Actuellement, en 2021, nous sommes 7,8 milliards d'êtres humains (6 milliards de plus qu'il y a un siècle). Les naissances sont trois fois plus nombreuses que les décès. Nous vivons de plus en plus longtemps, et la population augmente d'année en année.
Surpopulation ou extinction : en 2030, nous serons 8,5 milliards sur Terre | National Geographic.
Une population mondiale qui, certes, tend à se stabiliser, mais qui exerce néanmoins une pression globale forte sur la planète. Ainsi, depuis 1987, l'humanité consomme plus de ressources par an que la terre est capable d'en produire pour la même période.
Avec une population estimée à 1,5 milliard d'habitants, la Chine est le pays le plus peuplé du globe.
Présentation. Au 1er janvier 2020, la France compte 67,064 millions d'habitants : 64,898 millions résident en métropole et 2,166 millions dans les cinq départements d'outre-mer. Au cours de l'année 2019, la population a augmenté de 187 000 personnes, soit une hausse de 0,3 %.
L'Europe réduite de moitié
De même, en prolongeant la tendance actuelle, la population indienne grimperait à 1,54 milliard d'habitants en 2050 tandis que la Chine verrait la sienne reculer à 1,17 milliard. La France compterait alors 62,3 millions d'habitants et l'Allemagne 70,3 millions.
La surpopulation peut être atténuée par le contrôle des naissances; certaines nations, comme la République populaire de Chine, ont recours à des mesures strictes pour réduire les taux de natalité.
Un taux de fécondité en net recul, dans un contexte actuel de population plutôt vieillissante. Alors que les Nations unies prévoyaient un pic vers les années 2080, James Pomeroy estime ainsi qu'il pourrait se produire entre 2040 et 2045, avant que le nombre d'humains ne commence à réellement baisser.
Les théories sur la surpopulation se sont généralisées dans les années 60, avec à la clé des discours tels que : “la croissance démographique est hors de contrôle, notre planète ne peut plus y faire face, la surpopulation est la cause de l'épuisement des ressources et du chaos climatique, nous devons réduire la ...
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Selon un rapport publié par l'ONU lundi, c'est le seuil que la population mondiale devrait atteindre en 2050. Sous l'effet de l'allongement de l'espérance de vie et d'une fécondité toujours importante dans plusieurs régions du monde, on passerait ainsi de 7,7 milliards à 9,7 milliards d'individus en 30 ans.
Au 15 novembre 2022, notre planète comptera 8 milliards d'êtres humains. C'est la projection dévoilée lundi par l'ONU, à travers son département des affaires économiques et sociales. En seulement 250 ans, la population mondiale a été multipliée par sept.
L'Inde devrait ravir le titre de pays le plus peuplé de la planète à la Chine d'ici 2025, selon des projections du Bureau du recensement américain. Selon ces prévisions publiées cette semaine, en 2025 l'Inde comptera 1,396 milliard d'habitants, et la Chine 1,394 milliard.
Et où la population n'atteindrait alors que 8,9 milliards dans 30 ans. “Ces projections sont solides pour ces 30 prochaines années, puisque la majorité des hommes et femmes qui vivront en 2050 sont déjà nés. Mais plus on se projette loin, plus c'est incertain. D'ici à 80 ans, beaucoup de choses peuvent se passer.
Alors que les Nations Unies prévoient que nous serons plus de huit milliards d'habitants sur Terre au 15 novembre 2022, pour atteindre, en 2100, 10,4 milliards d'individus sur la planète, ces projections sont remises en question.
La population de notre planète a été multipliée par 47 en 2500 ans en passant de 150 millions d'habitants à 7 milliards au début du XXIe siècle. En l'an 0 la population mondiale était estimée à 170 millions d'habitants.
Il faut alors s'imaginer la Terre comme un océan de laves refroidissant petit à petit. « Il y a 4 milliards d'années, par exemple, la température de l'eau avoisinait encore les 80°, selon nos estimations, et la planète subissait un bombardement météorique intense », décrit Frédéric Foucher.
Selon un bilan de l'Insee publié mercredi, en métropole, on trouve la Corse sur le podium, puis les Pays de la Loire et l'Occitanie. Entre 2013 et 2019 selon les données de l'Insee, ces trois régions en effet respectivement enregistrées en moyenne chaque année une augmentation de 1%, 0,7% et 0,7%.
La population a atteint un sommet historique de 148 689 000 en 1991, juste avant la dislocation de l'URSS ; il s'ensuit un déclin démographique prononcé avec une diminution de sa population d'environ 0,5 % par an, par la combinaison d'une baisse de la natalité et d'une augmentation de la mortalité.
Le 11 juillet 1987, la population mondiale a franchi le cap des 5 milliards d'individus.
En effet, rien ne va changer si un enfant de moins nait sur la planète : on produira tout autant de biens de consommation, on consommera tout autant de ressources et d'énergie. La différence que fait votre décision est donc marginale, insignifiante. Faire un enfant de moins, ça ne change rien globalement.
Selon les dernières prévisions de l'ONU, la population humaine totale devrait atteindre 9 milliards d'individus en 2050 et près de 11 milliards d'ici 2100.