On peut faire une échographie pour vérifier si le cancer colorectal s'est propagé au foie. Lors de l'échographie transrectale (ETR),aussi appelée échographie endorectale, on insère une sonde ultrasonore dans le rectum.
L'aspect des selles peut sembler anormal. Ces dernières peuvent être plus petites, plus étroites (selles en crayon) et teintées de sang rouge vif, brun ou noir, fluide ou constitué de caillots.
Du sang dans les selles
La présence de sang dans les selles est un signe d'alerte : présence de sang rouge (rectorragie) ou foncé, selles anormalement noires car mêlées à du sang digéré.
L'échographie abdominale est souvent le premier examen d'imagerie qu'on effectue lorsqu'une personne présente des symptômes du cancer des canaux biliaires, comme une jaunisse ou une douleur à l'abdomen. Elle permet aussi de vérifier si le cancer s'est propagé au foie ou à la vésicule biliaire.
« La fatigue était le seul symptôme que j'avais lorsqu'on m'a annoncé soudainement que j'étais atteinte du cancer du côlon, il y a de cela bientôt 13 ans. Je ne me suis pas laissée abattre par ce cancer silencieux, je suis restée positive et j'ai écouté les conseils des spécialistes pour m'en sortir.
Les plus fréquentes se localisent au niveau du foie et des poumons. Le gros intestin forme la dernière partie du système digestif.
En cas de cancer du côlon, l'espérance de vie et le taux de survie varient en fonction du stade auquel la maladie a été diagnostiquée et traitée. Ainsi, le taux de guérison est de 90 % au stade 0, de 70 % au stade 3 et 13 % au stade 4. Les chances de survie à 5 ans atteignent 60 %, tous stades confondus.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Diagnostic précoce
Les technologies modernes d'imagerie diagnostique, notamment l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomodensitométrie (TDM), permettent de visualiser les tissus avec une excellente résolution.
Le patient atteint d'un cancer du côlon peut également ressentir une envie constante d'aller à la selle ou des sensations inhabituelles au moment d'éliminer. À mesure que le cancer évolue, il peut former une masse palpable au niveau de l'abdomen.
Les hémorroïdes externes peuvent se voir et se toucher au niveau du bord de l'anus. Le cancer anal implique plutôt une ulcération ou masse plus profonde et moins mobile. Les hémorroïdes internes peuvent sortir de l'anus à l'effort de poussée, mais elle se remet naturellement ou manuellement en place.
Le cancer du côlon, quant à lui, peut provoquer un gonflement abdominal dû à une obstruction intestinale. La croissance de la tumeur peut causer cette obstruction, bloquant le passage normal dans le côlon et entraînant une accumulation de gaz et de matières fécales.
Le cancer colorectal (ou cancers du côlon et du rectum) est un cancer du gros intestin qui peut être guéri s'il est détecté précocement.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Les symptômes pouvant révéler un cancer de l'estomac sont généralement tardifs et non spécifiques : douleurs à l'estomac, perte d'appétit, nausées, vomissements, fatigue, perte de poids, anémie. Les hémorragies digestives ne sont pas rares par saignement de la tumeur.
Risques et complications
La chirurgie du côlon peut entrainer une fistule anastomotique, consistant à une mauvaise cicatrisation de la suture entre les 2 parties restantes du côlon et nécessitant une 2nde intervention.
Bougez plus et passez moins de temps assis
La recherche démontre que l'activité physique pratiquée régulièrement peut réduire votre risque de cancer colorectal. Les adultes devraient viser 30 minutes par jour d'une activité d'intensité modérée, par exemple la marche ou les tâches domestiques comme passer l'aspirateur.
Cette répartition varie avec l'âge : plus d'un cancer sur deux est diagnostiqué à un stade précoce chez les 15-39 ans (57 %) et les 50-74 ans (51 %). Les cancers diagnostiqués à un stade avancé sont plus fréquents chez les plus de 74 ans (42 %). Tous ces résultats sont similaires pour chaque sexe.