Le temps est une réalité pour les êtres humains. Pourtant, du point de vue de la physique quantique, il n'existe pas. “Les équations fondamentales qui décrivent notre monde ne comportent pas de variable de temps”, souligne Carlo Rovelli, spécialiste de physique théorique.
Pour Aristote, le temps, c'est la mesure du changement continuel des choses, du passage entre un événement et un autre. Là où rien ne se passait, le temps, en somme, n'existe pas. Newton a lui supposé au contraire l'existence d'un temps absolu qui s'écoule indépendamment du monde et de ses phénomènes.
Selon la théorie du Big Bang, l'Univers a eu un début, il y a environ 13,7 milliards d'années. C'est là que le temps aurait commencé, et que l'espace et la matière seraient apparus.
Eh bien le temps… c'est pareil: il est là, mais il défile devant nos yeux, car notre point de vue évolue. «La différence entre passé, présent et futur n'est qu'une illusion», disait Einstein, tout comme l'illusion que le monde défile devant nos yeux quand nous marchons. Le temps «est là», tout comme l'espace «est là».
Le changement de temps se produit en raison du mouvement (comme une personne qui marche, une secousse ou même une explosion). Bien que l'idée du temps en tant que progression puisse être quelque peu évidente, la date à laquelle le "temps a commencé" est plutôt débattue, car il existe des opinions contradictoires.
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C'est des Babyloniens que vient l'idée de diviser la journée, c'est-à-dire la période allant du lever du soleil à son coucher, en douze heures. La pratique est reprise ensuite par les Grecs puis les Romains. À l'origine, l'heure est simplement le douzième d'une journée, quelle que soit la saison.
Selon Albert Einstein, temps, espace et matière sont intimement liés. Plus encore, elle inverse le point de vue habituel : ce ne sont plus le temps et l'espace qui sont le cadre des phénomènes mettant en jeu la matière, mais les corps qui influent principalement sur le temps et l'espace.
La plus grande illusion est sous nos yeux en permanence. Nous vivons avec du petit-déjeuner au coucher. Et souvent à la fin de la vie, il est déjà trop tard pour la connaître…
Jusqu'à présent, ce que nous pouvons affirmer avec certitude, c'est que voyager dans le futur est réalisable, mais voyager dans le passé est soit extrêmement difficile, soit absolument impossible.
Il y avait à la fois de la matière et de l'"antimatière" en quantités à peu près égales . Chaque type de particule de matière, comme le quark, a une antimatière compagnon « image miroir », qui est presque identique à lui-même, ne différant que par un aspect.
Mais ce n'est pas complètement certain non plus... Si tout se passe bien, l'humanité a encore de belles années devant elle.
Vous avez sûrement entendu parler de la théorie du Big-Bang, qui décrit comment l'Univers est « né » d'un amas de matière très dense et très chaud il y a environ 13,7 milliards d'années. Une dilatation progressive, comme un ballon qu'on gonfle.
Le temps est ce qui permet à un corps d'occuper successivement différents points dans l'espace.
Le temps est bien une mesure absolue des intervalles entre évènements de la grande carte quadridimensionnelle de l'espace-temps. Mais il n'existe pas un temps absolu commun, comme on le pensait avant Einstein 1905.
C'est un temps qui s'écoule bien sagement de la même manière partout, c'est une horloge universelle, extérieure au cadre qu'est l'espace qui lui aussi, d'ailleurs, est fixe.
Selon Kant, le bonheur est « un idéal, non de la raison, mais de l'imagination ». Car la raison ne peut connaître la totalité des désirs à combler, chacun ayant une infinité de désirs différents et changeants. Aucune science du bonheur n'est possible.
L'aristocrate français finit par se faire tuer par l'Allemand pour couvrir l'évasion de ses compatriotes, qui réussissent à passer la frontière suisse après avoir été hébergés chez une fermière allemande, veuve de guerre, qui élève désormais seule sa fille et dont Maréchal tombe amoureux.
L'illusion fonctionne selon deux mécanismes : soit le cerveau essaie de donner du sens à ce qui n'en a pas, soit la perception erronée donne lieu à des erreurs d'interprétation.
Le temps des physiciens
Galilée et Newton ont les premiers pensés à intégrer la notion de temps dans les lois de la physique. C'était il y a environ quatre siècles seulement. A cette époque, le temps apparaît comme une grandeur universelle.
Les particules de lumière (photons) se déplacent à la vitesse maximale possible c et représentent donc le cas limite: pour elles, le temps ne s'écoule pas du tout. Mais elles peuvent se déplacer aussi vite uniquement parce qu'elles n'ont pas de masse.
Dilatation du temps dans l'univers
Nous savons que l'univers est en expansion. Cela signifie que l'espace-temps est étiré, ce qui constitue une forme de distorsion, et qu'une dilatation du temps, appelée dilatation du temps cosmologique, devrait se produire.
Historiquement, l'heure a été définie par l'utilisation des cadrans solaires qui marquaient par l'ombre projetée d'un style la position du Soleil dans le ciel ; il s'agissait de l'heure solaire.
Dès l'aube de l'humanité l'homme a cherché à mesurer le temps pour prévoir le retour des saisons froides ou chaudes afin, par exemple, d'assurer sa subsistance. C'est l'alternance des jours et des nuits, donc le mouvement apparent du Soleil dans le ciel, qui va, entre autre, s'imposer à lui.
Selon nos connaissances actuelles, l'origine du temps commencerait avec la naissance de l'Univers. On peut l'estimer ou le mesurer à 13,7 Milliards d'années, lors du fameux Big-Bang. On ne peut mesurer le temps au-delà de cette limite, car on ne sait absolument pas "d'où", "de quoi", vient ce big-bang.