La consommation des plaques électriques en résumé : Une plaque électrique consomme en moyenne 236 kilowattheures par an, soit 45 € sur la facture.
Selon l'ADEME, une plaque de cuisson à induction consomme 20 % d'électricité en moins qu'une plaque vitrocéramique. Les plaques induction basse consommation ou plaque induction faible consommation peuvent d'ailleurs être encore plus économes en énergie que les autres.
Les taques à induction : le meilleur choix si on veut de l'électrique. C'est une version améliorée des plaques électriques classiques : elles fonctionnent avec un champ magnétique qui chauffe le fond de la casserole. Par rapport aux taques en fonte et aux vitrocéramiques elles consomment 30 à 40% d'électricité en moins ...
En termes d'énergie, les plaques à induction sont plus économiques, car leur fonctionnement permet de limiter les pertes de chaleur. Moderne, la cuisine à induction offre également plus de précision dans les températures de cuisson.
Élu l'appareil de cuisson le moins gourmand en énergie du monde, il permet de chauffer nos aliments par la pression atmosphérique. Contrairement aux casseroles classiques, l'eau est chauffée jusqu'à plus de 100°C et même jusqu'à 125°C à cause de l'augmentation de la pression.
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne.
C'est finalement la plaque à induction (entre 2.000 et 3.700 W) qui s'impose comme la championne des plaques de cuisson, aussi bien en termes de performance que de consommation d'énergie.
Le principal inconvénient de la plaque à induction est son prix assez élevé. L'absence d'un système de sécurité comme l'arrêt de la cuisson une fois le plat cuit est un autre bémol. En effet, il faut retirer la casserole du feu pour stopper la conduction magnétique.
Toutefois, l'électricité est plus chère que le gaz, et de nouvelles hausses des tarifs réglementés sont à prévoir. La valeur de référence pour calculer la consommation moyenne en chauffage électrique est de 110 kWh par mètre carré et par an.
La cuisson au gaz est en effet la plus plébiscitée, et à raison : grâce à la flamme des brûleurs, il est possible de contrôler la température à vue. Cela n'est possible ni avec un table de cuisson électrique, ni avec un table de cuisson à induction.
La cuisson vitrocéramique repose sur un procédé assez traditionnel : Des radiants ou des halogènes sont sources d'énergie en lieu et place du gaz ou de l'électricité. A contrario, la plaque à induction repose sur un procédé totalement nouveau : chauffer grâce à un champ magnétique.
La plaque à induction nécessite un compteur électrique plus puissant que la moyenne en raison des charges plus élevées requises, qui peuvent aller jusqu'à 7kW. Un autre inconvénient concerne la production de champs électromagnétiques, faibles selon certains, mais néanmoins présents.
Une plaque à induction réduit fortement les durées de cuisson. Il en résulte d'importantes économies d'énergie, de 40 à 60% par rapport aux autres sources d'énergie. Comparée à une plaque vitrocéramique, le choix de l'induction aura donc un impact sur votre porte-monnaie à long terme.
En règle générale, la consommation d'un four classique d'une puissance allant de 2 000 à 2 500 W varie entre 0,7 et 1 kilowattheure (kWh), pour un total de 130 kWh par an environ.
Quelques exemples de consommation de plaques de cuisson
Plaque à induction : entre 2000 et 3000 watts. Plaque vitrocéramique : entre 1200 et 2100 watts.
Laquelle est la plus économique ? En termes de consommation électrique, la plaque à induction est beaucoup plus économique qu'une table vitrocéramique : on observe 30 % de kWh en moins consommés avec une plaque à induction et ce, pour la même puissance qu'une table vitrocéramique.
Une table de cuisson à induction possède une durée de vie plus courte par rapport aux autres plaques de cuisson. À titre indicatif, sa durée de vie dépasse rarement les 15 ans. Sa fragilité est due principalement à son équipement électronique.
Cette puissance vous indique la consommation de votre plaque électrique pendant 1 heure. En d'autres termes, si vous utilisez à pleine puissance une plaque à induction de 2 500 W pendant 1 heure, vous consommez 2 500 W.
Comme son nom l'indique, la plaque de cuisson électrique fonctionne grâce à une résistance électrique, qui réchauffe une plaque en fonte. Le fonctionnement d'une plaque électrique nécessite donc un temps de chauffe et, à l'inverse, un temps de refroidissement conséquent.
Quelles dimensions choisir pour sa table de cuisson ? 30 cm « domino » : à 1 ou 2 foyers, pour petites cuisines ou combinables (plaque grill, plancha…), pour créer un plan de cuisson fonctionnel. 60 cm « standard » : proche du carré, à 3 ou 4 foyers, intégrable à tout type d'aménagement.
De manière générale, on estime qu'un micro-ondes disposant d'une puissance allant de 1 000 à 1 500 watts, utilisé 1 heure 30 par semaine pendant 48 semaines de l'année, a une consommation de 90 kWh en moyenne. C'est bien moins que le four électrique classique, qui consomme 162 kWh en moyenne dans les mêmes conditions.
En utilisant une multiprise équipée d'un système de « coupe veille », c'est-à-dire d'un bouton permettant de couper l'alimentation en courant électrique, vous pouvez, stopper la consommation inutile de plusieurs de vos appareils électriques en veille, tout en réduisant votre facture d'électricité.
4 - Le four est un gros gourmand…
Avec 1000 kWh par an en moyenne, c'est l'appareil le plus énergivore de la maison, après le chauffage. Il y a cependant certaines nuances entre les fours. Leur consommation varie selon la manière dont ils sont équipés. La pyrolyse consomme beaucoup plus que la catalyse.