L'homme ne se définit pas par son essence, ni par un inconscient ni par des déterminismes ni par un destin ou une volonté divine, mais uniquement par son existence. Il est donc entièrement libre, puisqu'il est déterminé par ce qu'il fait et non ce qu'il est.
Par conséquent l'Homme n'est pas vraiment libre puisque c'est son Inconscient qui le contrôle, le fait désirer des objets du désir ou le pousse à faire des choix (qui peuvent même être rationnels mais imposés par l'Inconscient).
Epictète, qui était né esclave, formule, peut-être le premier, une théorie de la liberté : « ce qui dépend de nous est libre, ce qui ne dépend pas de notre volonté est asservi ». Autrement dit, nous sommes totalement libres de notre imagination, de nos idées, de nos rêves, même si nous sommes empêchés d'agir.
L'homme est libre quand il peut réaliser ses désirs (Epicure). Mais certaines tendances sont néfastes et nous luttons naturellement contre elles. La spontanéité ne peut donc consister à oébir à ses passions. – Au niveau de la conscience, la liberté se définit par la possibilité de choisir.
Locution nominale
Homme qui n'est pas soumis au servage ou à l'esclavage.
L'homme ne se définit pas par son essence, ni par un inconscient ni par des déterminismes ni par un destin ou une volonté divine, mais uniquement par son existence. Il est donc entièrement libre, puisqu'il est déterminé par ce qu'il fait et non ce qu'il est.
Pour Spinoza, l'homme n'est pas libre. Il est soumis à l'ordre nécessaire de la nature, qui est aussi celle de dieu. Son malheur vient de ce qu'il se croit libre alors qu'il ne l'est pas. Connaître l'ordre des choses est la vraie clé de la vie.
Qui a le pouvoir d'agir, de se déterminer à sa guise : Être libre de ses décisions. 5. Qui n'est soumis à aucune contrainte, à aucun contrôle, à aucune restriction : Avoir la libre disposition d'un bien.
Pour commencer, on peut définir la liberté comme la possibilité qu'a une personne de penser, de s'exprimer et d'agir selon ses valeurs, ses croyances, ses besoins et ses désirs. La liberté permet, par exemple, à une personne de faire des choix.
Faire son devoir, c'est accepter sa nature suprasensible d'être libre. Agir par devoir et agir librement/être libre sont une seule et même chose aux yeux de Kant car la liberté est autonomie, c'est-à-dire capacité à se prescrire à soi-même sa règle.
Souvent, le monde animal nous paraît beaucoup plus libre que le monde des Hommes car il y a une absence de contrainte sociale. L'animal fait ce qui lui plait, c'est à dire il suit ses instincts, il n'a pas de barrière morale, il a une liberté physique lié à son indépendance (déf. : ne dépendre de personne pour vivre).
Celle-ci est indépendante de toute cause extérieure. La volonté peut donner consentement à telle ou telle chose, quand bon lui semble. Elle « est tellement libre de sa nature qu'elle ne peut jamais être contrainte ».
La dépendance est un autre obstacle à la liberté intérieure. Il peut s'agir d'une dépendance à un objet, une substance, une relation, une habitude. Être dépendant, c'est ne plus pouvoir se passer de quelque chose, c'est perdre sa liberté.
(Général) État de non contrainte, pouvoir d'agir sans contraintes. (Général) Pouvoir d'agir sans contraintes étrangères ou extérieures. (Métaphysique) Pouvoir propre à l'homme d'être cause première de ses actes et de choisir entre bien et mal.
Notre liberté n'est qu'une illusion. Nous nous croyons libres parce que nous ignorons les causes qui nous déterminent. C'est le discours de Spinoza pour qui l'Homme n'est qu'un élément de la nature semblable aux autres, soumis aux mêmes lois.
C'est la liberté qui est considérée comme absolue : on ne dit rien du caractère de la conscience qui peut être, elle aussi, considérée comme absolue ou relative. De même, la liberté, pour certains, sera considérée comme relative.
Jean STAROBINSKI. L' invention de la liberté, 1700-1789. Genève, Editions d'art Albert Skira, 1964. - Persée.
Liberté d'opinion, liberté d'aller et venir, liberté syndicale… Le droit français comprend des "droits-libertés" consacrés par les textes. L'État peut les restreindre, notamment pour des raisons de sécurité.
adjectif. (opposé à esclave, serf, ou à captif, prisonnier) Qui n'est pas privé de sa liberté.
Indépendant, en parlant d'un peuple.
Être libre en relation est directement en lien avec la capacité qu'une personne à exister, à s'accepter et se responsabiliser de tout ce qu'elle est et tout ce qu'elle fait. Le tout sans blâmer et responsabiliser l'autre de ses propres malaises.
L'incitation à la discrimination, à la haine, à la violence ou à la ségrégation* à l'égard d'autrui, en public, intentionnellement et pour une raison précise.
La liberté sans règle ni devoir s'autodétruit nécessairement sauf à croire, illusoirement que un individu (moi) peut être le maître absolu de tout les autres, c'est à dire d'être suffisamment fort pour être définitivement le plus fort, ce qui est rigoureusement impossible.
Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.