À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
à 4 %, la fréquence respiratoire peut être multipliée par 4 et un sentiment d'oppression peut se faire sentir ; à partir de 5 %, le CO2 produit une odeur légèrement piquante.
Le dioxyde de carbone est naturellement présent dans l'air que nous respirons. Il n'a ni couleur ni odeur et n'est pas inflammable. Le CO2 est aussi produit par le corps humain et est expulsé avec l'air que nous expirons.
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
Le CO entrave le transport de l'oxygène dans le corps. Un niveau élevé de CO dans l'air est mortel. Le CO2 est présent en quantité limitée dans notre atmosphère et est moins nocif. Des niveaux élevés de CO2 provoquent des maux de tête, de la somnolence et des problèmes de concentration.
Le dioxyde de carbone, plus communément employé sous sa formule moléculaire CO2 (pour un atome de carbone et deux atomes d'oxygène), est un gaz sans couleur ni odeur. Il appartient au cycle du carbone sur la planète et s'avère à cet égard un élément crucial de ce cycle.
Le monoxyde de carbone (CO) est un des composants oxygénés du carbone les plus connus avec le dioxyde de carbone (CO2), plus communément appelé gaz carbonique. La confusion entre ces deux gaz est fréquente bien qu'ils diffèrent totalement, surtout par leur toxicité.
Le dioxyde de carbone est un polluant que l'on trouve dans l'air intérieur et extérieur. À l'intérieur, le CO2 est principalement produit par la respiration des occupants, mais peut également provenir des sources suivantes : fumée du tabac. appareils de combustion non ou mal raccordés.
LES ACTIVITÉS HUMAINES EN PREMIÈRE LIGNE
Les activités telles que l'utilisation de carburants d'origine fossile (charbon, pétrole ou gaz), l'élevage, l'utilisation de produits chimiques et la déforestation sont en effet à l'origine d'émissions de GES.
Le CO2 produit par les activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique.
Les premiers symptômes et les plus fréquents sont des céphalées, des asthénies, des nausées et vomissements. Ces signes peuvent parfois orienter le diagnostic à tort vers d'autres pathologies (intoxication alimentaire récente ou récidivante sans diarrhée, syndrome grippal sans fièvre).
En 2019, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (24 %) et l'industrie (19 %, y compris la construction).
Les valeurs limites réglementaire ou normative actuelles varient usuellement entre 1000 et 1500 ppm. Elles s'appliquent aux bâtiments scolaires, bâtiments résidentiels et bureaux et n'ont pas de signification quant à la qualité sanitaire de l'air intérieur.
Sera notamment privilégiée l'aération transversale qui consiste à ouvrir sur des côtés opposés de la salle. Lorsque le seuil est atteint, ouvrir les fenêtres jusqu'à ce que le taux de CO2 baisse suffisamment puis les refermer permet entre autres de ne pas avoir trop de déperdition de chaleur.
Le CO2 sert à synthétiser l'urée (un engrais azoté courant), et de nombreux plastiques tels les polycarbonates, qu'on retrouve dans les DVD ou les verres de lunettes. Ajoutés dans les serres, il permet d'améliorer le rendement de la photosynthèse des végétaux.
les chaudières à bois, à charbon, à gaz, ou à fioul. les chauffe-eau et chauffe-bain. les inserts de cheminées, les poêles.
L'absorption chimique est la technique de captage postcombustion la plus connue. Elle consiste à extraire le CO2 des fumées grâce à un solvant chimique, le plus souvent des amines. Le dioxyde de carbone récupéré est comprimé, refroidi et liquéfié pour être emprisonné dans les couches profondes de la terre.
Les activités humaines libèrent actuellement 25 milliards de tonnes de CO2 par an dans l'atmosphère. La combustion du pétrole participe pour 35,2%, le charbon pour 32% et le gaz naturel pour 12,8%.
En respirant, nous produisons environ 20 litres de CO2 par heure. Il est intéressant de comprendre ce qui détermine cette production. - en reliant le CO2 à l'énergie nécessaire pour maintenir le corps humain à sa température d'environ 37 degrés.
Lorsqu'une pièce n'est pas aérée, le dioxyde de carbone (CO2) a tendance à s'y accumuler. C'est pourquoi la ventilation est importante et doit être effectuée très régulièrement. En effet, un taux trop important de CO2 augmente la fréquence des micro-réveils et altère donc la qualité du sommeil.
Des taux élevés de CO2 (2000 PPM ou 0,2% de CO2 dans l'air) peuvent entraîner des maux de tête, sensation d'endormissement, augmentation du rythme cardiaque, gène respiratoire. Quelques personnes asthmatiques peuvent commencer à ressentir des difficultés respiratoires entre 1000 et 1500 ppm !
À la maison, les sources d'émanations de monoxyde de carbone sont multiples: Les cheminées, les appareils ménagers à gaz (cuisinière, four, réfrigérateur, etc.), les systèmes de chauffage et les chauffe-eau à combustion; Les véhicules et les autres appareils à combustion (tondeuse, souffleuse, etc.)
Quand une personne respire du monoxyde de carbone, le gaz entre dans son sang et y prend la place de l'oxygène. Cela endommage les tissus et peut être très dangereux pour la santé.
L. 129-8. - L'occupant d'un logement doit installer au moins un détecteur avertisseur de monoxyde de carbone. Il doit veiller à l'entretien et au fonctionnement de ce dispositif.
Les capteurs de CO2 permettent de mesurer la concentration de dioxyde de carbone dans l'air et indiquent quand il convient d'aérer la pièce afin de freiner la propagation du Covid-19.