On peut dire "Je me suis dit" et "Je me suis dite", "Gisèle s'est dit" et "Gisèle s'est dite", mais pas dans les mêmes cas, et c'est sans doute pourquoi elle ne sait plus sur quel pied danser. Si vous êtes un homme, pas de souci, vous dites "Je me suis dit" dans tous les cas. Mais, au féminin, ça se complique.
Pourquoi n'écrit-on pas « je me suis dis » ? Parce qu'il s'agit du verbe pronominal « se dire », conjugué à la 1e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe « (se) dire » est « dit, dite ».
« Je me suis dit » est la forme correcte de la conjugaison du verbe pronominal « se dire » à la 1re personne du singulier au passé composé de l'indicatif.
Le pronom personnel me est un COI. Ainsi, on ne l'accorde pas et on écrit, même si l'on est une femme, «Je me suis demandé» et non pas «je me suis demandée». De la même manière, on écrira «Elles se sont téléphoné» et non pas «Elles se sont téléphonées» car on sous-entend «Elles ont téléphoné à qui? À elles».
On dira donc : je me suis faite belle (et non je me suis « fait » belle). Cependant, cette règle est mal respectée, par beaucoup d'écrivains et désormais, par l'usage, ainsi même Grevisse renonce à l'imposer.
« Rendu », participe passé de « rendre », est invariable dans l'expression « se rendre compte ». Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Je me suis rendu compte trop tard que j'avais tort.
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
La règle avec l'utilisation de l'expression « j'ai été » est très simple. Dans le langage familier, on utilisera le passé composé du verbe « être ». On écrira « j'ai été » lorsqu'elle exprime une situation statique ou un état.
La locution est de ce fait toujours invariable. Pour être correct il faut donc écrire: «Elle s'est rendu compte qu'elle avait tort» et non «Elle s'est rendue compte qu'elle avait tort».
S'il y a une notion de mouvement, dites plutôt « je suis allé » que « j'ai été ». L'emploi de « être » pour « aller » lorsqu'on le fait suivre d'un verbe à l'infinitif ou d'un complément de lieu relève du langage familier. Ne dites donc pas : J'ai été au cinéma voir le dernier Spielberg.
Les verbes pronominaux permettent d'indiquer que le sujet fait l'action pour lui-même. On les reconnaît par les pronoms réfléchis me, te, se, nous, vous et à nouveau se devant le verbe. Ces pronoms réfléchis sont toujours de la même personne que le sujet.
Le verbe en -er ont un participe passé en -és ou -ées au passé composé. Avec l'auxiliaire "être", le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le sujet. Ex : Elle est tombée. Ils sont tombés.
« Je ». On écrit donc « je ne peux plus », et non « je ne peut plus ».
Les verbes pronominaux se conjuguant avec l'auxiliaire « être », leur participe passé s'accorde le plus souvent avec le sujet : Elle s'est évanouie. Ils se sont enfuis.
La réponse simple
On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit. Exemple : J'ai dit bonjour à tout le monde. Le meilleur de votre expression écrite.
Pourquoi n'écrit-on pas « elle m'a demandée » ? Parce que le pronom m'est complément d'objet indirect (COI) du verbe demander, conjugué au passé composé. Le participe passé est donc invariable. La formule « elle m'a demandé » équivaut à dire : elle a demandé à moi.
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue.
Les deux mots s'accordent : comptes et rendus.
On écrit donc « des comptes (avec un S) rendus (avec S et sans trait d'union !) ».
Formule interrogative moins familière et plus polie que "ça va ?". Leur sens est pourtant le même puisqu'on s'enquiert de la santé physique ou morale d'une personne. On s'attend à la réponse "Bien" ou "Mal". Exemple : Comment vas-tu ce matin ?
2. En parlant de quelqu'un, posséder quelque chose, en disposer, subir, atteindre, obtenir quelque chose, éprouver tel sentiment, présenter telle caractéristique : Avoir beaucoup d'argent. Avoir une profession intéressante. J'ai de la sympathie pour lui.
adv. Adverbe qui marque l'opposition entre deux choses liées ou entre deux aspects d'une même chose. Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
si ça te dit — Wiktionnaire.
Dis-le-moi ou dis-moi-le? se demande une lectrice, Marie-France. Il faut employer «dis-le-moi» (dans l'ordre: verbe, complément d'objet direct, complément d'objet indirect) en n'omettant pas les traits d'union entre chaque mot. En effet, on met deux traits d'union quand l'impératif précède deux pronoms.
Réponse : On l'écrit "Dis-moi".