Les kystes fonctionnels, tels que les kystes folliculaires ou les kystes du corps jaune, apparaissent pendant le cycle menstruel normal et n'affectent en rien la fertilité. En fait, ils indiquent un bon fonctionnement de l'ovaire.
Habituellement un kyste ovarien n'empêche pas une grossesse. Il faut parfois compter plus d'un an pour mettre une grossesse en route, sachant que chaque mois, il n'y a qu'une chance sur 4 environ de débuter une grossesse, même quand on a des relations sexuelles régulières.
En cas d'ovaires polykystiques également, la présence d'une multitude de follicules rend plus épaisse la coque ovarienne et plus difficile l'ovulation. Dans la plupart des cas, une perte de poids et/ou des traitements, (stimulation ovarienne), peuvent suffire à enclencher une grossesse.
Un kyste de l'ovaire peut rester asymptomatique ou provoquer douleurs du bas du ventre, anomalies des règles, troubles intestinaux ou urinaires.
Mais un kyste peut parfois tordre l'ovaire autour de son axe, entraînant une interruption de l'apport sanguin et un risque de nécrose de l'ovaire. Cela provoque une douleur violente et brutale avec des nausées et des vomissements. Dans ce cas il est urgent d'opérer pour sauver l'ovaire.
Ils sont douloureux et ont tendance à retarder les règles. Pendant celles-ci, ils régressent mais peuvent récidiver lors des cycles suivants. Certains kystes ovariens dits organiques sont permanents et ne disparaissent pas avec une contraception orale.
Causes et facteurs de risque
Le kyste synovial peut être idiopathique, c'est à dire sans cause connue, ou survenir à la suite d'un traumatisme ou de mouvements inhabituels et répétés. Il est également plus fréquent chez les personnes au terrain arthrosique.
L'extrait de fenugrec s'est révélé efficace pour améliorer les symptômes du SOPK, ainsi que le taux de LH, effet qui s'amplifiait à mesure que l'on avançait dans le traitement. Citons aussi le tribulus ou le lin, qui semblent avoir de multiples activités bénéfiques sur le SOPK.
Pour éviter les complications, il convient de ne pas reporter vos examens gynécologiques réguliers et de prendre rendez-vous avec votre médecin si vous présentez l'un des symptômes suivants : Cycles menstruels irréguliers. Sensation de pression dans le bassin. Sensation de ballonnement dans l'abdomen.
Dans le cas où il existe de nombreux kystes, un traitement hormonal mettant les ovaires au repos pendant 6 à 9 mois permet d'obtenir une diminution de la taille des kystes.
Causes : médicaments, pilule, endométriose...
Certaines pilules, notamment les microdosées, sont aussi un facteur favorisant. Quant aux kystes organiques, les causes dépendent de la nature de la tuméfaction. Ils peuvent être liés à l'endométriose ou à la persistance de cellules immatures dans l'ovaire.
La plupart des kystes fonctionnels mesurent < 1,5 cm de diamètre; quelques-uns dépassent 5 cm. Les kystes fonctionnels guérissent habituellement spontanément après plusieurs jours ou semaines. Les kystes fonctionnels sont peu fréquents après la ménopause.
La grande majorité des kystes ovariens sont dits fonctionnels et disparaissent avec le temps, sans traitement. Toutefois, certains kystes peuvent se rompre, se tordre, grossir beaucoup et entraîner des douleurs ou des complications.
Le traitement d'un kyste ovarien. Pour les patientes présentant un kyste ovarien fonctionnel, une simple surveillance médicale est mise en place. En cas de complications ou en présence d'un kyste de l'ovaire organique, une ablation chirurgicale est préconisée : kystectomie ou salpingo-ovariectomie.
Cependant, dans certains cas, vous pouvez obtenir un résultat positif erroné pour les raisons suivantes : une grossesse récente (ex. : après une fausse couche, un accouchement récent ou un avortement), certains kystes ovariens rares, certains médicaments contenant l'hormone hCG, comme certains traitements de fertilité.
Parmi les symptômes les plus fréquents, citons les douleurs intenses au moment des règles et/ou pendant les rapports sexuels, en allant aux toilettes ou lors de l'ovulation, la fatigue, les saignements abondants, ou encore, une pression au niveau des ovaires.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Les signes et symptômes du cancer de l'ovaire comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux (par exemple, saignements abondants, irréguliers ou survenant entre les menstruations), en particulier après la ménopause. pertes vaginales fréquentes et claires, blanches ou teintées de sang.
Le kyste sébacé est une boule dure qui se forme sous la peau à cause d'une accumulation de sébum. Il est généralement de la même couleur que la peau et apparaît le plus souvent sur les zones où la production de sébum est importante : le visage, le cuir chevelu, derrière les oreilles, sur le cou et dans le dos.
Les petits kystes se soignent plutôt en mettant les ovaires au repos avec une pilule contraceptive. Les kystes régressent généralement en quelques mois.
La rupture de kyste
L'augmentation de volume du kyste quand il est liquidien peut provoquer une rupture de la coque et un écoulement du liquide contenu dans la cavité péritonéale. Une irritation péritonéale survient et provoque une douleur brutale pelvienne en projection de l'ovaire rompu.
une pesanteur abdominale, des douleurs lors des relations sexuelles, une difficulté à uriner, ou encore, avoir des saignements.
Le développement d'un kyste peut relever d'une production bénigne (non cancéreuse) ou d'un processus malin (cancéreux). Par ailleurs, sa taille peut varier de quelques millimètres à plusieurs centimètres. Ainsi, la plupart des kystes ne sont pas cancéreux bien qu'il puisse exister des exceptions.
La visualisation du pédicule lombo-ovarien en IRM et scanner confirme la nature ovarienne du kyste. Les critères macroscopiques de malignité de la littérature sont excessivement variés, taille lésionnelle importante, bilatéralité, portion solide, végétations, critères de dissémination péritonéaux ou ganglionnaires.