Les charges sociales patronales : un exemple particulier de charges fixes. Les charges sociales patronales constituent un exemple de charges fixes. En effet, les cotisations sociales sont à la fois versées par le salarié et par l'employeur, sous forme d'un taux appliqué à un montant de base.
Egalement appelées "charges fonctionnelles", les charges variables correspondent à celles engendrées directement par l'activité de l'entreprise et donc à la réalisation du chiffre d'affaires. Exemples : "approvisionnements" , frais de transports sur achats ou sur ventes, commissionnements sur ventes, etc...
En comptabilité, les charges fixes représentent les charges qui restent stables malgré le niveau d'activité de l'entreprise. Les charges variables sont celles qui varient en fonction de son chiffre d'affaires ou de sa production, comme le coût des matières premières par exemple.
Les salaires sont une charge fixe qui peut devenir mixte en cas de salaire variable. C'est le cas typique d'un commercial qui dispose d'un salaire fixe + de primes liées à la performance.
Les charges variables sont dynamiques et sont dépendantes de l'activité de l'entreprise. Elles regroupent, entre autres, les postes suivants : Les achats de matières premières. Les frais de packaging.
Les charges fixes sont des charges récurrentes que vous devrez payer quel que soit le niveau d'activité de l'entreprise. Les charges fixes sont par exemple les amortissements, le loyer, les frais administratifs, les différents honoraires, les salaires ....
Les charges indirectes sont des dépenses engagées par les entreprises et comptabilisées selon des règles comptables spécifiques. En effet, ces charges ont des incidences à court et moyen terme, ce qui est reflété dans la comptabilité des entreprises.
Les charges semi-variables ou charges mixtes sont des charges constituées d'une partie fixe et d'une partie variable. Les charges d'électricité, par exemple, en font partie.
Les charges de personnel sont des charges déductibles pour l'entreprise qui les supporte. Elles regroupent toutes les dépenses liées à l'embauche de personnel (versement des salaires, paiement des cotisations sociales correspondantes).
Des exemples de coûts variables incluent les matières premières, la fabrication, la main-d'œuvre et l'amortissement. Les coûts variables s'inscrivent sous «coût des produits vendus» ou «coût des ventes» dans l'état des résultats d'une entreprise.
Les charges externes regroupent un ensemble de comptes utilisés en comptabilité pour présenter le détail des charges et dépenses engagées par une entreprise autre que salaires, taxes et coûts des ventes. Les charges externes sont un poste important du compte de résultat.
Le résultat de l'entreprise est obtenu par la différence entre le chiffre d'affaires et les charges totales (variables et fixes). Quelque soit le niveau de production et pour une structure donnée, les charges fixes ne peuvent pas être réduites, elles sont supportées par leur montant total par l'entreprise.
Les charges supplétives sont des charges incorporées aux coûts, mais qui ne figurent pas dans la comptabilité générale. enregistrée en comptabilité générale, elle n'en constitue pas moins une charge économique de l'entreprise, au même titre que la rémunération des capitaux empruntés.
Les charges directes sont les charges qui sont directement affectées à un produit ou à un service. Il s'agit principalement de : Les matières premières, marchandises et autres consommables qui entrent directement dans la fabrication du bien.
Les charges non incorporables sont des indicateurs servant à évaluer le fonctionnement d'une société. Elles ne sont pas prises en compte dans le calcul des coûts de l'exploitation effectués par cette dernière.
Il correspond au rapport entre les charges fixes d'une entreprise (au numérateur) et le taux de marge sur coûts variables (au dénominateur). Exprimé en unité monétaire (euros par exemple), il fournit une indication sur le chiffre d'affaires minimum à réaliser pour couvrir les charges structurelles.
On retrouve dans les charges d'exploitation les comptes de charges suivants : les achats de matières premières et de marchandises, ainsi que la variation de stock. Il s'agit d'une partie des comptes de classe 60, les frais généraux de l'entreprise, comme les loyers, les assurances, l'entretien…
Une charge indirecte est une charge qui ne peut pas être attribuée en totalité à un produit de votre entreprise. A l'inverse, un charge directe est une directement imputable à un produit.
Pour un calcul rapide du seuil de rentabilité avec le tableur, il faut commencer par remplir la liste des charges variables (type et montant) puis la liste des charges fixes (type et montant) et après remplir les champs de la période et le montant total du chiffre d'affaire de la période étudiée.
Le seuil de rentabilité correspond au niveau de chiffre d'affaires au-delà duquel l'entreprise commence à réaliser un bénéfice.
Charges indirectes : la méthode des coûts complets
Pour cette méthode de calcul des charges indirectes, il suffit de découper l'entreprise en différents centres d'analyse (atelier, usine, entrepôt, bureau…). On définit une clé de répartition en amont et on redistribue les charges indirectes à chaque activité.