Et pourtant le territoire forestier est également source de valeurs d'usage liées aux besoins essentiels des hommes, c'est la base du discours écologique appliqué à la forêt. Les ressources halieutiques et forestières sont deux ressources dites renouvelables.
Pour qu'une pêcherie soit durable, il est important de veiller à ce que les stocks de poissons pêchés et l'écosystème dans lequel ils évoluent soient sains et résilients dans le temps. Ces efforts devront tenir compte de tous ceux qui dépendent du poisson comme aliment pour se nourrir et comme moyen de subsistance.
La production halieutique est l'exploitation des ressources vivantes aquatiques. Elle regroupe les différents modes d'exploitation et de gestion (pêche, aquaculture) des espèces vivantes (végétales ou animales) exercés dans tous les milieux aquatiques (mer et eau douce).
Ressource halieutique : qu'est-ce que c'est ? Ressources vivantes (animales et végétales) des milieux aquatiques marins ou dulcaquicoles ( eau douce) exploitées par l'homme (pêche, aquaculture).
La population mondiale augmentant, et les denrées issues des ressources halieutiques devenant de plus en plus accessibles au plus grand nombre (les prix baissant), la demande en produits aquatiques, et notamment en poisson, a considérablement augmenté depuis 1950 (les prises de pêche en haute mer représentaient 19 ...
L'enjeu majeur de l'activité halieutique est de participer à la sécurité alimentaire mondiale, tout en préservant le fragile équilibre entre les ressources et les besoins en protéines animales pour l'alimentation humaine.
soit par des règles d'accès aux eaux : autorisations de pêche spécifiques à certaines zones de pêche. soit par un encadrement de l'effort de pêche, à travers notamment une limitation de la présence des navires sur une zone. soit par un contingentement des captures, les quotas. C'est la modalité de gestion la plus ...
La surexploitation des ressources halieutiques est, dans un premier temps, un risque majeur de réduction des stocks d'espèces, visées ou non, et de destruction par effet indirect de l'écosystème marin.
Augmentation des élevages
En 2020, ce secteur a produit 87,5 millions de tonnes d'animaux aquatiques : 33,1 millions en mer – surtout des saumons – et 54,4 millions à terre – énormément de carpes. L'ensemble progresse de 6 % par rapport à 2018, auxquels s'ajoutent 36 millions de tonnes d'algues.
La surexploitation, en sciences de l'environnement et dans l'économie du développement durable, est le stade où un prélèvement de ressources naturelles, difficilement ou coûteusement renouvelables, dépasse le stade du renouvellement.
Pour maximaliser le rendement économique des ressources marines, il y a lieu de respecter les relations entre espèces et de promouvoir l'exploitation équilibrée non seulement des espèces halieutiques (poissons, crustacés, mollusques, mammifères marins) les plus valorisées et d'un plus grand intérêt commercial, mais ...
Les activités, comme la pêche durable, la production d'énergie renouvelable, l'écotourisme et les « transports maritimes verts », ont permis aux nations d'augmenter le taux d'emploi et d'améliorer l'assainissement tout en diminuant la pauvreté, la malnutrition et la pollution.
Exemples de ressources non renouvelables
Les plus utilisées comme sources d'énergies sont les énergies fossiles (pétrole, charbon, gaz naturel) et les éléments radioactifs qui produisent l'énergie nucléaire, ce qui fait d'elles des énergies non renouvelables.
Le charbon, le gaz, le pétrole ainsi que le nucléaire sont des énergies non renouvelables, aussi appelées énergies fossiles.
Une ressource renouvelable est une ressource naturelle dont le stock peut se reconstituer sur une période courte à l'échelle humaine de temps, en se renouvelant au moins aussi vite qu'elle est consommée.
Points clés. Le Chalutage de fond (traîner un filet sur le fond marin pour capturer des poissons et autres espèces aquatiques comme notamment des crevettes tropicales) constitue une importante source de revenu pour les pêcheurs et travailleurs du secteur des pêches dans le monde entier.
Selon la FAO, 58% des stocks de poissons sont exploités au maximum. Les causes de la surpêche sont multiples. La consommation de produits de la mer croît et nourrit un commerce mondial. Globalement, le nombre de chalutiers est deux fois et demi supérieur à ce qui serait supportable.
Les conséquences de la surpêche sont considérables : disparition de nombreuses espèces marins, bouleversement des écosystèmes et chaînes alimentaires, pertes d'emploi pour les petites structures de pêche…
Le rapport de la FAO indique également qu'aucune amélioration n'a été observée dans la situation des stocks halieutiques mondiaux. Au total, les pêches et l'aquaculture font vivre 540 millions de personnes, soit 8 pour cent de la population mondiale.
Placé tout en haut de la chaîne alimentaire, le thon rouge de l'Atlantique n'a pas de prédateur naturel dans l'océan, si ce n'est l'orque. C'est un “superprédateur” qui occupe une place fondamentale dans le réseau trophique de l'océan et contribue ainsi à la stabilité des écosystèmes.
L'eau qui diminue au fur et à mesure qu'on la consomme, l'air pur qui se raréfie de plus en plus ou encore un banc de poissons sont autant d'exemples de biens communs.
Les océans couvrent 70 % de la surface de la Terre, abritant une grande variété de processus géologiques responsables de la formation et de la concentration des ressources minérales. Parmi les ressources principalement extraites des milieux marins aujourd'hui, le sel, le potassium et le magnésium arrivent en tête.
Les États-Unis possèdent la plus grande ZEE du monde, avec une superficie de 11,3 millions de km², devant la France qui dispose de 10,2 millions de km², dont 97 % outre-mer.
Dans ce cadre le plus vaste domaine maritime est celui des États-Unis, suivi par la France avec plus de 11 millions de km2, de véritables coffres-forts. 150 États environ ont des débouchés maritimes alors que 45 n'en ont pas (ils doivent parfois négocier avec leurs voisins l'accès à la mer).