Le mariage est un contrat civil qui doit être reconnu devant Dieu et devant les hommes. Le terme “Hlal” tel qu'il est utilisé aujourd'hui pour décrire le mariage religieux ne peut être valable dans la mesure où rien ne peut légalement le garantir.
Le mariage religieux n'est pas valable du point de vue du droit musulman « Fiqh » car rien ne peut légalement le garantir. Rien ne garantit, non plus, les droits des chacun des époux en cas de litige, ni la reconnaissance d'éventuels enfants ou les droits de succession.
La présence d'un imam de mariage ou d'un cadi (magistrat) n'est pas obligatoire pour conclure le mariage musulman. Faire le halal sans imam est donc possible, tout musulman connaissant la tradition islamique pouvant s'en charger, avec l'accord du tuteur.
Les conditions du mariage sont la présence du tuteur de la mariée, l'acceptation des deux époux, le mahr de l'époux à l'épouse, le contrat de mariage et plusieurs témoins.
Le mariage sans acte civil est haram.
En France, Le mariage religieux n'a plus aucune valeur légale depuis 1791. Afin de légaliser leur mariage les mariés doivent se marier civilement, à la mairie.
Pour respecter la tradition, les témoins des mariés ainsi que le "walî" de la mariée (son représentant masculin : son père, son grand-père, son oncle, son arrière-grand-père, son frère ou un homme musulman de son choix si sa famille n'est pas disponible) doivent être présents.
1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
La dot, ou le « mahr »
A partir du moment où le mariage en islam est contracté, c'est le mari qui se doit de prendre en charge son épouse. C'est pourquoi, lors du contrat de mariage, il lui est obligatoire de verser une dot « mahr » à sa future épouse. La dot peut être composée d'argent, de biens matériels etc.
Historiquement, les relations sexuelles avant le mariage étaient considérées comme un problème moral, tabou dans de nombreuses cultures et considérées comme un péché par le judaïsme, le christianisme et l'islam ; mais depuis les années 1960, elles sont plus largement acceptées, notamment dans les pays occidentaux.
La cérémonie débute par les louanges envers Allah lors de la Khoutbah. Lorsque l'Imam récite la prière, femmes et hommes sont séparés. La cérémonie se poursuit par la lecture de quelques versets du Coran puis est mentionnée la dot dans le cadre des échanges de vœux entre la femme et son futur époux.
Points clés à retenir : Les raisons valables pour que la femme divorce en Islam sont l'avarice, le mauvais traitement et le mauvais comportement de son époux ; Le divorce est aussi possible en cas de refus de prier ou d'abandon de la religion par l'époux.
Dans la loi islamique, il est possible de dissoudre le mariage par un divorce par répudiation. Pour ce faire, voici la liste des démarches à suivre : L'époux doit adresser une demande de répudiation écrite à la justice de sa commune ou en se rendant dans un tribunal d'instance.
Le mahr (arabe : مهر) est le don, selon les prescriptions de l'islam, que l'époux doit faire à l'épouse. Ce don serait une forme d'appréciation et permettrait d'offrir certaines garanties à la femme.
la dot de mariage, apportée par la famille de l'épouse à celle-ci ou au ménage (pratique qui avait cours dans la bourgeoisie) ; le prix de la fiancée apporté par le mari ou sa famille à la famille de son épouse ; le douaire apporté par le mari à son épouse.
Selon lui, le prix exorbitant de la dot est justifié du fait que cet argent est consommé par la famille de l'homme, lors de la fête qui, dans certaines coutumes, peut réunir jusqu'à plus de 150 personnes. La moyenne dans une réception ordinaire étant au maximum de 15 à 20 dollars par personne.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
Hlel est un mot arabe que les jeunes utilisent fréquemment pour designer leur “petite-amie”. Bien que plus qu'un simple relation physique, la hlel est une femme que l'on perçoit comme une “fille à marier”, de ce fait le terme désigne également une fille sérieuse, chaste, vierge.
Voici également l'invocation pour celui qui cherche à se marier: Invocation de Moussa (alayhi salam) : “Seigneur, j'ai grand besoin de toute grâce dont Tu voudras bien me gratifier !” Source : Sourate 28 Verset 24.
Pour les musulmans, la viande « halal » (permise) est obtenue en incisant profondément la gorge de l'animal au couteau, jusqu'à obtenir la section des veines jugulaires et des carotides : la moelle épinière doit rester intacte car des convulsions sont nécessaires pour améliorer le drainage du sang.
Signez le contrat de nikah devant vos témoins.
Ce contrat viendra officialiser le mariage religieux. Vous pourrez le signer devant vos deux témoins ou bien devant l'ensemble de vos invités. Selon la mosquée et l'imam, les témoins devront ou non signer eux aussi le document X Source de recherche .
Les hommes comme les femmes ont la possibilité de divorcer en islam. L'islam reconnaît la répudiation des femmes par les hommes mais aussi, si les conditions requises sont remplies, le divorce à l'initiative de la femme.
En résumé, dans la réalité, l'adultère s'entend donc le plus souvent des rapports sexuels volon- taires impliquant une femme mariée et un autre homme que son mari.
Le khul' (ou khol') est une forme de dissolution du mariage musulman qui intervient à l'initiative de la femme.
L'inhabilité matrimoniale
Il peut avoir plusieurs origines : l'immaturité grave, le manque de liberté, des pathologies diverses ; Cela peut également avoir pour cause une incapacité à assumer les obligations essentielles du mariage.