On peut noter les mêmes effets secondaires que pour la pilule contraceptive. Parmi les effets indésirables de l'implant contraceptif, l'apparition d'une prise de poids est marquée chez certaines femmes . Elle est liée à une modification de l'équilibre hormonal par la présence constante et permanente de la progestérone.
Toutefois, il est vrai que "comme pour toute contraception hormonale (patch contraceptif, anneau vaginale, pilule...), l'implant peut engendrer certains effets secondaires comme la prise de poids chez certaines femmes en surpoids.
Les femmes en surpoids sont particulièrement à risque de prendre du poids avec l'implant. Si vous pesez plus de 80 kilos, il est conseillé de changer l'implant plus tôt (au bout de 24 à 30 mois, et non 3 ans).
L'implant est contre-indiqué en cas de phlébite[Définition] , d' embolie pulmonaire[Définition] , de tumeur sensible aux hormones sexuelles, de saignements vaginaux inexpliqués et de maladie grave du foie.
D'autres gardent entre 2 et 5 kilos. D'autres, beaucoup plus. De même, beaucoup d'utilisatrices de pilules ou d'implant ne prennent pas de poids : on estime que la prise de poids concerne 1 femme sur 5. Autrement dit : 80 % ne prennent pas de poids avec leur contraception, ce qui est tout de même beaucoup.
Elle est liée à une modification de l'équilibre hormonal par la présence constante et permanente de la progestérone. Il peut y avoir une augmentation de l'appétit , ou une diminution des exercices physiques , augmentant alors le risque d'une prise de poids.
L'implant protège la patiente de la survenue d'une éventuelle grossesse pendant une période de trois ans. Parmi les effets indésirables mentionnés sur la notice, on trouve notamment : humeur dépressive, instabilité émotionnelle, nervosité, nausées, fatigue... Rapportés pour 1 à 10 % des patientes.
Si l'implant est en place ce que vous pouvez vérifier par palpation entre 2 doigts, et si le test de grossesse est négatif, vous n'êtes sûrement pas enceinte.
A noter : certains médicaments peuvent rendre l'implant moins efficace comme les médicaments utilisés pour traiter l'épilepsie, la tuberculose, certaines maladies infectieuses et aussi les médicaments à base d'une plante appelée millepertuis, utilisée pour traiter les états dépressifs.
«Si l'implant n'est pas inséré conformément aux instructions et le jour prescrit, une grossesse non désirée peut survenir», concède le laboratoire, Schering-Plough SAS, qui rappelle au passage «qu'aucune contraception n'est sûre à 100%». En France, 142.000 Implanon ont été posés en 2009.
Le progestatif a pour effet non seulement « d'endormir » l'ovulation, mais aussi d'amincir l'endomètre (la paroi intérieure de l'utérus) et de le rendre fragile. De ce fait, l'endomètre saigne peu, mais fréquemment, ce qui peut être gênant et parfois très fatigant si les saignements sont importants.
Certaines femmes ont des modifications du cycle avec un implant : - Entre 20 et 30 % des utilisatrices d'implant n'ont pas de règles pendant tout ou partie des trois années d'utilisation. C'est le signe que l'implant a supprimé totalement l'ovulation, comme chez une femme qui prend sa pilule sans interruption.
Les contraceptifs hormonaux, comme la pilule ou l'implant, sont connus pour augmenter très légèrement le risque de cancer du sein hormonodépendant.
Rarement, ils peuvent conduire à des problèmes plus graves. Si l'implant se casse ou se plie dans votre bras, son fonctionnement ne devrait pas être affecté. Une cassure ou une courbure peuvent survenir en raison de pressions extérieures. L'implant cassé peut se déplacer du site d'insertion.
les contraceptions progestatives (stérilet hormonal, implant, pilules microdosées) ont souvent un effet booster d'acné : en imitant la progestérone, elles suractivent les glandes sébacées. les oestroprogestatives (pilules combinées, anneau vaginal, patchs) contrebalancent le progestatif par des œstrogènes de synthèse.
WASHINGTON, 11 juin 2018 (APMnews) - Les femmes utilisant l'implant contraceptif libérant l'étonogestrel (Implanon*/Nexplanon*, Merck & Co) présentent une prise de poids à 3 ans légèrement plus importante que celles utilisant un stérilet au cuivre, selon une étude internationale publiée dans Contraception.
Il faut noter que l'hormone HCG est sécrétée au bout du 8e jour après la fécondation, sur un très faible taux. Cette hormone HCG ne peut pas être détectée avant 3 semaines. Le test urinaire peut donc être réalisé dès la 3ème semaine d'aménorrhée (qui correspond à la première semaine de grossesse).
Non, pas du tout ! Le test de grossesse détecte une hormone fabriquée pour prévenir la femme que l'embryon est implanté, la bêta HCG, et cela n'est absolument pas changé par l'implant contraceptif.
50 à 60% des femmes qui ont un implant ont des règles régulières ou moins fréquentes que pendant leur cycle naturel. La période menstruelle peut être très courte ou parfois bien plus longue et durer une dizaine de jours.
L'implant contraceptif
Taux d'efficacité : plus de 99 %. Pour qui ? Pour les femmes qui ont tendance à oublier leur pilule. Pour celles qui ont des règles très abondantes : l'implant agit comme un stérilet hormonal et tarit le flux.
Il peut être utilisé à n'importe quel âge, de l'adolescence à la quarantaine passée et ne nécessite aucune manipulation et aucune précaution. Les femmes utilisant cette contraception doivent s'attendre à des saignements (importants ou très légers) de façon imprévisible ou alors à une absence totale de règles !
En résumé, ces deux solutions sont tous deux très efficaces. En effet, l'implant et le stérilet sont plus efficaces que la pilule ou le préservatif, et sont considérés comme presque aussi efficaces que la stérilisation tubaire (aussi appelée "ligature des trompes").
Quand l'implant est retiré, le retour à un cycle normal est similaire à celui qui suit un accouchement : de l'ordre de 4 à 8 semaines avant que des règles normales réapparaissent (si l'utilisatrice n'en avait pas pendant l'utilisation de l'implant).