation du climat.
La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
L'humanité a changé l'inclinaison de la terre à force de pomper l'eau souterraine. L'humanité a déplacé l'axe de rotation de la Terre de près d'un mètre en deux décennies. En cause : le prélèvement des eaux souterraines et l'élévation du niveau de la mer.
L'inclinaison de l'axe de rotation détermine donc les climats et les saisons d'une planète comme suit : Un axe vertical donnera des climats très contrastés, mais pas de saisons. Un axe modérément incliné donnera des saisons variées, mais des climats moins contrastés que pour un axe vertical.
Selon la théorie commune, ces oscillations sont provoquées par le couplage entre le noyau fluide et le manteau. Sur des échelles de temps plus grandes, le ralentissement de la rotation terrestre est prédominant et entraîne une augmentation de la longueur du jour de deux à quatre millisecondes sur deux siècles.
Sur des temps géologiques, environ tous les 41 000 ans, l'inclinaison de l'axe de la Terre peut varier entre 22° et 25°.
Dans combien de temps les Humains (et les autres mammifères) ne pourront-ils plus vivre sur Terre ? Dans 250 millions d'années, a répondu ce mardi 26 septembre 2023 une étude publiée dans la revue Nature Geoscience et repérée notamment par Le Temps .
C'est dû au fait que deux forces s'opposent : la force centrifuge est due à la rotation de la Terre ; et la force de gravitation, qui nous attire vers le centre de la Terre à cause de sa masse tellement plus importante que la nôtre.
Cette rotation serait plus ou moins calée sur les changements de longueur du jour, d'infimes variations dans le temps exact dont la Terre a besoin pour effectuer une rotation sur son axe. À ce jour, il y a peu d'indications d'une influence de cette rotation sur ce qui se passe à la surface terrestre.
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
Et d'ici 30 à 50 ans, plusieurs zones pourraient devenir inhabitables, en raison d'un indice wet bulb supérieur à 35°C. Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen).
Sa rotation est identique à sa révolution sidérale. Ainsi la Lune tourne autant sur elle même qu'elle ne tourne autour de la Terre. Ce phénomène de rotation dite synchrone est un état d'équilibre gravitationnel dû aux effets de marées entre la Terre et la Lune.
Parce que notre corps n'est pas sensible aux vitesses constantes mais seulement aux accélérations et décélérations. Or, le mouvement de la Terre est invariable, avec une vitesse de 1 000 km par heure.
Si la Terre tournait 10 fois plus vite, il y aurait de nombreuses conséquences. Parmi les conséquences attendues, on peut citer par exemple l'augmentation du niveau de la mer autour de l'équateur, la déviation de certains des satellites qui orbitent autour de la Terre, ou encore un décalage horaire constant.
Ce phénomène s'explique par l'attraction gravitationnelle qui existe entre les différents astres.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
« Depuis 1830, on observait une baisse de la vitesse de rotation de la Terre et donc une augmentation de la durée du jour. Cette tendance s'est inversée depuis sept ans sans qu'on puisse l'expliquer. » 2020 a ainsi enregistré les 28 jours les plus rapides depuis 1930.