Dans ce cas, la grandeur que l'on étudie augmente mais elle augmente de moins en moins vite. Dans le cas de la production (PIB), on dit que l'économie connaît un ralentissement (mais parfois aussi, de manière impropre, on parle de récession). 3. Il peut être négatif (- 4%, par exemple).
Il ne permet d'appréhender ni les inégalités sociales ni leur évolution. On peut très bien avoir un PIB moyen qui augmente alors que les revenus (qu'il est censé mesurer) diminuent pour une majorité de la population et augmentent fortement pour une minorité, ce qui renforce les inégalités.
Ce chiffre ne mesure pas la santé de la population, son niveau d'instruction, l'égalité des chances, l'état de l'environnement ou de nombreuses autres dimensions de la qualité de la vie. Il ne mesure même pas des aspects cruciaux de l'économie tels que sa durabilité, c'est-à-dire si elle se dirige ou non vers un krach.
Trois aspects critiqués. Le premier est que le PIB ne mesure pas les activités non marchandes (comme le travail à la maison) et mesure mal la valeur des services publics. Une autre question concerne la consommation gratuite sur internet, pour des services comme Facebook qui sont compensés par l'incontournable publicité ...
Graphique 7 : Les impacts macroéconomiques en Europe*
La hausse du PIB engendre un accroissement de l'emploi et des revenus réels, sous l'impulsion de la courbe de Phillips. L'emploi augmente de 1,4 % en 2010 et le revenu disponible réel de 3 %.
Or, le PIB est un indicateur imparfait pour évaluer l'activité économique, car il ne prend en compte qu'une partie des richesses créées et il est insuffisant pour mesurer le bien-être de la population.
Lorsque le PIB diminue au sein d'une économie, on parle non pas de récession mais d'un taux de croissance négatif. Cela signifie qu'il y a destruction de richesse, alors que la récession désigne une activité économique qui progresse toujours, mais de manière moins soutenue que la période précédente.
Cet indicateur provient de l'estimation de l'ensemble des activités sur un territoire donné pendant une période donnée. Lorsque le PIB est en croissance, l'économie est réputée comme en bonne situation; à l'inverse lorsque celui-ci régresse, alors l'économie est considérée comme en mauvaise posture.
La mesure du PIB a plusieurs avantages : Elle permet de mesurer les richesses produites globalement sur le territoire, donc sa capacité globale à satisfaire des besoins, son . Elle permet de mesurer l'évolution de cette production, ce que l'on appelle l'activité économique. En particulier, elle mesure le niveau de .
1ère Partie : Le PIB est un bon indicateur de la richesse matérielle d'un pays .... Argument 1 : Le PIB est la somme des valeurs ajoutées, ce qui évite des doubles comptes (doc 2 et 4 + cours) et permet donc d'avoir une mesure exacte des richesses.
Pour ce faire, il comptabilise la valeur des biens et services vendus (le PIB marchand qui est la somme des valeurs ajoutées des entreprises) mais aussi la valeur de la production des administrations qui est évaluée au coût des facteurs (PIB non marchand).
– Le PIB étant un indicateur quantitatif il ne mesure pas le développement (qui relève du qualitatif) d'un pays. => à cause de cette limite du PIB un indicateur alternatif est créé pour mesurer le developpement : l'IDH (définir un peu?)
Le ratio entre les revenus moyens des 5 % les plus riches et ceux des 5 % les plus pauvres est de 165. Ou encore, les 5 % des plus riches gagnent en 48 heures ce que gagnent en une année les 5 % des plus pauvres.
Une récession correspond à une phase de diminution de l'activité économique. Cette notion peut parfois être employée pour décrire un simple ralentissement du rythme de la croissance économique : la production continue d'augmenter mais à un rythme moins rapide.
Le taux de croissance annuel de la France a été négatif à trois reprises depuis la fin de la seconde guerre mondiale : en 1975 suite au premier choc pétrolier, en 1993 lors de la crise du système monétaire européen et en 2008 et 2009 suite à la crise financière.
1. Conséquence fâcheuse, risque que comporte ou peut comporter une situation ou une action donnée : Si vous n'y voyez pas d'inconvénients, je partirai plus tôt.
Le Produit intérieur brut (PIB) est un indicateur économique qui permet de mesurer les richesses créées dans un pays au cours d'une période donnée. Le PIB est utilisé pour mesurer la « croissance économique » d'un pays. Mais son utilisation est parfois remise en cause.
L'augmentation du PIB peut être due soit à une augmentation de la quantité produite, soit à une augmentation des prix. La croissance en valeur prend en compte l'augmentation des prix, c'est-à-dire l'inflation. La croissance en volume ne prend en compte que l'augmentation des quantités produites.
Le produit intérieur brut est le principal agrégat mesurant l'activité économique d'un pays. Il correspond à la somme des valeurs ajoutées brutes nouvellement créées par les unités économiques résidentes de ce pays une année donnée, évaluées au prix du marché.
On peut envisager le PIB, c'est-à-dire le produit intérieur brut, comme étant la note globale figurant sur le bulletin d'évaluation des résultats économiques d'un pays ou d'une région. (Image d'un bulletin scolaire.) C'est l'une des méthodes employées pour mesurer la taille et la croissance de l'économie.
Le PIB (produit intérieur brut) est censé mesurer la quantité de richesses (biens et services) produites chaque année dans un pays (ou une région, ou une ville). Il s'agit donc d'un flux et non d'un stock (comme le patrimoine, les richesses accumulées au fil des années ou la dette totale d'un pays).
La croissance est l'évolution du produit intérieur brut (PIB) sans tenir compte de la variation des prix. Le produit intérieur brut d'un pays est égal à la somme des valeurs ajoutées des producteurs résidant sur son territoire. Le PIB, c'est la richesse créée par les activités de production.
Le terme « stagflation » vient de la contraction des mots « stagnation » et « inflation ». « On parle de stagflation quand l'économie est marquée par une forte inflation, alors que la croissance et le taux d'emploi sont faibles.
Selon les derniers chiffres de Eurostat, l'institut statistique de l'Union européenne, le PIB par habitant de la France s'élèverait à 32.900 euros en 2018 alors qu'il s'élevait à 31.400 euros en 2007, soit avant la crise pendant laquelle il a chuté à 30.300 euros pour l'année 2009.