Les nuages sont constitués de minuscules gouttelettes d'eau qui, selon les lois de la gravité, devraient tomber au sol. Au lieu de cela, elles restent en l'air. La taille des gouttelettes d'eau qui composent un nuage est la clé de sa flottabilité.
Il faut 1 million de gouttelettes d'eau dans un nuage pour fabriquer une goutte de pluie ! De la même manière qu'on ne peut pas marcher sur la mer ou flotter dans l'air, on ne peut donc pas marcher sur les nuages, sinon on tomberait de très haut !
La pluie artificielle par ensemencement des nuages est une technique élaborée et appliquée pour la première fois en 1946, aux États-Unis, pour lutter contre la sécheresse qui sévissait dans la région de New York. Puis, elle s'est répandue pour lutter contre le manque d'eau à travers le monde.
Le cumulus :
Ce sont ceux qu'on appelle "nuages de beau temps" et que l'on voit très fréquemment en été. Ils ont un aspect moutonneux et ont une durée de vie de 5 à 40 minutes.
La nuit, en absence de soleil, la terre se refroidit par rayonnement. Cette perte d'energie est associée à un refroidissement et donc une baisse des températures. Par ciel clair, il n'y a pas réémission du rayonnement énérgétique des nuages vers la terre.
La nature de la diffusion est dépendante de la dimension des arrangements moléculaires. Les nuages apparaissent blancs en raison de la diffusion de la lumière par les grosses gouttes d'eau. Les nuages apparaissent gris ou noirs s'ils arrêtent tout ou une partie de la lumière (ombre propre).
Les gouttes de pluie qui tombent peuvent être alors plus chaudes que l'air proche du sol, le réchauffant donc, mais la pluie vient généralement avec une perturbation, du vent, donc du brassage d'air dans les basses couches qui aura pour but de faire tendre doucement le gradient thermique vers l'adiabatique.
Lorsque les précipitations liquides ou solides sont déversées sur les continents, environ 60 % de ces précipitations s'évaporent à nouveau. Le reste ruisselle vers les cours d'eau ou s'infiltre dans le sol pour alimenter les nappes souterraines (nappes phréatiques).
En fait il peut se déplacer à plus de 200 Km/h et paraitre immobile, car il se "crée" à l'approche immédiate du sommet, se détruit aussitôt passé le sommet, et le début du nuage passe en quelques secondes le sommet avant de disparaitre.
L'albatros est peut-être le prince des nuées, mais le roi, c'est lui – le cumulonimbus. Car il est le plus haut, le plus puissant, le plus dangereux des nuages, lui qui génère les orages - éclairs, tonnerre, pluies diluviennes et vents violents.
L'opération consiste à tirer depuis des avions ou des canons au sol, des projectiles d'iodure d'argent dans les nuages. Cette méthode, appelée « ensemencement de nuages » permet d'augmenter la condensation dans le ciel ce qui provoque une pluie artificielle.
C'est pourquoi Dubaï a fait appel à une technologie innovante, développée en collaboration avec l'université britannique de Reading. Pour plus de détails, cette dernière consiste à envoyer des drones dans le ciel, qui vont ensuite émettre des décharges électriques dans les nuages, via des lasers concentrés.
Pas nécessairement. L'ensemencement des nuages ne permet pas de créer des nuages. Il consiste seulement à déverser dans les nuages des particules interagissent avec les molécules de vapeur déjà en suspension dans l'air.
Le mouvement des nuages est dû principalement à l'état des masses d'air et ces masses d'air évoluent selon des règles régies en grande partie par la mécanique des fluides. Cette force dévie légèrement les mouvements des masses d'air ce qui donne le sens de rotation ce celles-ci.
La pluie – dont les gouttes sont maintenues électriquement entre elles par un échange entre pôles positifs et négatifs – tombe lorsque le champ magnétique qui maintient les gouttes ensemble est perturbé. » A priori pas de pluie sans nuages donc !
Beaucoup de petits oiseaux ne volent pas très haut. Mais les plus gros oiseaux peuvent voler au-dessus des nuages, soit pour éviter la pluie, soit pour planer facilement.
Les nuages sont constitués de cristaux de glace et de gouttelettes d'eau. La température est comprise entre 2°C et -30°C.
Cette vapeur renfermée dans l'atmosphère se condense et forme les nuages, qui sont constitués de milliards de gouttelettes d'eau et de glace : avec une densité d'eau d'environ 0,5 g par mètre cube, un nuage de 100 kilomètres cubes peut ainsi peser jusqu'à 500 000 000 kilos !
Les nuages les plus élevés, qui occupent l'étage supérieur de la troposphère sont constitués de millions de minuscules cristaux de glace (préfixe: Cirr ou Cirro) et comprennent les genres Cirrus, Cirrocumulus et Cirrostratus.
D'ici 2050, selon les Nations Unies, entre 2 et 7 milliards d'êtres humains seront confrontés à une pénurie d'eau. Parmi les régions les plus menacées, on trouve notamment le bassin méditerranéen (en particulier l'Afrique du Nord) et la péninsule arabique.
La Terre ne manquera jamais d'eau.
Le volume d'eau ne bouge pas, n'a jamais bougé, n'est pas près de bouger...
Colmar, la douceur alsacienne. La ville de Colmar est située en Alsace, dans le département du Haut-Rhin. Dans la Plaine d'Alsace au pied du massif des Vosges cette commune est l'une ou il pleut le moins en France. Avec 530mm/ an de précipitations, c'est même la deuxième ville la plus sèche après Marseille !
À Arica, au nord du Chili. On y enregistre le record mondial du minimum de précipitations moyennes annuelles avec 0,76 mm (ou l/m²), valeur calculée sur une période de 59 années.
Quel est le lien entre le temps et la douleur physique ressentie ? Par temps de pluie, la pression atmosphérique baisse, et la pression qui provient de l'articulation, généralement plus faible que la pression atmosphérique, devient plus forte. Cet équilibre des forces étant modifié, cela provoquerait des douleurs.
La nuit, le sol se refroidit, l'air se stabilise dans les couches inférieures et l'activité orageuse cesse. L'été, la fréquence des orages est plus importante, car la différence de température entre le jour et la nuit est plus élevée.