En mettant l'organisme au repos, le sommeil entraîne une baisse de la pression artérielle, de 10 à 20 % en moyenne. Ce n'est qu'au petit matin que la pression artérielle remonte progressivement pour atteindre des valeurs normales (pression systolique < 14, et pression diastolique < 9).
À terme, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité, contribue à une surproduction d'hormones. Ces dernières favorisent l'augmentation de la tension artérielle et du mauvais cholestérol (LDL). Elles perturbent le métabolisme du glucose, ce qui peut conduire à un diabète de type 2, voire à une obésité.
Les symptômes d'une tension basse sont des étourdissements, des vertiges, l'apparition de mouches volantes devant les yeux, une pâleur cutanée. Ces signes sont associés à une grande fatigue.
Les causes de l'hypotension sont multiples : problème neurologique, effet secondaire d'un médicament, déshydratation, etc. La baisse soudaine de la pression sanguine peut s'accompagner d'étourdissements et de faiblesse durant quelques secondes, et parfois d'un évanouissement.
L'hypotension peut être favorisée par certains comportements, comme le fait de se mettre debout, elle peut survenir après les repas, elle est parfois en lien avec la prise de certains médicaments (hypertenseur, diurétiques, antidépresseurs, neuroleptique, médicaments comme la morphine...).
Au moment de la chute de tension, on peut avoir la vision brouillée et parfois, des petites tâches noires. Certains parlent de nausées et de bouffées de chaleur, de problèmes d'audition et plus particulièrement de bourdonnements d'oreille, de maux de tête et de vomissements.
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
À moyen terme, c'est une irritabilité importante qui peut s'installer, un risque de syndrome dépressif et surtout des difficultés d'apprentissage. Enfin, si le déficit de sommeil devient chronique, il y a un risque accru d'obésité et de diabète.
En revanche, ne pas dormir assez de façon récurrente peut amener à des troubles beaucoup plus importants. Ainsi, dormir moins de 6h par nuit augmente de 48% le risque de maladies cardio-vasculaires et multiplie par 4 le risque de faire un AVC. Un manque de sommeil pourrait aussi favoriser le développement de tumeurs.
Des chercheurs du Karolina Institute à Stockholm en Suède ont établi que dormir moins de 5 heures par nuit, chaque nuit, augmenterait le risque de mortalité de 62 % par rapport à ceux qui dorment 7 heures par nuit.
La pression artérielle des participants ayant consommé l'eau à forte teneur en calcium et magnésium a diminué de façon significative et ce, dès la deuxième semaine de traitement. À la fin de l'étude, deux semaines plus tard, la pression artérielle moyenne de ce groupe était passée de 156,8/91,7 à 150,4/89,1.
La mesure doit être prise au moins trois fois à une minute d'intervalle, idéalement au moyen d'un appareil avec déclenchement automatique : le matin au petit-déjeuner, le soir avant le coucher, pendant trois jours.
L'hypotension ne s'accompagne pas toujours de signes avant-coureurs. La personne ressent le plus souvent une fatigue, voire une faiblesse musculaire, des étourdissements.
On parle généralement d'hypotension artérielle lorsque la tension artérielle systolique (le premier des deux chiffres indiquant tension artérielle) est inférieure à 90 mm Hg. Une valeur tensionnelle systolique de moins de 50 mm Hg indique une hypotension artérielle sévère.
Qu'est-ce qu'une tension normale ? On considère qu'une tension normale doit se situer à 12 ou 13 pour le premier chiffre, et 8 pour le second. Si l'on prend en compte la fourchette haute, l'hypertension légère commence à partir de 14/9. Quant à l'hypotension, elle commence à partir de 10/6.
Une valeur systolique de 9 chez une femme jeune, mince, sportive, sans problème de santé, peut parfaitement suffire à propulser le sang dans tous les organes. à condition que ce niveau de tension soit physiologique (normal pour l'individu) et ne s'accompagne pas d'une intense fatigue ou de malaise vagal à répétition.
Une tension artérielle basse est souvent sans danger, mais elle peut avoir un impact sur la qualité de vie. Gros plan sur les actions pour y remédier. Tout d'abord, deux informations réjouissantes: une tension artérielle basse (hypotension) réduit le risque de souffrir d'une maladie cardiovasculaire.
L'hypotension est une tension artérielle plus basse que la normale. On considère généralement qu'une tension (ou pression) normale, au repos, est comprise entre 90/60 mmHg et 130/80 mmHg. En dessous de 90 mmHg de pression systolique ou de 60 mmHg de pression diastolique, on est donc en présence d'une hypotension.
Mangez plusieurs petits repas faibles en glucides. Pour aider à prévenir la pression artérielle de tomber brusquement après les repas, manger de petites portions plusieurs fois par jour et limiter aliments riches en glucides tels que les pommes de terre, riz, pâtes et du pain en grandes quantités.
Une tension basse ne doit pas inquiéter outre mesure. C'est le cas de nombreuses jeunes femmes, dont la tension se situe autour de 10 ou 11 pour le chiffre supérieur (tension systolique), parfois encore un peu moins. L'inconvénient d'une "petite tension" est le risque de vertiges, d'étourdissements, voire de malaises.
McDonough, membre de l'équipe de chercheurs impliquée sur cette étude, souligne que les fruits et légumes riches en potassium, tels que la patate douce, l'avocat, les épinards, les haricots, les bananes et même le café, favoriseraient la diminution de la pression sanguine au sein de l'organisme.