L'énurésie peut également être causée par des facteurs psychologiques tels que l'anxiété, le stress, la dépression, la peur ou des troubles du comportement. L'incontinence nocturne peut également être causée par une polyurie nocturne, qui est une production excessive d'urine pendant la nuit.
En période d'anxiété ou de stress, les envies d'uriner sont parfois pesantes. Il est toutefois possible d'améliorer la situation en adoptant quelques habitudes simples qui permettent d'apaiser le stress et la vessie.
Utilisez les principes de pleine conscience pour vous détendre et être dans le moment présent. Contractez les muscles de votre plancher pelvien 8 fois rapidement ou maintenez une contraction 8 secondes. Utilisez des affirmations positives comme “Je suis en contrôle de ma vessie” ou “je peux attendre”. Distrayez-vous!
Le fait de se lever fréquemment pour uriner la nuit est un symptôme appelé nycturie qui peut signaler la présence d'un problème de santé plus ou moins grave. Un simple changement des habitudes alimentaires peut suffire dans certains cas, tandis qu'un passage chez le médecin sera indispensable dans d'autres.
Certaines maladies et problèmes médicaux peuvent causer une nycturie, notamment les infections urinaires ou encore les infections de la vessie. Ces infections peuvent causer des sensations fréquentes de brûlures et des besoins urgents d'uriner la journée et la nuit.
La nycturie peut être un symptôme du vieillissement physiologique de l'individu. Avec l'âge, la sécrétion de l'hormone antidiurétique (ADH), qui vise notamment à réguler la production d'urine, peut être perturbée, entraînant des mictions répétées la nuit.
Il est donc conseillé de bien s'hydrater tout au long de la journée et de réduire l'absorption de liquides entre 2 à 4heures avant le coucher. Cela vaut pour l'eau, mais aussi pour d'autres liquides qui peuvent irriter la vessie, comme l'alcool ou encore le café.
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
A ces heures, l'oxygénation de l'organisme se met en branle. Un réveil entre 3h et 5h du matin peut alors signifier des soucis de respiration (en raison de la fumée, du stress, rythme respiratoire élevé). Au niveau psychologique, les poumons sont associés à la mélancolie, aux désillusions sentimentales et à la peine.
Le chocolat, le cacao, le thé, le café et certaines boissons gazeuses contiennent de la caféine, qui est reconnue pour avoir un effet diurétique. La caféine augmente également la pression et l'excitabilité sur les muscles qui contrôlent la vessie.
Certaines personnes produisent plus de 25 % de leur production quotidienne d'urine la nuit. Cela peut être dû à une altération de la fonction rénale, au diabète, à des troubles neurologiques, à des problèmes de prostate ou à une maladie sous-jacente. La santé mentale a également une incidence sur la miction.
Rein-vessie : la peur
Les méridiens stockent les mémoires de ces peurs et ont une capacité à les filtrer pour mieux les évacuer. Une personne qui a la peur de perdre sera plus exposée aux constipations par exemple.
La vessie neurogène est un dysfonctionnement (vésical atone ou spastique) provoqué par des lésions neurologiques. Les symptômes peuvent comprendre une incontinence par regorgement, une pollakiurie, des mictions impérieuses, une incontinence par impériosité et une rétention.
Devoir se lever la nuit pour aller aux toilettes est ennuyant, mais cela peut aussi être inquiétant. Des chercheurs japonais ont découvert en 2017 un lien entre l'hypertension artérielle, la consommation de sel et l'envie fréquente d'uriner la nuit.
Lorsque vous commencez à ressentir du stress, votre corps commence à produire des hormones en réponse à ce stress. Ces hormones peuvent altérer la fonction intestinale, ce qui peut contribuer à la constipation occasionnelle.
Notre nuit est répartie en plusieurs cycles du sommeil, et il est tout à fait normal de se réveiller entre chaque cycle. Mais cela constitue en général un micro-éveil, et la plupart des gens ne s'en aperçoive même pas. Ce qui est problématique c'est lorsque ce réveil dure trop longtemps.
entre 3 heures et 5 heures: vos poumons reçoivent leur pic énergétique. Ces organes apportent à l'organisme l'oxygène indispensable pour vivre. Ils sont aussi des émonctoires, comme le foie, ce qui signifie qu'ils contribuent à l'élimination des déchets.
On produit aussi moins de mélatonine, hormone du sommeil secrétée par l'organisme avec un pic entre 2 et 5 h du matin, pour indiquer au cerveau qu'il doit passer et rester en mode nuit. Des réveils de plus en plus précoces (les yeux ouverts à 5 h du matin) sont un autre signe d'un déficit en mélatonine.
Tout le monde émet autant d'urine que ce que l'on boit. C'est la stabilité de la composition du corps. On a une quantité d'urine qui est exactement dépendante du fait d'avoir une quantité d'eau fixe dans l'organisme. Il est impossible d'uriner plus que ce que l'on boit."
Le but de la miction est la vidange complète de la vessie. La miction normale est complète, volontaire et indolore, exclusivement diurne, dure moins d'une minute, permet l'élimination d'environ 350 mL d'urine, est espacée de 3–4 heures de la miction précédente.
Le symptôme le plus évocateur du cancer de la vessie est la présence de sang dans les urines ou hématurie, qui peut toutefois être présente dans d'autres maladies. Le cancer est détecté par des analyses d'urine et des examens d'imagerie médicale.
“Si votre consommation de fluides est en cause, alors vous devriez arrêter de boire deux à trois heures avant le coucher”, conseille notre expert.
Est-ce dangereux de trop uriner ? La pollakiurie elle-même n'est pas dangereuse, mais elle peut être le symptôme d'un problème de santé sous-jacent, qui peut nécessiter un traitement médical. Si vous souffrez de pollakiurie, il est important de consulter un médecin afin de déterminer la cause de ce symptôme.