Et enfin, puisque rien n'est sacré, les pets de dauphin sont silencieux mais mortels, dégageant l'odeur pestilentielle du poisson qu'ils ingèrent.
Si les baleines sont apparemment capables de péter, rares sont ceux qui assistent à un tel phénomène.
Le requin taureau, Eugomphodus taurus, lui, a maîtrisé la technique du pet comme dispositif complémentaire. Il vient en surface, avale de l'air, puis l'expulse en pétant, selon la profondeur à laquelle il souhaite nager.
Le putois (Mustela putorius) est un petit animal carnivore de la famille des Mustélidés reconnaissables à leur silhouette allongée tels que belette, loutre, fouine, hermine, vison, notamment. Le putois a, en plus, la particularité de dégager une odeur très forte lorsqu'il se sent menacé.
Le pet de chameau
Il rote et il pète. Sauf qu'en Australie ça commence à poser problème parce que la population de chameau s'accroît, or pour les scientifiques, les chameaux sont un des plus gros producteurs de dioxyde de carbone au monde avec leurs flatulences.
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Les boeufs émettent une grande quantité de méthane, un gaz à effet de serre beaucoup plus puissant que le dioxyde de carbone. Leur système digestif leur fait produire beaucoup plus de méthane que les cochons, les poules ou les dindes.
Eh bien si, les insectes pètent. Ils possèdent tout comme nous un système digestif donc un anus, et font le plus naturellement du monde des mini-pets inaudibles à l'oreille humaine (heureusement sinon on s'entendrait plus).
Mais au lieu d'être évacué de la manière traditionnelle, celui-ci circule dans le sang, passe par les viscères avant d'être relâché par la respiration. "Ainsi, le paresseux est sans doute le seul mammifère qui ne pète pas", est-il écrit.
Alors voici: les insectes ont un système digestif. Donc oui, les mouches ont des flatulences. Et les fourmis ont des gaz.
Il faut savoir que le chat émet des flatulences normales, mais elles sont généralement discrètes, étant peu ou pas sonores et dégageant peu ou pas d'odeur. En conséquence, lorsque le chat pète de manière répétée et audible et qu'il expulse des gaz à l'odeur nauséabonde, il peut y avoir lieu de s'inquiéter.
Il réactive son transit en mangeant des plantes laxatives. C'est à ce moment que se produit le "pet de l'ours" libérateur ; il expulse son "bouchon anal" et la petite "usine" se remet en marche. L'ours aime péter car cela le fait bien rire, il est comme nous et trouve toujours amusant ses bruits odorants.
Chez les poissons, on ne parle pas de sommeil mais plutôt de période d'inactivité où leur réactivité est diminuée. Pour se reposer, les poissons s'immobilisent sur le fond, ou nagent plus lentement suivant les espèces.
La chèvre. La chèvre, elle aussi un ruminant, participe comme bien d'autres aux émissions de GES. Selon la FAO, les ruminants domestiques sont responsables, rots et pets devant, de 37 % du méthane lié aux activités humaines. Toutefois, tout comme pour les vaches, l'alimentation peut aider à réduire cette production.
On apprend par exemple que le poisson rouge préfère roter, tandis que la plupart des oiseaux ne pètent pas, alors qu'ils disposent d'un système digestif capable de produire des gaz.
En conclusion, les escargots, comme tous les animaux mangent et évacuent le surplus sous forme de matières fécales. Quant au fait de péter, cela n'a été observé que chez le gastéropode d'eau, mais à condition de vivre dans un milieu pollué.
S'il est au pré et a irrégulièrement du foin, et qui plus est si ce foin est de mauvaise qualité, et bien il passe des phases où il a le ventre vide (donc nécessairement de l'air) à un ventre rempli/gonflé une fois qu'on lui met de la nourriture.
Une étude britannique des plus sérieuses l'affirme : les flatulences des dinosaures sont responsables du réchauffement de la Terre à l'ère préhistorique.
Moins du dixième d'une tête d'épingle, tel est le volume d'un cerveau de mouche drosophile, la petite mouche à vinaigre qui volette sur vos plats de fruits trop mûrs. Cet encéphale minuscule possède environ 100 000 neurones, soit un million de fois moins que l'être humain, qui en possède 100 milliards.
La nuit, si vous n'allumez pas, elles restent immobiles, se reposent à l'intérieur de la maison, à proximité de la nourriture et dans des endroits favorables à leur reproduction.
Kia Soul : Les hamsters se la pètent encore !
Les vaches libèrent du méthane principalement par leurs rots. Le reste des émissions de gaz est sous forme de flatulences (pets).
Or cette mécanisation n'est rendue possible que grâce aux combustibles fossiles. À l'heure de la prise de conscience écologique, le retour du cheval ne paraît donc pas si fou. Les chevaux ne manquent pas de points positifs. Ils ne polluent pas l'atmosphère et sont silencieux.
La volaille ou le porc ont une empreinte carbone largement inférieure (moins de 200 kg par an de CO2 et par personne). La viande bovine représente 40 % des émissions dues à l'élevage de bétail, alors qu'elle ne représente que 20 % de la consommation totale de viande.