Aujourd'hui, Pearl Harbor demeure une base militaire active, siège de la flotte du Pacifique. C'est aussi un lieu historique qui abrite cinq sites uniques : l'USS Arizona Memorial, le Battleship Missouri Memorial, le USS Bowfin Submarine Museum & Park, l'USS Oklahoma Memorial et le Pacific Aviation Museum.
Le raid de Doolittle est le premier bombardement effectué sur le territoire du Japon par les forces armées des États-Unis durant la guerre du Pacifique. Il est effectué par 16 B-25 Mitchell de l'USAAF décollant du porte-avions USS Hornet, le 18 avril 1942 .
L'objectif de l'attaque était d'anéantir la flotte américaine stationnée à Pearl Harbor afin de conquérir sans difficulté l'Asie du Sud-Est et les îles de l'océan Pacifique. Le but était de contraindre les forces américaines à quitter Hawaï pour se replier sur les bases de Californie.
5 - Pearl Harbor, une victoire japonaise | Cairn.info.
Le 7 décembre 1941, le Japon attaque la base militaire navale américaine de Pearl Harbor. Il y a 80 ans, l'armée japonaise attaquait la base militaire navale américaine de Pearl Harbor. L'agression nippone propulse alors les États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale.
Devant les lourdes pénuries de pétrole et autres matières premières, et motivé par la volonté de remplacer les États-Unis comme puissance dominante dans le Pacifique, le Japon décida alors d'attaquer les forces américaines et britanniques en Asie et de s'emparer des ressources de la région.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
La réponse est simple: l'Union Soviétique. Les Japonais étaient dans une situation stratégique relativement difficile. Ils approchaient de la fin d'une guerre qu'ils perdaient.
L'histoire militaire des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale débute lorsque les États-Unis entrent dans la Seconde Guerre mondiale en déclarant la guerre contre les puissances de l'Axe à la suite de l'attaque japonaise du 7 décembre 1941 contre la base navale américaine de Pearl Harbor.
La vengeance de l'empire du Japon
Le 7 décembre 1941, à la grande surprise des soldats américains de la base qui n'ont reçu aucune alerte, les japonais passent à l'attaque. Stationnés aux large des côtes hawaïennes, leurs avions torpillent les navires américains basés dans la rade de Pearl Harbor.
Hirohito va alors symboliser le Japon renaissant: son pays devient une grande puissance économique. À sa mort le 7 janvier 1989, son fils Akihito lui succède. L'empereur est mort.
Danny se fait tuer en s'interposant entre un soldat japonais et Rafe, prenant ainsi les deux balles qui étaient destinées à son ami. Avant que Danny ne meure, Rafe lui annonce qu'Evelyn est enceinte et que c'est lui le père. Les pilotes sont alors secourus par des soldats chinois.
On estime à près de 60 millions le nombre des morts du second conflit mondial, soit quatre à cinq fois plus que la guerre de 1914-1918. Parmi ces victimes, la moitié environ sont des civils. L'URSS a perdu 10 % de sa population : 8 600 000 soldats mais aussi 12 millions de civils.
Son intention explicite était de sauver des vies américaines, de hâter la fin de la guerre en infligeant la destruction et en répandant la peur d'une plus grande destruction suffisamment puissante pour inciter le Japon à se rendre.
L'entrée en guerre des États-Unis
Le 6 avril 1917, par 373 voix contre 50, le Congrès américain adopte l'entrée en guerre du pays. Woodrow Wilson proclame alors : "L'Amérique doit donner son sang pour les principes qui l'ont fait naître...".
La guerre se termine avec la capitulation sans conditions du Japon le 2 septembre 1945 .
Le 26 août 1944, acclamé par les Parisiens, le général de Gaulle descend les Champs-Élysées avec, derrière lui, ses fidèles de la première heure. Des combattants appartenant à la Résistance française luttent dans les rues de Paris, en 1944, pour libérer la ville après quatre années d'occupation allemande.
La libération de la France, couramment appelée la Libération, est la période qui voit, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la reprise progressive par les forces alliées des régions de la France métropolitaine occupées depuis 1940 par les armées du Troisième Reich et de l'Italie fasciste.
Du rôle des États-Unis pendant la seconde guerre mondiale on retient souvent le débarquement allié de Normandie, qui permet de consacrer le pays comme « libérateur de l'Europe ». On oublie ainsi qu'entre 1939 et 1941 Washington préférait la neutralité et l'isolationnisme au « combat pour la liberté ».
« Pourquoi le Japon n'a-t-il jamais mis à exécution son plan longtemps mûri d'attaquer l'URSS ? » Le spécialiste en questions militaires Liu Yanhua estime que cela est dû au fait que le Japon ne pouvait compter sur l'effet de surprise et craignait par conséquent de ne pas pouvoir venir à bout de son adversaire.
Était-il donc nécessaire de lancer la bombe sur Hiroshima et sur Nagasaki ? Les conseillers de Truman avancèrent deux raisons. D'abord, il fallait convaincre le Japon de capituler sans conditions, d'autre part, la bombe mettrait fin à la guerre et permettrait d'épargner des vies humaines.
La cité fut choisie comme cible car elle n'avait encore subi aucun raid aérien. Selon le musée national de la ville d'Hiroshima, la ville fut volontairement épargnée par les Américains lors des bombardements conventionnels pour éviter tout dommage préalable, afin de mieux évaluer les effets de la bombe.
Le 27 août 1896, entre 9h02 et 9h40, se déroule sur l'île de Zanzibar la guerre la plus courte de l'Histoire. Le conflit oppose le Royaume-Uni de la reine Victoria (1819-1901) à l'éphémère sultan zanzibarite Khalid ibn Bargach (1874-1927)…
La guerre de Trois cent trente-cinq Ans (anglais : Three Hundred and Thirty Five Years' War, néerlandais : Driehonderdvijfendertigjarige Oorlog) était une guerre entre les Provinces-Unies (devenues les Pays-Bas) et les Sorlingues (situées au sud-ouest de la Cornouailles).
La guerre de 1914-1918 fut mondiale, totale et industrielle. Ses contemporains l'ont appelée La « Grande Guerre » avec deux « g » majuscules. Une évidence.