Même si les deux langues possèdent la même origine, l'allemand standard et les dialectes alsaciens ont évolué différemment au cours des siècles. Les deux langues restent malgré tout relativement très proches, notamment en termes de vocabulaire et de grammaire.
Ils sont une part du peuple allemand, depuis l'acquisition progressive du territoire alsacien par la France. La dernière estimation de population de l'Alsace administrative est de 1 861 020 habitants en 2013, il faut tenir compte du fait que ce chiffre inclut les Alsaciens autochtones et les « Alsaciens d'adoption ».
L'alsacien est le nom donné aux parlers germaniques traditionnels d'Alsace. C'est une langue régionale qui est qualifiée de « dialectes » dans le sens où sa grammaire n'a pas été codifiée. L'allemand standard est la langue normalisée utilisée pour la transcrire aujourd'hui.
Tout comme la Bretagne et la Corse, l'Alsace a décidé de ne pas franciser les noms de beaucoup de ses communes, influencés par la culture germanique dans la région. En effet, la germanisation de l'Alsace a commencé dès l'époque romaine, l'actuelle région ayant été inclue dans la province de Germanie supérieure.
1 – « Tu es alsacien ? Tu parles Allemand alors ?! » Soit le cliché par excellence qui énerve un alsacien par dessus tout. La proximité avec la frontière Allemande et une histoire parfois commune, forge dans l'esprit de la plupart des français et étrangers un amalgame entre Alsace et Allemagne.
l'activité brassicole : les quatre grandes brasseries alsaciennes assurent la production de 60 % du volume national de bière (soit près de 11 millions d'hectolitres) et emploient 1 400 salariés pour un chiffre d'affaires de 1,4 milliard d'euros.
- Ìch hà di liab. Je t'aime. - Ìch hà di garn. Je t'aime.
L'Alsace-Lorraine (en allemand Elsaß-Lothringen) est le territoire cédé par la France à l'Empire allemand en application du traité de Francfort, signé le 10 mai 1871 après la défaite française.
Cette latinophilie les conduit à minimiser, voire à occulter, nos racines germaniques. En effet, les Alamans sont les ancêtres des Alsaciens.
Vous savez peut-être aussi pourquoi les Lorrains ont de grandes oreilles ? Eh bien c'est parce que, lorsqu'ils sont enfants, leurs mères les soulèvent tous les jours par les oreilles en leur disant : « regarde au-dessus des Vosges comme c'est beau l'Alsace ! »
Le dialecte alsacien est une langue germanique. Il comporte une multitude de variantes du sud au nord de l'Alsace.
Le traité de Versailles, le 28 juin 1919, indique ainsi que les Alsaciens-Mosellans sont réintégrés de plein droit dans la nationalité française , excepté les enfants de père allemand installé en Alsace après 1870.
L'alémanique, parlé sur la majeure partie du territoire alsacien et le francique rhénan, parlé dans le nord de l'Alsace (Alsace bossue et région de Wissembourg) appartiennent au groupe du haut-allemand ou allemand supérieur.
Hormis Landau in der Pfalz, non restituée en 1815, toute l'Alsace est aujourd'hui intégrée à la République française au sein des trois départements suivants : le Haut-Rhin, Bas-Rhin, territoire de Belfort et d'une petite partie Est des Vosges.
Strasbourg (prononcé /stʁas. buʁ/) est une commune française située dans la collectivité européenne d'Alsace dont elle est le chef-lieu. Elle est la préfecture du Bas-Rhin et de la région Grand Est. Capitale de la région historique d'Alsace, elle est bordée par le Rhin et directement frontalière avec l'Allemagne.
Les départements d'Alsace-Moselle furent annexés au Reich allemand en 1940, lors de la Seconde Guerre mondiale, mais séparément, avant d'être réintégrés à la France à la Libération.
Le 10 mai 1871 est signé à Francfort le traité qui rattache l'Alsace et la Lorraine à l'Empire allemand, et qui oblige la France à verser une très lourde indemnité de guerre. Cet événement, contemporain de la Commune, a marqué profondément et durablement la mémoire de la nation française.
Il se peut que l'Alsace soit allemande par la race et par le langage ; mais par la nationalité et le sentiment de la patrie elle est française.
Les opérations sont déclenchées à partir des Vosges et de la Trouée de Belfort. Mulhouse est libérée le 21 novembre 1944 par le général Béthouart, et Strasbourg le 23 novembre par le général Leclerc à la tête de la 2e DB.
Fondement juridique. Ce régime spécifique à l'Alsace-Moselle reconnaît et organise les cultes catholique, luthérien, réformé et israélite et permet à l'État de salarier les ministres de ces cultes. À son entrée en vigueur en 1802, il reconnaissait égales les trois confessions et les religions présentes.
Papapa, schlass, schmoutz...
Schàtz = chéri(e)