On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Le diabète se soigne, mais ne se guérit pas. Les diabétiques de type 2 sont dans un premier temps traités avec des médicaments anti-diabétiques. Mais l'unique traitement pour le diabète de type 1 est l'apport d'insuline sous forme d'injection ou via une pompe. 25 millions de malades sont traités ainsi dans le monde.
Est-ce que je peux vivre longtemps avec le diabète ? Oui, il est heureusement possible de vivre très longtemps avec le diabète. Tou- tefois, par rapport à une personne non-diabétique, le diabète est un facteur de risque supplémentaire de complications affectant les organes vitaux comme le cœur, le cerveau et les reins.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Le traitement du diabète consiste à normaliser le taux de sucre dans le sang pour éviter les complications. La principale action est de modifier son mode de vie avec une alimentation saine et équilibrée, et la pratique d'une activité physique. Pour les fumeurs, il est essentiel d'arrêter le tabac.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Le diabète est favorisé par une prédisposition génétique. Le diabète de type 1 survient suite à une réaction anormale du système immunitaire. La survenue du diabète de type 2 est essentiellement liée au mode de vie : surpoids, sédentarité, hypertension artérielle, etc.
De maladie silencieuse, le diabète de type 2 s'est transformé en tueur impitoyable. En tenant compte des personnes décédées de neuropathies, néphropathies et accidents vasculaires cérébraux, le diabète est responsable de 34 000 morts par an.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Le diabète n'est pas une contre-indication à la vie sexuelle. Au contraire, celle-ci peut être considérée comme une forme d'activité physique douce, qui est recommandée.
Le diabète est une maladie grave et progressive, caractérisée par l'hyperglycémie, et à long terme par le développement de complications graves qui peuvent raccourcir finalement l'espérance de vie ; c'est un tueur silencieux potentiel !
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
L'eau, cette alliée de toujours
L'eau est essentielle pour les diabétiques comme pour tous. Il est donc recommandé de boire entre 1,5 et 2 litres par jour pour assurer le bon fonctionnement de l'organisme et l'élimination des déchets. Cependant, elle a aussi son rôle à jouer quant au contrôle de la glycémie.
Les aliments conseillés pour un diabétique
Viandes : pièce de bœuf à 5 % de matières grasses (steak haché, rosbif, bifteck…), filet mignon de porc, volaille sans peau, gibiers et abats.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Les personnes diabétiques ont un risque de complications au niveau des pieds. Elles peuvent être dues à une mauvaise circulation du sang dans les artères des membres inférieurs. Elles sont aussi favorisées par une diminution de la sensibilité au niveau des pieds.
Pensez au « thé glacé maison, au jus de citron vert et quelques zestes dans de l'eau fraîche, des feuilles de menthe et du jus de citron dans de l'eau pétillante », conseille Mélanie Mercier, diététicienne nutritionniste au sein de la Fédération Française des Diabétiques.
État hyperosmolaire
Lorsque le diabète de type 2 n'est pas soigné, le syndrome hyperosmolaire hyperglycémique peut se manifester. Il s'agit là d'une véritable urgence médicale qui est fatale dans plus de 50 % des cas.
Dans ce type de diabète, la fabrication d'insuline par le pancréas est quasi nulle. L'apparition de ce diabète est le plus souvent rapide. Il se révèle par un amaigrissement malgré un appétit augmenté, accompagné d'une polyurie (urines abondantes) et d'une polydipsie (sensation de soif intense).
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
1. "Consommer trop de sucre rend diabétique" C'est inexact. Selon la dernière étude sur le sujet publiée par l'Agence de Sécurité Sanitaire de l'alimentation (Anses), il n'existe pas de lien direct entre consommation de sucre et survenue de la maladie, qu'il s'agisse du diabète de type 1 ou 2.