Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
Exemples de poissons non cacher : raie, esturgeon, anguille, turbot, carpe à cuir (appelée aussi carpe cuir), saumonette. Le saint-pierre, objet de contestation, ne doit pas être consommé.
Les Juifs doivent attendre au moins le temps entre deux repas pour consommer du lait après avoir mangé de la viande, un peu moins si un plat carné doit être consommé après un plat lacté, et seulement après s'être lavé les mains, afin de ne pas mélanger les deux produits dans l'estomac.
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
L'autruche s'enfuit.
Il est d'abord important de préciser qu'au stade adulte, le volatile n'a pas véritablement de raison de se cacher car il connaît peu de prédateurs. S'il est pris en chasse par de grands carnivores (hyène, léopard, lion…), son meilleur atout reste la fuite.
Le porc, le lapin, le cheval, etc., sont interdits. Par ailleurs, les poissons ne comportant ni nageoires ni écailles (anguilles, raies?), les reptiles, les mollusques sont exclus. L'animal, abattu rituellement, doit être vidé de son sang - porteur du principe vital, l'âme de la chair.
Les hindous, pour qui la vache est sacrée, ne mangent pas de bœuf. Il y a aussi des végétariens qui choisissent de ne pas manger d'animaux, ni viande ni poisson.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Les écailles du thon sont toutes petites. Le thon possède une nageoire anale, deux nageoires dorsales et des pinnules ( toutes petites nageoires ) qui se situent derrière la deuxième nageoire dorsale. Le thon blanc est plus petit que le thon rouge. Le nom scientifique du thon blanc est thunnus alalunga.
Crustacés. La consommation des crustacés est prohibée par le judaïsme ; de même, plusieurs peuples refusent (ou refusaient) de manger les crabes, en Europe, en Afrique, etc.
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin.
Parce que l'esturgeon, une espèce en voie de disparition dont les œufs sont récoltés pour produire du caviar, n'est pas un poisson casher.
Histoire et caractéristiques du cabillaud
Bien que la couleur des écailles varie du gris au brun selon l'alimentation de cet omnivore, son abdomen et sa ligne latérale restent plus clairs que le reste du corps.
Tous les produits de la mer ou d'eaux douces sont halal, y-compris la viande de requin. Néanmoins, l'école de jurisprudence hanafi interdit la consommation de fruits de mer autres que le « poisson ».
Sikhisme. Le refus de consommation de viande halal est un des interdits que tous les sikhs doivent suivre.
La loi juive (halakha) interdit en effet de consommer du porc (parce qu'il a le sabot fendu sans être un ruminant) mais aussi les insectes et toute une liste de volailles (autruche, mouette, cigogne…) ainsi que l'ensemble des coquillages et crustacés (parce qu'ils n'ont pas d'écailles ou de nageoires). "
Chez les malgaches, il y a des fady collectifs régissant une lignée toute entière ou un endroit bien déterminé. C'est le cas de la consommation de tout aliment contenant de la viande de porc, de chèvre ou d'ail. Ceux qui ont osé les enfreindre ont rencontré des expériences malheureuses.
Dans la religion juive, les aliments carnés et lactés ne sont jamais associés. On ne peut par exemple consommer, après un repas à base de viande, un dessert à base de beurre. L'utilisation d'huile ou de margarine est donc très courante dans la cuisine juive, même pour la pâtisserie.
Un interdit central de la cacherout
Elles établissent notamment les règles pour préparer la viande, de façon à éviter la consommation de sang, et imposent la séparation entre viande et produits laitiers.
Se dit d'un aliment, en particulier de la viande, conforme aux prescriptions rituelles du judaïsme, ainsi que du lieu où il est vendu. (Pour la viande, une des principales prescriptions est l'ablation du nerf sciatique de l'animal et l'élimination du sang qui peut rester après l'abattage.)
La religion juive ne permet que la consommation de quadrupèdes ruminants à sabots fendus et des oiseaux herbivores. Sont exclus: le porc, l'âne, le cheval, le chameau et le lapin.
Les aliments cashers, donc permis, sont : Les produits consommés dans leur état naturel ou état de récolte, comme les légumes et les fruits. Les produits carnés provenant de ruminants ayant des sabots fendus donc les bovins, les caprins, les ovins, les cerfs et chevreuils, abattus selon les prescriptions de la Loi.
Il existe néanmoins des exceptions parmi les animaux aux sabots fourchus et fendus et qui ruminent : « le chameau, le lièvre, le porc, et vous ne toucherez pas à leur cadavre », précise le passage. Sont aussi exclus chevaux, félins, chiens, lapins, ainsi que le gibier. Cela exclut donc les rapaces.