Généralement, la douleur s'intensifie à l'effort et se calme dès que l'on est au repos et la nuit. En cas d'arthrose de la hanche, il est possible d'avoir une sensation de raideur au réveil ou d'être amené à boiter. Enfin, l'arthrose peut limiter ou gêner certains mouvements.
La limitation de certains mouvements dépend surtout de la douleur. Vos articulations sont sensibles et manquent de souplesse. La facilité et l'ampleur de vos mouvements ont diminué. Tous ces changements rendent vos mouvements pénibles et les tâches quotidiennes plus difficiles à accomplir.
La marche avec boiterie et douleur
Les douleurs sont généralement causées par une chute, de l'arthrose prononcée ou parfois par une périostite tibiale. Elles peuvent être localisées n'importe où sur le corps, mais le plus souvent il s'agit de douleur dans la jambe, dans le dos ou au niveau des hanches.
La claudication peut être causée par une douleur ou une faiblesse n'importe où dans la jambe, particulièrement au niveau des articulations. La claudication est souvent causée par une blessure mineure ou par un trouble mécanique de la jambe ou des articulations.
Une arthrose provoque dans la majorité des cas des douleurs articulaires, une raideur et parfois un gonflement de l'articulation concernée. La douleur provient des tissus de voisinage qui sont très innervés notamment la membrane synoviale, de l'os, des ligaments ou des tendons.
La douleur est le principal symptôme de l'arthrose et constitue le cœur de cible des traitements actuels, qu'ils soient médicamenteux ou non. Très handicapante au quotidien, cette maladie rhumatismale occasionne des douleurs chroniques et d'autres encore plus virulentes lors de poussées ou crises aiguës d'arthrose.
Le surpoids est un facteur d'aggravation de l'arthrose. La perte de quelques kilos (environ 5% du poids) permet d'améliorer les douleurs et de protéger l'articulation. Entretenir une activité physique régulièrement est une des mesures phare à prendre lors d'une atteinte arthrosique.
Verrouiller le genou
Essayer de marcher normalement est difficile, voire impossible. En pratique, l'idée est de remplacer cette marche d'esquive avec le genou plié, par une marche active, le genou tendu, raide grâce à la contraction du quadriceps qui verrouille le genou.
Troubles de l'appareil locomoteur : arthrite ou arthrose, blessure ou pathologie des membres inférieurs, déformations des pieds, troubles musculaires ou neuromusculaires. Troubles de l'équilibre, souvent causés par des maladies de l'oreille interne, ou par certaines des affections neurologiques citées plus haut.
Elles peuvent être le signe de la compression d'un nerf ou révéler une maladie plus grave comme un AVC. Enfin, la paraparésie se caractérise par une paralysie légère des membres inférieurs, contrairement à la paraplégie dans laquelle les deux membres inférieurs sont complètement atteints.
Le modèle d'exercice aérobie est la marche rapide pendant 30 minutes 3 fois par semaine. En cas de difficultés à la marche, vous pouvez choisir des activités physiques en décharge comme le vélo, la natation ou l'aquagym.
arthrite, polyarthrite (inflammation des articulations) arthrose (destruction des cartilages liée à une usure progressive) fracture ou blessure au niveau de la jambe (pieds, tibia, genou…), entorse.
Cette difficulté peut être causée par un manque de force au haut ou au bas du corps, une amplitude de mouvement moindre, un problème d'équilibre ou toutes ces raisons à la fois. On peut craindre aussi d'avoir l'air maladroit ou de perdre l'équilibre en se relevant du sol.
L'arthrose peut également influer sur la qualité du sommeil lors des poussées inflammatoires. Toutes les formes d'arthrose peuvent affecter le sommeil pendant la nuit. Les parties du corps les plus concernées par la douleur nocturne sont toutefois le cou, le dos et les hanches1.
Crise d'arthrose : de quelques jours à plusieurs semaines
L'arthrose est une maladie qui évolue. Elle se caractérise par des périodes stables entrecoupées de périodes de poussées douloureuses ou crises. Ces crises correspondent à une aggravation de la maladie et peuvent durer plusieurs jours à plusieurs semaines.
Contrairement au « Bah, ce n'est pas bien grave comme maladie » qu'ils s'entendent trop souvent, sept sur dix disent qu'elle a des répercussions sur leur vie professionnelle.
L'anxiété-état génère également des troubles physiques très palpables : tensions dans le haut et le bas du dos, tensions musculaires, crampes d'estomac, tensions dans les jambes (jambes lourdes), mictions ou diarrhées fréquentes, oppression de la poitrine et essoufflement, augmentation du rythme cardiaque et ...
Si votre bébé ne marche toujours pas à 18 mois et s'il ne tient pas non plus debout, vous pouvez consulter un pédiatre afin de faire le point. Une consultation peut également être nécessaire si le développement moteur de votre enfant est quasi nul avant 15 mois et s'il ne bouge pas ses membres.
Des pathologies telles qu'une phlébite ou une thrombose artérielle nécessitent, quant à elles, une prise en charge médicale sans délai. Le système nerveux peut lui aussi être la source de douleurs : sciatique et cruralgie peuvent provoquer des douleurs qui s'étendent de la zone lombaire jusqu'aux jambes.
Un cheval qui « tombe à droite » boite donc de l'antérieur gauche. En cas de boiterie postérieure, le plus évident est souvent de se placer sur le côté et de regarder quel postérieur s'avance le moins. C'est en général celui qui fait boiter le cheval.
On parle de troubles de la marche lorsqu'une personne marche de manière anormale, par exemple en cas de perte de vitesse, de fluidité, de symétrie ou d'équilibre. Des actions telles que marcher, se lever d'une chaise, tourner et se pencher sont essentielles pour pouvoir se déplacer de manière autonome.
Bras droit le long du corps, pliez le bras gauche comme si vous marchiez vigoureusement et, sans bouger les jambes, ayez la sensation de rouler votre cuisse droite vers l'intérieur. Cela réoriente votre hanche et vos appuis du pied dans le même axe: une des clés pour une marche solide et non pathogène.
La prise en charge non-médicamenteuse de l'arthrose repose sur les exercices physiques (en particulier la kinésithérapie), le traitement du surpoids, les aides techniques (cannes, semelles orthopédiques, orthèses…), l'éducation thérapeutique du patient et les cures thermales.
L'activité physique agit de manière bénéfique sur l'arthrose. Néanmoins, en ce qui concerne le genou (gonarthrose), la marche est utile, mais sans excès.
Celle-ci peut être d'intensité variable, apparaître subitement ou de façon graduelle, être de courte durée ou persistante. Elle peut être accompagnée de raideur après une période d'inactivité, d'une perte de mobilité, d'une enflure, de fatigue générale et de raideur prolongée dans les formes inflammatoires.