NON, l'hélium est un gaz qui ne s'enflamme pas, qui ne brûle pas et qui n'explose pas. L'hélium est un gaz inerte, Petit complément d'information physique : les gaz rares sont aussi appelés aussi nobles.
L'hélium, un gaz inerte non inflammable est actuellement gaspillé pour gonfler les ballons pour enfants et, qui ne s'en est pas amusé, pour donner une voix aiguë à celui qui le respire.
Il se peut que le ballon éclate en se dilatant ! Les gaz présents dans l'air (azote et oxygène) sont composés de molécules. Ces molécules sont en mouvement constant et la vitesse à laquelle elles se déplacent dépend de la température de la quantité de gaz, parmi d'autres facteurs.
Inhalation d'hélium : les risques
Une inhalation excessive d'hélium, même pur, peut également comporter des risques. Le sang n'est alors plus suffisamment alimenté en dioxygène et cela peut provoquer des malaises, des évanouissements voire une asphyxie.
Incolore, inodore, insipide et non toxique, chim iquem ent inerte, l'hélium est ininflammable donc n'entretient pas la combustion. Dans des conditions standards de température et de pression, l'hélium se comporte pratiquement comme un gaz idéal. Virtuellement, l'hélium est monoatomique dans toutes les conditions.
Ce gaz étant plus léger (six fois moins dense, ce qui permet notamment aux ballons de s'envoler), le son s'y déplace plus rapidement. Il remonte plus vite vers le larynx et la bouche, en étant moins amortis dans son parcours. Résultat, la fréquence de la voix paraît plus aiguë.
Utilisation de l'hélium
L'hélium a été le premier gaz utilisé pour remplir les ballons et les dirigeables et il est toujours employé pour les ballons météo notamment. Son application principale reste le travail en atmosphère inerte.
Le protoxyde d'azote (N2O) fait partie des gaz qui vous don- neraient une voix plus grave. Ce gaz, connu sous le nom de « gaz hilarant », est utilisé lors de certaines anesthésies pour endormir le pa- tient.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de « proto » et « gaz hilarant » par le grand public, est un gaz utilisé couramment dans les produits culinaires pour sa fonction de propulseur (dans les siphons de chantilly) et pour ses qualités anesthésiantes dans le milieu hospitalier.
Ces ballons de baudruche qui circulent dans les soirées étudiantes sont gonflés avec du protoxyde d'azote. Ce gaz est utilisé en cuisine dans les siphons à chantilly, à l'hôpital comme anesthésiant, dans des aérosols d'air sec ou des bonbonnes pour l'industrie. Mais les effets sur la santé ne sont pas sans danger.
Dans l'atmosphère, la poussée d'Archimède est estimée à 1,2kg par mètre cube. Il faut cependant retrancher à ce poids, le poids de l'hélium soit 0,167 kg/m³. il reste donc 1,04kg/m³. En arrondissant, on arrive à la conclusion qu'il faut 1m³ d'hélium pour soulever 1kg.
Compte tenu du fait que l'hélium possède des molécules qui traversent la paroi du ballon, celui-ci peut donc, pendant le vol, perde en volume. Plus cela se fait, plus le ballon de baudruche se remplit d'air et deviendra donc plus lourd. Au fur et à mesure, il perd donc de sa superbe en se flétrissant.
En effet ce dernier se dilate sous l'effet de la chaleur et au contraire se contracte quand la température baisse. Il est donc important d'éviter la climatisation pour qu'il ne se dégonfle pas et de ne pas placer votre ballon près d'une source de chaleur importante si vous ne voulez pas le voir exploser.
L'hydrogène constitue avec l'air des mélanges explosibles. L'hélium est un gaz incolore, inodore, de goût neutre et non toxique. Etant le deuxième gaz le plus léger, il est bien plus léger que l'air (densité relative = 0.18).
Suffocation. Peau: si contact avec le liquide: gelure. Yeux: si contact avec le liquide: gelure. Risque d'inhalation: ce gaz peut causer le suffocation en abaissant la teneur en oxygène de l'air dans des secteurs confinés.
Du côté de la consommation, les États-Unis sont de nos jours de loin les plus gros utilisateurs d'hélium ; en 2010, ce pays a consommé environ 80 millions de mètres cubes d'hélium, sur une distribution mondiale de 180 millions de mètres cubes.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant ou “proto”, est un gaz d'usage courant stocké notamment dans des cartouches pour siphon à chantilly ou des aérosols. Utilisé de façon détournée et abusive, il peut avoir des conséquences neurologiques très lourdes sur les consommateurs.
En cas de consommations répétées, des troubles engageant le pronostic vital peuvent survenir : un risque d'asphyxie, des complications cardiovasculaires avec notamment des troubles du rythme cardiaque, des troubles psychiques (addiction) et des atteintes neurologiques pouvant être sévères.
Le « gaz hilarant » ou « proto », c'est du protoxyde d'azote (molécule : N2O). Son usage « alimentaire », le gaz est vendu, sous la forme de cartouches (pour les siphons à chantilly par exemple) ou de bonbonnes dans les commerces de proximité (épiceries, supermarchés) et sur internet.
Un ballon se gonfle soit avec de l'air soit avec de l'hélium. Ce gaz dit inerte est extrait de la terre et offre grâce à sa composition d'un poids 7 fois plus léger que l'air le pouvoir de flotter. Inoffensif, le gaz doit être malgré tout utilisé avec attention.
Lorsque certains plaisantins inhalent de l'hélium, contenu dans un ballon gonflable par exemple, le timbre de leur voix se modifie pendant un court instant. Un phénomène qui s'explique par la densité de ce gaz, plus faible que l'air.
Ainsi, l'hélium utilisé dans le monde provient essentiellement des gisements de gaz naturel découverts dans le Texas, l'Oklahoma, le Kansas et sur le flanc est des Montagnes Rocheuses.
Ce sont tes cordes vocales, des replis de tissus situés dans ton larynx, qui, en vibrant, modifient le débit et la pression de l'air environnant et produit un son. Cette onde sonore produite est ensuite modulée par une caisse de raisonnance: ton larynx, ta gorge et ta bouche.
L'hélium est principalement récupéré à partir de gisements de gaz naturel ou de dioxyde de carbone pour lesquels trois situations peuvent se présenter : L'hélium est récupéré comme sous-produit lors de l'extraction du gaz naturel et du traitement de celui-ci.
L'hélium, le néon, l'argon, le krypton, le xénon et le radon forment la famille des gaz rares, groupe zéro de la classification périodique des éléments chimiques.