Dire la vérité est bon pour soi-même D'un point de vue plus personnel ou individuel, on peut également dire que dire la vérité, c'est s'assurer d'être en paix avec soi-même. Quoi de plus apaisant que de savoir honnête, de ne sentir aucune culpabilité… d'être une personne intègre, en paix !?
Non seulement parce que la vérité est utile à la vie tandis que le mensonge est funeste et dangereux. Mais aussi parce que le choix de la vérité constitue une orientation éthique. La vérité, même partielle, même relative, même provisoire, est en effet un terrain d'entente entre les hommes.
Le mensonge et la dissimulation ont leurs vertus. En effet, il est préférable de taire certaines vérités susceptibles de blesser son interlocuteur ou son public. L'origine de ce proverbe remonte au XIIIème s.
Dire la vérité signifie que vous n'avez pas à vous inquiéter d'être pris dans vos mensonges. Vous pouvez vous sentir à l'aise, vivre votre vie sans soucis, sans le fardeau de vous demander quand le mensonge sera percé à jour.
Il faut que tu comprennes l'intérêt de dire la vérité et les conséquences d'un mensonge. Il vaut mieux toujours dire la vérité parce que le mensonge n'est qu'un raccourci pour échapper à une situation, qui te rattrapera plus tard. Si tu mens tu vas stresser et les conséquences seront plus dures à assumer.
Évidemment, dire la vérité n'est pas qu'un impératif pratique et un moyen de sauvegarder l'humanité : cela peut seulement être une devise que l'on se fixe, une obligation morale. La vérité est une valeur morale au sens où la personne qui la respecte est alors elle-même un être moral.
Ne pas dire la vérité signifie dire ce qui est inexact, soit sans le faire exprès (par ignorance, bétise, distraction…), sans intention de tromper ou même omettre de dire quelque chose qui est vrai alors que cela aurait été important pour votre interlocuteur de l'apprendre.
La vérité est un rapport de conformité, d'adéquation entre pensée et réel, mais plutôt sous la forme de connaissance. Ex : la connaissance scientifique est objective. La vérité n'est pas à confondre avec le réel : · Le vrai qualifie l'énoncé d'une représentation mentale et non un fait.
Parce que la vérité pure implique la remise en question de tout le système, de toute la société, et donc de tous ceux qui n'ont pas du tout intérêt à laisser s'exprimer la vérité. Pire que ça : ils font en sorte que la vérité soit perçue comme mensonge tandis que les mensonges sont perçus comme la vérité.
La vérité blesse souvent car elle est incompatible avec notre "hypocrisie sociale" qui fait que chacun tire un certain profit (pécuniaire, social, etc..) de son entourage. Le problème avec la vérité est qu'elle est désintéressée. On ne peut donc la soudoyer, "s'arranger" avec.
On peut être tenté de ne pas dire la vérité par crainte de blesser l'autre. Cependant, ne pas la dire, ou bien mentir, c'est trahir la confiance que l'autre peut avoir en nous, et parfois reculer pour mieux sauter quand la vérité émerge après coup.
Car choisir de révéler la vérité est une prise de risque, autant pour celui qui l'énonce que pour celui qui l'entend. La vérité révélée peut dévoiler une position de vulnérabilité, une part de nous qui va nous dévaloriser aux yeux des autres, peut blesser son interlocuteur voire le trahir.
« A chacun sa vérité », ou encore « à chacun son opinion », ce sont là des phrases qui relèvent assurément de l'opinion commune, qui entend suggérer par là une exigence de tolérance s'opposant à l'attitude qui consisterait à rejeter toute idée qui diffèrerait des siennes propres.
La vérité ! La vérité se définit, de manière un peu savante, comme « ce à quoi l'esprit peut et doit donner son assentiment par suite d'un rapport de conformité entre ce qu'il va énoncer et l'objet de sa pensée ». Et le mensonge est l'inverse de la vérité.
La vérité devient donc une conformité entre deux connaissances, entre deux représentations dont l'une est . le substitut de la réalité et dont l'autre contient ce que je conçois de cette réalité. Or cette mise en rapport ne se produit que dans le jugement, par la comparaison entre le prédicat et le sujet.
On connaît bien les conséquences de mentir: on risque de perdre la confiance des autres. Aussi, quand un enfant ou un adolescent ment, on voit souvent les parents se plaindre de ce comportement en disant qu'ils ne peuvent plus faire confiance à leur enfant, qu'ils sentent qu'ils perdent le contrôle.
En psychologie sociale, on considère ainsi qu'il existe cinq motivations au mensonge : valoriser notre image, éviter les conflits, ne pas peiner notre interlocuteur, persuader quelqu'un afin d'en tirer un avantage, et enfin dissimuler ou justifier un manquement...
NÉGATEUR, -TRICE, adj.
Par définition, un mythomane est une personne qui : Ment de manière systématique ; N'a pas conscience de la frontière entre ce qu'elle dit et la réalité ; N'est pas capable de réaliser le caractère mensonger de ses déclarations, même quand on la confronte.
Définition. Vérité parfaitement exacte, c'est-à-dire qu'il y a une adéquation totale entre l'énoncé et la réalité.
La quête de la vérité serait alors un moyen d'apaiser nos peurs, car ce dont l'homme a peur c'est l'inconnu. De plus, comme le dit Nietzsche : C'est dans un sens [restreint] que l'homme veut la vérité : il convoite les suites agréables de la vérité, celles qui conservent la vie.
L'essence de la vérité est conçue comme certitude de la représentation, c'est-à-dire poser quelque chose devant soi à partir de soi et établir ce qui est ainsi posé, en tant que tel, comme certain. La modernité est le courant de pensée dominant aujourd'hui, avec quelques caractéristiques [5]
Tenez compte des sentiments de votre interlocuteur et choisissez une approche aimable, et non menaçante. Utilisez des mots constructifs, en particulier si vous donnez des conseils ou demandez à quelqu'un de faire un changement. Validez ce que la personne ressent, évitez de l'accabler, et évitez de porter des jugements.
Le mensonge et le secret sont deux figures de la dissimulation de la vérité. Le mensonge est souvent considéré comme une faute morale (ou même un péché) car il consiste à dire le faux avec l'intention délibérée de falsifier une vérité connue du menteur.
Le signe ou critère du vrai est donc, fondamentalement, d'ordre rationnel. Ainsi il faut dire qu'il réside, non hors de l'esprit humain, mais dans l'esprit humain lui-même, en tant que celui-ci est doué de raison, celle-ci étant conçue comme la faculté des idées, ou encore comme la faculté de l'universel.