Si tu veux, nous finirons ce travail ensemble. Si tu voulais, nous finirions ce travail ensemble.
La conjonction « si » introduit généralement une subordonnée circonstancielle de condition qui est complément de phrase. Elle est invariable et unit seulement des phrases. Emploi : La conjonction « si » exprime une condition, une supposition, une hypothèse probable, éventuelle, ou encore contraire à la réalité.
Dans la phrase suivante, l'action introduite par alors que est déjà commencée quand s'amorce celle du verbe principal : Ils sont arrivés alors que la nuit commençait à tomber.
Dans la première partie de la phrase, "si" est suivi d'un verbe conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Dans ce cas, le verbe de la seconde partie de la phrase est conjugué au conditionnel. Et à la première personne du singulier, la terminaison est -ais, d'où "je ferais", que l'on prononce d'ailleurs [ferè].
Si : conjonction de subordination, introduit une proposition subordonnée de condition (ou d'hypothèse). Si est toujours suivi de l'indicatif. 1) Quand l'hypothèse est considérée comme réalisable, on emploie : si + présent de l'indicatif dans la subordonnée.
À titre d'exemple, si, outre qu'il exprime une condition, peut aussi signifier chaque fois que,à l'instar de lorsque et quand, lorsqu'il y a une idée de répétition indéfinie. De même, le HANSE précise que lorsque peut avoir un sens conditionnel, celui de dans le cas où.
Quel(s) avec ou sans « s » à la fin est un déterminant interrogatif ou exclamatif masculin, il s'accorde donc en genre et en nombre avec le nom qu'il accompagne. Exemple : On écrit : « Quel examen passes tu aujourd'hui ? ». On constate qu'il s'agit d'une phrase interrogative.
1. Marque l'exception ; hormis, excepté : J'ai toute la collection sauf deux numéros. 2. Sous réserve de ; excepté le cas de : Sauf erreur.
Il faut écrire : Cette promotion, elle ne s'y attendait pas. On peut dire, en remplaçant « si » par se » : « Elle ne s'attendait pas à cette promotion. » C'est donc qu'il faut écrire « s'y », et non « si ».
Si est suivi d'un verbe à l'imparfait pour exprimer la(les) condition(s) (ou probabilités) sans laquelle (lesquelles) un événement ou une action ne pourrait se réaliser, puis d'un verbe au conditonnel présent pour lequel les conditions énumérées précédemment sont nécessaires pour sa réalisation concrète.
Ellipse de 'si c'est possible'. S'emploie pour suggérer l'accomplissement futur et éventuel d'un fait ou d'une action, dans le cas où aucun élément contraire ne viendrait perturber son bon déroulement. Exemple : Pourriez-vous, si possible, m'indiquer mon chemin ?
2° En principe, on emploie oui pour répondre à une question affirmative et si après une question négative.
Si est une conjonction de subordination qui introduit deux types de subordonnées.
Difficultés de sauf
Le féminin de l'adjectif est "sauve".
Sert à questionner sur le moment d'une action, d'un événement. quand conj. Exprime la simultanéité, la correspondance temporelle ; lorsque.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Une phrase commence toujours par une majuscule et finit toujours par un point (que ce soit un point simple, un point d'exclamation ou un point d'interrogation). La phrase est composée d'un ensemble de mots placés dans un ordre logique afin d'avoir un sens et permettant d'exprimer une action ou un état.
Quel(s) est un déterminant masculin interrogatif ou exclamatif. Quelle(s) est également un déterminant interrogatif ou exclamatif, mais féminin.
si n.m. inv. Expression d'une condition ; condition restrictive. Marque l'intensité d'un adjectif ou d'un adverbe (suivi d'une subordonnée de conséquence)... Marque la dénégation après une interrogation négative et s'emploie dans...
Sinon / si non. Au sens de « autrement, sans quoi », sinon s'écrit toujours en un seul mot : il faut laisser sécher la colle, sinon la réparation ne sera pas solide ; obéis, sinon gare !
Pour s'assurer que si est bien une conjonction, on le remplace par une autre conjonction (ou par une locution conjonctive) : que, quand, supposons que. Je te dirai demain si je viens. - Je te dirai demain que je viens. Je me demande si vous viendrez.