La plupart des OPC n'offrent pas de protection contre le risque de perte en capital. Leur rendement dépend de la performance des actifs qu'ils détiennent en portefeuille.
Les avantages d'un investissement en OPC :
Le portefeuille de l'OPC étant géré par un professionnel, vous n'avez pas besoin d'avoir de connaissance particulière en Bourse, ni d'opérer un suivi régulier. Un placement moins risqué que si vous interveniez en direct sur les marchés financiers (actions, obligations, etc.).
Un OPC peut distribuer périodiquement les revenus de ses titres en portefeuille (OPC de distribution) ou les réinvestir (OPC de capitalisation). Un même OPC peut détenir des parts de distribution et de capitalisation. . Les sociétés de gestion doivent respecter des règles de gestion et d'investissement.
Le profil de risque et de rendement est symbolisé par une échelle allant de 1 à 7. Le score indiqué est une estimation du niveau de risque ainsi que du potentiel de rendement du fonds.
Le remboursement de l'obligation dépend de la capacité de l'émetteur à faire face à ses engagements. Le risque de défaut est le risque lié à la solvabilité de l'entité qui a émis les titres. Dans le cas d'une défaillance de l'émetteur, vous pouvez perdre une partie voire la totalité du capital investi.
Les OPC possèdent par ailleurs l'avantage d'être accessibles financièrement. A l'instar des SCPI, vous pouvez diversifier vos investissements et réduire les risques à partir de montants relativement faibles. Par ailleurs, les OPC couvrent un large spectre de rendements et de risques.
Les inconvénients des OPC
Les risque de perte en capital : Ce risque dépend de la catégorie de fonds ainsi que de la qualité de la gestion. Le manque de transparence : Vous n'avez pas toujours une vision claire de l'ensemble des titres qui composent le portefeuille de l'OPC.
Liés aux instruments financiers utilisés entraînant une variation du prix des parts : le rendement des OPC dépend de l'évolution des marchés financiers sur lesquels ils sont exposés. En cas de baisse des cours, la valeur de la part pourra diminuer et entraîner des pertes ou moins-values.
Les OPC présentent de nombreux avantages pour les investisseurs particuliers. Ils permettent d'accéder à des placements d'ordinaire réservés à des investisseurs institutionnels mais aussi de bénéficier de coûts de gestion financière moindres en raison de la mutualisation des investissements.
Et bien c'est impossible! La valeur d'une action ne peut pas chuter à 0 EUR ou USD. Pour un néophyte sur les marchés boursiers, il est souvent difficile de le comprendre, d'autant plus que l'inverse, c'est à dire le cours de l'action qui prend 100% dans la journée, c'est possible.
Cela signifie qu'ils sont soumis à des règles d'investissement harmonisées au niveau européen et disposent d'un passeport européen permettant leur libre commercialisation dans l'Espace économique européen.
Le risque de défaut (ou débiteur)
Lorsque vous prêtez de l'argent à quelqu'un, il existe toujours un risque que ce dernier ne vous rembourse pas. Ce risque s'applique aux obligations. C'est ce que l'on appelle le risque débiteur ou le risque de défaut. Ce risque est naturellement fonction de la qualité de l'émetteur.
Les frais fixes sont de 4 € par ordre. Les frais proportionnels sont de 1,3 % du montant de l'ordre. La commission minimale par ordre s'élève à 12 €.
Le principal risque d'un placement en ETF porte sur la variation de l'indice du marché suivi : si l'indice baisse, votre portefeuille baisse dans les mêmes proportions, voire plus fortement si vous avez choisi des ETF à effet de levier. Vous pouvez donc perdre tout ou partie du capital investi.
Alors que la valeur de la monnaie ou d'une action est théoriquement susceptible de tomber à zéro en cas d'hyperinflation ou de faillite, un actif physique possédera toujours une valeur intrinsèque, indépendamment des conditions extérieures. L'or est la valeur refuge par excellence.
Leur rendement fixe est sans doute le principal atout des obligations. Dans la plupart des cas, l'investisseur qui achète une obligation connaît le rendement qui lui sera attribué chaque année. Ce principe possède toutefois un certain nombre d'exceptions.
Vous l'aurez compris, une obligation est moins risquée qu'une action, car la société qui emprunte s'engage à vous rembourser la valeur nominale. Vous avez donc l'assurance de revoir votre argent, à moins qu'il y ait faillite, ce qui est peu probable.
Les investisseurs peuvent gagner de l'argent avec les obligations de deux manières. L'investisseur individuel achète directement des obligations, dans le but de les conserver jusqu'à leur échéance afin de profiter des intérêts qu'elles rapportent.
Comme les actions, les obligations s'achètent soit lors de leur émission par les emprunteurs (marché primaire), soit directement sur les marchés boursiers (marché secondaire). Il faut dans les deux cas passer un ordre de bourse via un intermédiaire agréé, qui inscrira ensuite les titres sur votre compte titres.
L'AMF agrée les créations d'OPC (Sicav et fonds), après avoir notamment vérifié l'information délivrée aux porteurs, et assure un suivi de ces produits tout au long de leur vie, notamment lors de modifications (fusion, liquidation, mutation, stratégie d'investissement, profil de risque et de rendement, etc.).
Pour connaître la valeur liquidative d'une Sicav ou d'un FCP, on peut notamment se référer au site de la société de gérant l'OPC ou se connecter au site de l'AMF.
Les frais de sortie (ou commission de rachat) sont prélevés lorsque vous revendez vos parts ou vos actions d'OPC. Le prix de vente correspond donc à la valeur liquidative de l'OPC - la commission de rachat. À noter : le prélèvement de frais de sortie est de moins en moins courant.