L'hypothèse d'une vie sur d'autres planètes dans l'univers ne saurait être écartée. La plasticité du vivant et les modifications qu'il apporte à son milieu lui permettent de s'adapter à des environnements très différents. La découverte de fossiles a montré que la vie peut exister dans des conditions très hostiles.
Dans un communiqué publié mardi 10 janvier 2023, la Nasa a annoncé avoir repéré une exoplanète potentiellement habitable. Découverte dans le cadre de la mission Transiting Exoplanet Survey Satellite (TESS), cette planète nommée TOI 700 e aurait approximativement la taille de la Terre.
Kepler-22b, Kepler-69c, Kepler-62e, Kepler-62f et la Terre sont des planètes qui se situent dans la zone habitable. La température optimale pour la vie sur Terre est inconnue, mais il semble que la biodiversité était plus riche pendant les périodes les plus chaudes.
Y a-t-il de la vie sur Jupiter ? Jupiter semble assez peu hospitalière pour accueillir une forme de vie, en tout cas telle qu'on l'imagine. La pression et les températures sont extrêmes sur la géante, ce qui parait hautement incompatible avec le développement d'organismes.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews. Notre Soleil va lentement se réchauffer à mesure qu'il avancera en âge.
On pourrait devenir de super nageurs
Certes d'un côté, la terre s'assèche mais les glaciers fondent et augmenteront considérablement le niveau de l'eau (pas besoin d'attendre 3000 ans pour que ça se produise, donc commencez à vous familiariser avec des palmes).
En 2100, les villes sont plus compactes et plus efficaces sur le plan énergétique. À cette date, la concentration en CO2 atteint 550 ppm (la population est de 8,5 milliards d'habitants), les températures mondiales sont en hausse, mais les conséquences des changements climatiques sont maîtrisées et en baisse.
Une énorme pression atmosphérique
Ça a l'air beaucoup mais au cœur de Saturne, la pression atteint cent millions de fois cette valeur – de quoi écraser le plus solide terrien. Donc : impossible de s'y installer… Au mieux, tu pourrais envisager de vivre dans une station spatiale tournant autour de la planète.
D'après une étude parue lundi, la vie telle qu'elle est connue sur Terre est impossible sur Vénus, car la planète voisine de la notre ne possède pas suffisamment d'eau dans son atmosphère.
Alors que les planètes de notre système solaire s'embraseront, Pluton passera de -230°C à 27°C. Le réchauffement des matières qui compose l'astre pourra même entraîner des conditions favorables à la vie. Elle deviendrait alors « le dernier monde habitable du système solaire » selon le scientifique.
La planète potentiellement habitable la plus proche du système solaire est Proxima Centauri b. Son système stellaire se situe à seulement 4,2 années-lumière de la Voie lactée.
L'exoplanète Kepler 452b, ici représentée en vue d'artiste, ressemble étrangement à la Terre. Elle tourne en un peu plus d'un an terrestre autour d'une étoile de type G2, comme le Soleil, mais plus âgée que lui. De l'eau liquide existe peut-être à sa surface car elle se trouve dans la zone d'habitabilité.
Kepler-62f pourrait aussi être habitable avec une atmosphère 12 fois plus épaisse que celle de la Terre ou un niveau de CO2 2500 fois plus élevé (sur Terre, l'atmosphère n'est composée que de 0,04% de dioxyde de carbone).
Kepler-452 b
De fait, elle orbite autour d'une étoile semblable au Soleil à une distance de 1,046 unité astronomique en 384,8 jours. Les scientifiques croient que Kepler-452 b est âgée de six milliards d'années.
Venus. Venus c'est la meilleure. Déjà, parce que la nuit elle brille tellement qu'on dirait une étoile. Ensuite, parce qu'elle a un nom trop cool qui fait intervenir les deux meilleures lettres de l'alphabet, le V et le S.
La Nasa a pour objectif d'envoyer des astronautes sur Mars d'ici la fin des années 2030 ou le début des années 2040. Envoyer et maintenir en vie des humains sur Mars pose de vrais défis logistiques et biologiques.
« La surface de Mars est actuellement inhospitalière pour la vie : c'est trop froid, trop sec, bombardé par trop de radiations, et la chimie de sol a détruit tout le matériel organique [qui pouvait s'y trouver]. Je ne connais aucun micro-organisme sur la Terre qui pourrait survivre à la surface de Mars.
Neptune est également une planète gazeuse, ce qui signifie qu'elle ne présente pas de surface solide. En outre, l'atmosphère de Neptune est irrespirable pour l'Homme. Vivre sur ce type de planète semble donc impossible.
Uranus est une planète gazeuse, si on met quelque chose, ça passe à travers jusqu'au noyau. Donc on ne peut pas se poser dessus. On ne peut pas vivre sur Uranus.
Et puisqu'elle ne possède presque pas d'atmosphère et retient ainsi difficilement la chaleur, la température peut chuter jusqu'à un glacial –183 °C pendant la nuit! Vu sa très mince atmosphère, les humains ne pourraient pas vivre sur Mercure.
Saturne n'a pas de surface solide, mais on y trouve bien de l'eau. Des traces d'eau sous forme de vapeur existent dans son atmosphère. En outre, ses anneaux contiennent principalement de la glace d'eau.
Saturne est la seule planète dont la densité est inférieure à celle de l'eau. Autrement dit, si l'on trouvait une baignoire assez grande pour y mettre la planète, elle y flotterait!
La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
Le plus peuplé d'entre eux devrait être le Nigéria (3ème mondial), avec une population qui devrait dépasser 540 millions d'habitants en 2100, suivi par la République démocratique du Congo (5ème), avec une prévision qui table sur plus de 430 millions d'habitants.
Vivre ensemble en 2030
Selon eux, dans moins de 10 ans : on aura majoritairement adopté la mobilité douce en ville comme la marche, le vélo, la trottinette ; les villes laisseront plus de place à la nature ; la consommation sera plus durable privilégiant les produits locaux et les circuits courts.