De nombreuses études ont montré que pratiquer une activité physique régulière contribue à mieux contrôler le diabète en faisant baisser le taux d'hémoglobine glyquée, un marqueur sanguin qui reflète la glycémie des trois mois précédents, et en améliorant la résistance à l'insuline.
Les sports d'endurance tels que la marche, la randonnée, la course à pied, le vélo ou la natation sont les plus conseillés car ils permettent un entraînement progressif. Le sport aura pour résultat de faire baisser immédiatement le taux de glycémie, car quand nous bougeons, nos muscles consomment du glucose.
La baisse de la glycémie pendant et après l'effort est fréquente: durant l'activité physique, l'organisme utilise davantage de glucose et sa sensibilité à l'action de l'insuline augmente. L'activité physique régulière permet donc de lutter contre la résistance à l'insuline, caractéristique du diabète de type 2.
L'activité physique participe au traitement du diabète car elle contribue à faire baisser la glycémie et permet ainsi de mieux la contrôler. Avec un diabète, le sucre (glucose) apporté par les aliments reste dans le sang au lieu de pénétrer dans les cellules pour y être transformé en énergie ou stocké.
Quand on fait du sport, les muscles consomment du glucose. En situation de bon contrôle glycémique avec une insulinémie relativement élevée la production de glucose par le foie est freinée et la captation de glucose par les muscles est augmentée.
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
Le taux normal de la glycémie à jeun oscille entre 0.7 g/L et 1 g/L. En dessous d'un certain taux, on parle d'hypoglycémie, tandis qu'au-dessus, il s'agit plutôt d'une hyperglycémie. Le diabète quant à lui se caractérise par une glycémie supérieure à 1.26 g/L à jeun.
Voici quelques causes de l'hypoglycémie nocturne: Une dose d'insuline trop élevée au coucher. Un problème relié à votre technique d'injection de l'insuline. Une consommation de glucides plus faible qu'à l'habitude au souper ou durant la soirée.
L'organisme produit une poussée d'hormones qui commence environ 2 h à 3 h avant l'heure habituelle du réveil, ce qui fait augmenter la glycémie à jeun (avant les repas). Sans l'action de l'insuline nécessaire pour réguler cette augmentation, la glycémie à jeun est élevée tôt le matin (ou à l'aube).
En tant que diabétique, les activités physiques douces à intensité modérée seront préconisées comme la marche nordique, la randonnée, le vélo. La natation, la gym, la course à pied, la musculation « sans se mettre dans le rouge » sont aussi recommandées, tant que les muscles ont assez d'oxygène pour brûler le glucose.
Les personnes qui développent le diabète de type 2 peuvent préalablement avoir reçu un diagnostic de prédiabète. Cette condition est présente lorsque le taux de glucose sanguin est plus élevé qu'à la normale, mais pas suffisamment élevé pour poser un diagnostic de diabète de type 2.
Mesurez votre glycémie avant et après l'activité physique. Prévoyez une mesure au milieu de l'activité également si celle-ci est d'une durée de plus de 60 minutes. Continuez à surveiller vos glycémies de plus près jusqu'à 48 heures après l'activité, surtout si elle était prolongée.
Prévenir le diabète par l'activité
Tous montrent que l'exercice physique, pratiqué de manière régulière, diminue le risque d'apparition du diabète sucré chez des sujets prédisposés. Il est intéressant de noter que la régularité plus que l'intensité de l'effort est le facteur important en matière de prévention.
La caféine peut avoir un impact sur la glycémie.
Certaines personnes rapportent, en effet, avoir observé une augmentation de leur glycémie suite à la consommation de caféine. Cet effet pourrait s'expliquer par la libération d'adrénaline, provoquée par la caféine, qui peut faire augmenter le taux de sucre dans le sang.
Les diabétiques peuvent en abuser : le citron leur sera d'une aide précieuse. Il est d'abord très riche en vitamine C. Par ailleurs, il a une action antifatigue grâce aux flavonoïdes (substances antioxydantes). Il permet aussi de réduire l'indice glycémique.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
Une pizza affecte le taux de sucre dans le sang d'un patient diabétique de type 1 pendant plus de huit heures, nécessitant un apport lent et régulier d'insuline pour maintenir un taux de sucre optimal , montre une étude américaine. L'équipe du Dr Robert A.
Une fatigue permanente
Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
Les aliments protéiques doivent être le moins gras possible: les poissons, les volailles comme la dinde, la pintade, le poulet sont les mieux indiqués, mais aussi, en quantité modérée, la viande de bœuf ou de veau. En revanche, la viande d'agneau ou de porc est à éviter.
Les carottes sont donc loin d'être interdites dans un régime de diabète de type 2. De fait, elles ne contiennent que 5% de glucides et ont leur place dans l'alimentation adaptée au diabète de type 2.