Les anneaux musculaires situés autour des bronches se contractent et rétrécissent les parois : le patient a du mal à respirer, il est essoufflé, tousse et ressent une oppression au niveau de la poitrine. « Parfois, les crises d'asthme nécessitent une hospitalisation, précise l'association dans un communiqué.
Le symptôme de l'asthme le plus fréquent est la crise d'essoufflement aiguë. Mais l'asthme peut également se traduire par : une sensation d'oppression au niveau de la cage thoracique, une difficulté à respirer profondément, une respiration sifflante, un essoufflement à l'effort ou une toux qui ne passe pas.
Restez donc au calme, de préférence "en position assise, penché un peu en avant", la position allongée ne facilitant pas la respiration, et concentrez-vous sur votre respiration.
Les traitements utilisés pour soigner l'asthme à base de corticoïdes font grossir. Faux (sauf exception). La plupart du temps, les corticoïdes sont utilisés dans l'asthme sous forme inhalée, ce qui a très rarement une influence sur le poids.
Dans certains cas, il peut arriver que la dose recommandée soit dépassée. Le surdosage se manifeste par des tremblements, des palpitations, des crames, des maux de tête, une tachycardie et une modification de la tension artérielle. Dans ce cas, il est indispensable de consulter un médecin au plus vite.
Quels sont les effets secondaires et les dangers ? L'administration de Ventoline® est quelquefois associée à la survenue d'effets indésirables, notamment des céphalées, des tremblements, une augmentation du rythme cardiaque (tachycardie), des palpitations et des crampes musculaires.
Effets métaboliques
Fatigue, crampes musculaires, picotements du bout des doigts et des extrémités ainsi que du pourtour de la bouche et des narines, nausées, soif intense… Attention, l'hypokaliémie n'entraîne pas toujours de symptômes.
Lorsque l'on est asthmatique, un stress important peut provoquer une crise d'asthme. Et inversement, la survenue d'une crise d'asthme est source d'anxiété.
La toux asthmatique est une toux sèche, sans expectorations, qui apparaît souvent sous forme de quintes (on parle de toux quinteuse). Elle survient en général la nuit, après un effort physique, dans un environnement froid, ou encore en présence de substances allergènes ou irritantes (en cas d'asthme allergique).
Il arrive, très rarement, que ce médicament provoque de l'hyperactivité, des troubles du sommeil et des changements dans le comportement des enfants. Si cela se produit, communiquez avec le médecin de l'enfant.
La maladie peut être grave quand elle n'est pas prise en charge correctement ou lorsqu'elle échappe au contrôle des traitements. L'asthme sévère est directement associé à plus de 60 000 hospitalisations et à près de 900 décès par an. En outre, la maladie altère considérablement la qualité de vie.
L'asthme est une pathologie bénigne
Au niveau mondial, les chiffres sont encore plus impressionnants : l'Organisation mondiale de la Santé évalue à 383 000 le nombre de décès dus à la pathologie, en 2015. Il est donc important de se faire dépister en cas de signes de la maladie.
Consommer du jambon, du saucisson ou de la viande fumée au moins quatre fois par semaine pourrait aggraver les symptômes de l'asthme au cours du temps, a conclu une étude menée par des chercheurs de l'Inserm, l'Institut français de la santé et de la recherche médicale publiée en janvier dans la revue médicale Thorax.
L'asthme ne se guérit pas : il persiste toute la vie même si des phases de rémission peuvent durer plusieurs années, faisant parfois oublier la maladie.
Parmi celles fortement déconseillées : la plongée sous-marine avec bouteilles, le jogging, la piscine, à cause du chlore qui peut aggraver l'asthme, ainsi que le ski et le patinage. Le but est d'éviter d'associer une hyperventilation, un effort, et de l'air froid, qui augmentent les risques de crise.
Très fréquemment : tremblements, augmentation du rythme cardiaque, palpitations. Fréquemment : maux de tête, crampes musculaires. Rarement : diminution du taux de potassium dans le sang, bouffées de chaleur, rougeurs cutanées, irrégularités du rythme cardiaque.
Les sports d'endurance sont recommandés aux asthmatiques
Les sports d'endurance développent la capacité pulmonaire et contribuent ainsi à diminuer l'essoufflement. Ils sont donc particulièrement adaptés aux personnes asthmatiques : randonnée, vélo, jogging, ski de fond, tennis, danse, etc.
Les antibiotiques de choix sont donc les amoxicilline, macrolides, les doxycycline (après 7 ans en raison du risque de coloration jaune irréversible des dents) qu'il faut prescrire à doses suffisantes durant 10 jours.
« Au-delà d'un certain seuil, la Ventoline est un anabolisant, c'est-à-dire que le produit augmente la masse musculaire et diminue la graisse corporelle », justifie Jean-Pierre de Mondenard, médecin spécialiste du dopage.
La toux est souvent le principal symptôme de l'asthme et parfois le seul. Elle peut être présente la nuit, le jour ou à l'effort et peut parfois être continuelle, particulièrement chez le jeune enfant. L'essoufflement amène une diminution des activités et de l'appétit. Du mucus (sécrétions) plus abondant.
Augmentation de la bronchoconstriction
La mélatonine est une hormone qui sert à faire naturellement venir le sommeil. Les chercheurs ont également découvert qu'elle favorise le rétrécissement transitoire des voies respiratoires inférieures (ou bronchoconstriction), et donc les crises d'asthme.
Si la crise d'asthme résiste au traitement
Il faut alors simultanément : multiplier les doses de bronchodilatateurs bêta-2 mimétiques en inhalation ou en injection sous-cutanée ; prendre des corticoïdes en comprimés (selon la dose prescrite par le médecin) ; prévenir un médecin sans attendre.
Il est bon de se rincer la bouche avec de l'eau fraîche, de recracher et de se laver les dents après avoir inhalé. Cela évite d'éventuels effets indésirables au niveau buccal, notamment si vous utilisez une dose élevée de médicament pendant une période prolongée.
D'autres médicaments sont également proposés en alternative : montélukast, théophylline à libération prolongée, tiotropium et, après avis spécialisé, omalizumab, benralizumab, mépolizumab ou reslizumab.