L'eau est présente dans tout le cosmos, sous forme de glace ou de vapeur. Elle est même relativement courante à l'état de vapeur. Mais d'eau liquide, point, en dehors du système solaire où notre chère planète est la seule à jouir, au grand jour, du charme de l'eau liquide.
C'est beaucoup plus simple : les molécules d'eau sont attirées par la gravité terrestre, comme tout le reste. Le seul moyen par lequel quelque chose pourrait s'échapper dans l'espace depuis la Terre, c'est d'avoir une vitesse supérieure à la vitesse de libération.
Éloignée de toute source de chaleur stellaire, la seule température baignant l'espace est celle du fond diffus cosmologique, soit -270.45 °C. Cette température étant bien inférieure au point de congélation de l'eau, cette dernière devrait donc logiquement directement geler dans un tel environnement.
La molécule d'eau est constituée de 2 atomes – H et O – qui sont eux-mêmes très abondants dans l'Univers. C'est donc sans grande surprise que l'on trouve la molécule d'eau présente partout dans l'Univers, depuis les galaxies éloignées jusqu'aux planètes du système solaire.
L'eau liquide et la vie
Rappelons que de l'eau liquide existe très vraisemblablement dans le sous-sol profond de Mars, et dans les océans sous-glaciaires d'Europe, de Ganymède, de Callisto, de Titan, d'Encelade, de Triton et de Pluton. De l'eau liquide a aussi existé à la surface de Mars dans un passé lointain.
L'eau ne peut pas s'envoler de la planète ; la molécule d'eau est trop lourde pour échapper à la gravité de la planète.
La Terre est une planète rocheuse du système solaire. Les conditions physico-chimiques qui y règnent permettent l'existence d'eau liquide et d'une atmosphère compatible avec la vie.
En 2050, plus de cinq milliards de personnes auront du mal à accéder à de l'eau. Plus de cinq milliards de personnes pourraient avoir des difficultés à accéder à de l'eau en 2050, a mis en garde mardi l'Organisation météorologique mondiale.
En effet, la faible valeur de la pression de son atmosphère (0,66 millibars), qui peut varier de 30 % au cours de l'année, ne permet pas à l'eau liquide de s'y maintenir : tant que la pression partielle en H2O est inférieure sur une planète à 6,1 millibars, l'eau ne peut exister que sous forme de vapeur ou de glace.
La présence d'eau liquide sur Terre est le résultat d'une pression atmosphérique suffisante à sa surface et du fait que l'orbite terrestre est située la zone d'habitabilité du Soleil, celle-ci étant quasi circulaire et stable. Cependant, son origine demeure incertaine.
Dans l'Univers la température atteint -272°C
Même dans l'espace, loin de toute étoile, on ne peut pas descendre aussi bas. Le record de froid dans l' Univers est de -272 °C, au sein de la nébuleuse du Boomerang, créée par une vieille étoile en train de mourir à 5 000 années-lumière de nous.
Dans l'espace, il n'y a pas d'air. Les échanges de chaleur se font uniquement par échange de rayonnement, et pas par rayonnement et convection et conduction comme sur Terre.
L'univers est baigné par le rayonnement diffus cosmologique, dont la température est de 2,7 kelvins. Dans un endroit loin de toute étoile et vide de matière, un objet aurait donc, à l'équilibre une température de 2,7 kelvins (environ -270 °C).
Les astronautes utilisent une débarbouillette et une solution nettoyante sans rinçage pour se laver le corps ou les mains. Chris Hadfield montre comment les astronautes se lavent les mains en apesanteur à bord de la SSI .
Dans l'espace, les cheveux et les ongles poussent normalement (1 centimètre par mois pour les cheveux et 3 millimètres par mois pour les ongles des mains). Les astronautes s'entraident pour se couper les cheveux.
La première, la plus ancienne, avance que l'eau proviendrait du dégazage du manteau de la Terre pendant l'Hadéen, il y a plus de 4 milliards d'années. Les gaz volcaniques, riches en vapeur d'eau, se seraient alors refroidis et auraient formé les premiers nuages.
Il y a de l'eau sur la Lune. Ils sont peu nombreux ceux qui en doutent encore aujourd'hui tant les observations orbitales et les analyses d'échantillons semblent en apporter la preuve. Fin 2020, la Nasa a même confirmé la présence de molécules d'eau (H20) à la surface de notre satellite.
L'action du soleil permet l'évaporation de l'eau de mer et la transpiration des végétaux. Cette vapeur d'eau monte dans l'atmosphère, où il fait plus froid. La vapeur se retransforme en fines gouttelettes.
Pour y parvenir, l'astromobile a fait fonctionner un petit module cubique de la taille d'un grille-pain, baptisé « Moxie ». Celui-ci aspire l'air de l'atmosphère martien, composé à 96 % de dioxyde de carbone (CO2), le comprime puis le chauffe à une température de 800 °C pour casser les molécules qui le compose.
Ces réservoirs sont alimentés par la pluie, et sont vidés par l'évaporation ou par la consommation humaine. Si les humains consomment trop d'eau, ces réservoirs peuvent se tarir, donc l'eau peut y disparaître. Avec le changement climatique, les pluies risquent d'augmenter ou de diminuer selon les régions.
Le Brésil. Ce pays possède le plus grand volume de ressources renouvelables en eau douce, totalisant environ 8 647 Km3 par an. L'eau douce du Brésil représente environ 12 % des ressources mondiales en eau douce. La région amazonienne du Brésil contient plus de 70% de l'eau douce totale de ce grand pays.
Ainsi, on ne sait pas encore avec certitude où sont apparues les premières formes de vie. Beaucoup de scientifiques croient que la vie a émergé dans les sources hydrothermales au fond des océans, alors que d'autres pensent que les premiers organismes ont évolué dans de petites mares chaudes avoisinant des volcans.
Tout s'est fait petit à petit. Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum !
Une chose sûre dans ce domaine concerne la couche d'ozone : elle absorbe les ultraviolets, très énergétiques et très nocifs. En son absence, toutes les formes de vie seraient brûlées vives à part certaines bactéries primitives.