Le Gui (Viscum album) est une
Le gui est une plante hémiparasite c'est à dire que le parasitisme n'est que partiel puisque le gui puise l'eau et les éléments minéraux sur les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules notamment qu'il colonise mais conserve son pouvoir de synthèse chlorophyllienne.
Toxicité et danger du gui pour les arbres
Le gui est une plante toxique qui est absolument défendu d'ingérer, tant ses feuilles que ses baies blanches. L'ingestion de gui peut provoquer de graves troubles digestives et cardiaques.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Le gui, porte-bonheur
Mais, à l'instar du muguet du 1er mai, c'est aussi un porte-bonheur… à condition de respecter un certain rituel! Il faut le récolter avant Noël, s'embrasser dessous et, dit-on, le brûler la nuit du 6 janvier!
Au Moyen Âge, l'usage voulait que l'on s'offre du gui en prononçant ce souhait « Au gui l'an neuf ». Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
Le Gui est une plante hémiparasite, c'est-à-dire qu'il n'est pas totalement dépendant de son hôte. Il utilise les ressources de la plante hôte en lui soutirant eau et sels minéraux, mais il a de la chlorophylle et peut synthétiser ses propres sucres, protéines, etc.
Le gui présente la particularité de ne pas toucher terre. Il vous faudra donc lever la tête pour l'apercevoir dans certains arbres fruitiers, mais aussi au faîte du peuplier, des aubépines, des érables1, plus rarement du chêne et, sous une forme spéciale (V. album abietis), sur le sapin.
Un symbole d'immortalité
Le gui était pour les Gaulois le symbole de l'immortalité. Une fois par an, au solstice d'hiver, le gui était vénéré chez les druides vêtus de blanc qui le coupaient avec une serpe d'or pour accomplir une fête solennelle sur un chêne, le plus sacré des arbres.
Contrairement à une idée reçue, le lierre n'est pas un parasite ni une plante nuisible. Il ne tue pas les arbres en les étouffant, comme on entend souvent dire, mais au contraire, leur rend de multiples services. Le lierre est essentiel à la biodiversité et ne doit pas être arraché des arbres.
Accrochez un bouquet de gui à votre porte
La tradition de suspendre du gui à la porte du foyer, promesse de fertilité, vient des Celtes. De là l'expression "que le blé germe" est devenue "au gui de l'an neuf" pour se souhaiter la bonne année.
Où acheter du gui. Le meilleur endroit pour trouver du gui sera chez votre fleuriste local. Si vous le recherchez à l'état sauvage, « il se trouve dans le sud et les West Midlands du Royaume-Uni, en particulier dans le Hertfordshire et le Worcestershire », selon Interflora.
Le gui est facilement reconnaissable. Il forme des boules plus ou moins volumineuses sur les arbres d'ornement (érables, peupliers…) et les fruitiers (pommiers, noyers surtout, plus rarement sur les Prunus (prunier, cerisier) et très peu sur le châtaignier.
Il est plus facile d'éliminer le gui lorsqu'il est encore jeune car cela provoquera moins de dégâts sur les arbres. Le plus simple est de couper la touffe à ras avec une sécateur, une serpe ou une serpette selon la taille de la touffe. Ensuite, creusez l'écorce afin d'extraire le suçoir dans sa totalité.
Aussi appelé Viscum album, le gui ne possède pas de racines. Il se fixe sur un arbre feuillu (généralement les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules), dont il va absorber l'eau et les minéraux. Le houx, lui, est reconnaissable à ses boules rouges et à ses feuilles dentées et piquantes.
La dispersion locale se fait aussi par d'autres oiseaux comme le merle ou la fauvette à tête noire. Ou trouver du gui ? Le gui prospère surtout sur les pommiers, peupliers, trembles, aubépines, saules, robiniers, tilleuls… rarement sur poiriers, noisetiers, frênes, cerisiers…plus rarement sur noyers, chênes, ormes…
Échanges passionnés des premiers temps de l'amour, nos effusions labiales s'espacent parfois avec les années. Pourtant, s'embrasser, c'est bon pour le moral mais aussi pour la santé, assurent les spécialistes.
Si l'on se réfère à la Bible, c'est pour échapper aux soldats d'Hérode que Marie et Joseph se sont cachés, avec l'enfant Jésus, dans un buisson de houx. C'est l'une des raisons pour lesquelles le houx ornerait nos maisons depuis fort longtemps. Il s'agit également d'un symbole de protection à Noël.
Le 31 décembre, lorsque sonnent les 12 coups de minuit, la tradition veut que les amoureux s'embrassent sous une branche de gui.
Le plus simple est de couper, à l'aide d'un sécateur, les touffes de gui à la base et de creuser ensuite cette base jusqu'à ôter complètement le pivot destructeur. Il ne faut pas avoir peur de s'enfoncer dans la branche de l'arbre, c'est pour son bien !
Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
La couronne fait partie des symboles de Noël, elle est traditionnellement accrochée sur la porte d'entrée de la maison pendant les fêtes de Noël et a une signification païenne aussi bien que chrétienne.