Le GBL n'est pas classé comme stupéfiant mais il est soumis à une partie de la réglementation des stupéfiants. l'arrêté du 2 septembre 2011 notamment interdit la vente et la cession au public de la Gamma-Butyrolactone (GBL).
Le GBL est une molécule chimique, contenue dans certains solvants industriels, destinés aux professionnels : il s'agit d'un produit très efficace pour nettoyer les jantes de voiture ou les peintures (en particulier les tags).
Effets recherchés
À faible dose, le GHB provoque une euphorie, une empathie, une désinhibition, un effet de relaxation et d'hyper sensualité. À plus forte dose, il provoque un endormissement. Les effets se font sentir après 10 à 20 minutes et durent deux à quatre heures.
des nausées légères à fortes avec vomissements ; des maux de têtes ; une perte de repère ou une disparition des réflexes ; une perte de conscience, aussi appelé « G-hole », pouvant conduire jusqu'au coma (conséquences potentiellement mortelles).
Le dosage doit se faire au millilitre près et dépend du poids de l'usager. La consommation d'alcool ou de toute autre substance « dépresseur » associée à la consommation de GBL est à proscrire.
Le GHB est le plus souvent consommé dans les milieux festifs mais son utilisation peut aussi être détournée à des fins illégales à cause de son effet amnésiant et inducteur de sommeil. Il est souvent consommé avec de l'alcool ou d'autres drogues, augmentant ainsi les risques pour la santé.
de la difficulté à parler; des vomissements; des battements de cœur lents, irréguliers ou rapides; une perte de conscience.
Le sevrage nécessite du diazépam à doses très importantes (> 150 mg/24 h), conformément aux rares éléments de la littérature. Une dépendance physique aux benzodiazépines s'installe avec majoration parallèle des consommations d'alcool (35 UI/j) « compensant » selon lui l'absence de GBL.
Le cannabis a tendance à bloquer le transit donc plutôt à avoir un effet anti-diarrhée. Mais quand on arrête d'en consommer, il peut survenir, par réaction, des diarrhées. Donc si votre fils en consomme de manière irrégulière, c'est possible.
Parfois, les comprimé d'ecstasy peuvent contenir d'autres drogues et substances. Effets: Sous l'influence de l'ecstasy, on peut se sentir plus alerte et plus en harmonie avec son environnement. On se sent heureux, calme et l'on éprouve des sentiments chaleureux envers les autres.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend. Mais le cannabis est beaucoup plus dosé qu'autrefois. Selon son pays d'origine, sa concentration peut être conséquente", alerte-t-elle.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Une autre drogue, la phencyclidine (PCP), appelée « angel dust » ou « poudre d'ange », puissante substance hallucinogène, a aussi la réputation de conduire à des actes auto ou hétéro-agressifs qui peuvent être d'une extrême violence.
Les "drogues du violeur", à savoir le GHB, la kétamine, mais aussi le Rohypnol et le Zolpidem, deux puissants hypnotiques, permettent aux agresseurs de commettre l'irréparable pus facilement. Généralement utilisées en soirée, les substances sont versées dans le verre de la future victime à son insu.
Les principaux effets physiques de la consommation du GHB peuvent comprendre : un ralentissement de la respiration. des nausées et des vomissements. la somnolence, la perte de conscience.
Lundi 13 juin, peu avant minuit, la chanteuse et actrice Louane a déposé une plainte au commissariat de police du VIIIe arrondissement après avoir ressenti des symptômes lui laissant penser qu'elle aurait été intoxiquée au GHB, révèle le Parisien .
Quels sont les effets du CBD ? « Le CBD n'est pas une drogue », assure le Pr Amine Benyamina. L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a affirmé dans un rapport (2017) que le CBD n'était pas dangereux pour la santé. « Il ne produit pas les effets que l'on observe généralement avec les cannabinoïdes tels que le THC.
Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
Souvent décrite comme la "drogue de l'amour", la MDMA favorise la communication verbale et non verbale, par les sens, en particulier le toucher (effet entactogène). Elle donne aussi l'impression de pouvoir se mettre à la place des autres et de s'en rapprocher physiquement et psychologiquement (effet empathogène).
1. LSD - 2686€ Oui, c'est un peu cher. Mais c'est seulement parce que quelques microgrammes sont nécessaires pour créer une dose de LSD efficace, qui coûte à peu près 10 euros l'unité pour la substance hallucinogène (en buvard, comprimés, ou en gélules).
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
Le toxicomane va se débrouiller pour trouver le désir et le plaisir dans un objet qui reste totalement contrôlable et à sa merci : ainsi croit-il qu'il n'en dépendra pas puisqu'il le contrôle : l'objet inerte, non désirant, sera la drogue. Le toxicomane se pense donc auto-suffisant avec son produit.
Le "sniff" : La drogue sous forme de poudre est aspirée par le nez à l'aide d'une paille. Ce mode de consommation entraîne fréquemment des irritations des muqueuses nasales, parfois des nécroses des paroies nasales ainsi que des problèmes pulmonaires.